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Passer au contenu * ACCUEIL * ECO & FINANCE * POLITIQUE * Conseil des ministres * Editorial * SOCIETE * Art & Culture * Environnement * Justice * MEDIAS * Interview * Lettre ouverte * MONDE * PEOPLE * Santé * COVID-19 * SCIENCE & TECH * SPORT * Faits Divers * VIDEO oops ! Page Not Found 404 We are sorry for the inconvenience. The page you’re trying to access does not exist or has been removed. Back to Home En continu Plus d'information 25/10 15:30 DIPLOMATIE : M. Hamidou Boly (représentant spécial de la CEDEAO) déclaré « persona non grata » par le gouvernement du Mali . Il a 72h pour quitter le sol malien. Lecteur vidéo https://youtu.be/V7dZc0ioB7w 00:00 00:00 58:18 Utilisez les flèches haut/bas pour augmenter ou diminuer le volume. EDITORIAL Editorial EDITO : LE REVERS DE LA RUSE 18/03/2024 fasomali Une fiction narrant la fabuleuse histoire de Petit Bodiel d’Amadou Hampâté Ba ? Nous sommes bien loin des années 70 Editorial EDITO : LA DERNIÈRE BALLE POUR ABATTRE LA PRESSE 15/03/2024 fasomali Editorial EDITO : MES PENSÉES À RAS BATH ET BEN LE CERVEAU 12/03/2024 fasomali MEDIASPOINT DE VUE UN PM SENTANT SA MORT PROCHAINE 27/05/2024 fasomali Comme toute chose qui a un début, la Primature choguelienne ne saurait être éternelle et sans fin. L’histoire se répète-t-elle MEDIASPOINT DE VUE BOUBOU MAMBEL DIAWARA : UN PROPAGANDISTE QUI S’ATTAQUE À LA PRESSE 12/04/2024 fasomali ECO & FINANCEPOINT DE VUE LES DONS SUR LA FISCALITÉ AU MALI : QUID DES CENTAINES DE MILLIONS DE F. CFA PERÇUS DEPUIS 2020 ? 04/12/2023 fasomali décembre 2024 L M M J V S D 1 2345678 9101112131415 16171819202122 23242526272829 3031 « Oct MEDIAS 3e nuit de L’UJRM : Le journal Le Pays honoré ! 29/07/2024MEDIASVotre quotidien d’informations générales, d’analyses et d’enquêtes, Le Pays, a été honoré lors de la troisième édition de la nuit de l’UJRM à travers Ibrahim Kalifa DJITTEYE qui a décroché le prix du meilleur journaliste reporter 2024 dans la catégorie presse écrite. C’était lors d’une soirée Gala, le vendredi 26 juillet 2024 au Centre International de Conférences de Bamako (CICB). Meilleur journaliste reporter 2024 dans la catégorie presse écrite. Cette distinction de Ibrahim Kalifa Djitteyé est aussi une grande fierté pour la rédaction du journal Le Pays témoignant de tout l’effort et de la rigueur que nous nous employons au quotidien pour rendre chaque numéro digeste et et riche en informations. Elle reflète aussi notre engagement envers une information précise et fiable, notre détermination à offrir à nos lecteurs un travail professionnel et de qualité malgré l’environnement et le contexte socio-économique difficile. La rédaction du Journal Le Pays exprime sa sincère gratitude envers l’Union des Journalistes Reporters du Mali (UJRM) pour cette reconnaissance de mérite à travers l’organisation de cet événement prestigieux. Nous tenons également à remercier tous les acteurs qui, à travers leurs contributions respectives ont permis la réussite de cette manifestation. Cet événement témoigne d’une dynamique collective à renforcer les liens au sein de notre corporation à travers des échanges fructueux entre les journalistes. Nous sommes honorés d’avoir participé à cette rencontre et demeurons reconnaissants envers l’UJRM pour son rôle essentiel dans la promotion et le soutien du journalisme professionnel au Mali. La Rédaction Source : LE PAYS [...] Manifestation au nom des Maliens de Côte d’ivoire : le HCM-CI, le CSDM et le CNJ dénoncent un acte crapuleux d’usurpation de titre 29/07/2024MEDIAS / MONDEDans un communiqué, publié le 25 juillet 2024, le Haut Conseil des Maliens de Côte d’Ivoire (HCM-CI), le Conseil Supérieur de le Diaspora malienne (CSDM) et le Conseil National de la Jeunesse malienne en Côte d’ivoire (CNJ) se sont conjointement désolidarisés d’une demande circulant sur les réseaux sociaux avec pour but de tenir une manifester devant l’ambassade du Mali en Côte d’ivoire, le vendredi 02 Août 2024. Agissant au nom d’une soi-disante « Association des Maliens de la CEDEAO en Côte d’Ivoire », les responsables des trois faitières citées, ont rappelé être les seuls habilités à parler au nom de la communauté malienne en Côte d’Ivoire et de ce fait ont dénoncé avec rigueur un « acte crapuleux d’usurpation de titre » dans lequel ne se reconnait aucun Malien vivant en Côte d’ivoire. « Rejeter leur marginalisation, réaffirmer leur attachement à la CEDEAO et dénoncer la tentative de retrait unilatéral du Mali de la CEDEAO >> se sont les motifs mis en avant par certains individus se réclamant d’une « Association des Maliens de la CEDEAO en Côte d’Ivoire » pour l’organisation d’une manifestation devant l’ambassade du Mali en Côte d’ivoire, le vendredi 02 Août 2024. En tant que seuls habilités à parler au nom de la communauté malienne en Côte d’Ivoire, le Haut Conseil des Maliens de Côte d’Ivoire (HCM-CI), le Conseil Supérieur de le Diaspora malienne (CSDM) et le Conseil National de la Jeunesse malienne en Côte d’ivoire (CNJ), ne sont pas restés silencieux. Dans un communiqué conjoint, ils ont dénoncé un acte crapuleux d’usurpation de titre dans lequel les Maliens de Côte d’Ivoire ne se reconnaissent pas. De plus les trois faitières qualifient les motifs mis en avant pour la tenue de cette manifestation, c’est-à-dire, « Rejeter leur marginalisation, réaffirmer leur attachement à la CEDEAO et dénoncer la tentative de retrait unilatéral du Mali de la CEDEAO >> de « fallacieux », puisque rappellent-t-ils que la communauté malienne de Côte d’Ivoire a déjà exprimé plusieurs fois sa solidarité aux Autorités maliennes dans leur combat pour la souveraineté. En outre, les trois faitières considèrent cette association fictive qui n’a aucune existence légale car ne disposant d’aucun récépissé sert de paravent aux politiques aux desseins inavoués et en perte de popularité et de ce fait, ne saurait en aucun cas s’opposer à une décision souveraine, prise en toute connaissance de cause par les plus Hautes autorités de la Transition Ils ont profité de l’occasion pour réaffirmer leur soutien non seulement au président de la transition, le col. Assimi Goïta, mais également à ses pairs de l’AES, leurs Excellences le Général Abdourhamane TIANI et le Capitaine Ibrahim TRAORE. « Nous en appelons à l’ensemble de nos concitoyens à rester vigilants et mobilisés derrière les autorités de la Transition » ont-ils indiqué. En réponse à la fameuse problématique de retrait des trois pays de la CEDEAO, les trois faitières ont tenu à rassurer leurs concitoyens que le Mali demeure toujours membre de l’UEMOA et qu’à ce titre aucune entrave ne sera faite à la libre circulation et au libre établissement des citoyens des pays membres dans ledit espace. Issa Djiguiba Source : LE PAYS [...] Maillage territorial du Mali : après IN-AFARAK, les FAMa au seuil de TINZAOUATENE 29/07/2024MEDIASDepuis jeudi 25 juillet 2024, les forces armées maliennes sont en progression sur TINZAOUATENE, une zone frontalière de l’Algérie située à près de 233 km au nord-est de kidal. Cette opération qui se poursuit toujours a permis d’infliger de lourdes pertes aux terroristes (GAT). Selon un communiqué de l’état-major publié le 26 juillet, une vingtaine de terroristes ont été en plus d’importante quantité de véhicules et de matériels de guerre détruits. « Les unités FAMa recherchent et détruisent la coalition mafieuse des groupes armés, auteurs d’abus et de rackets sur les paisibles populations avec la mise en place des postes de contrôle illégaux sur les axes restreignant la liberté de mouvements des transporteurs » avait indiqué l’état-major général des armées du Mali, le 22 juillet lors de la reprise de la localité de IN-AFARAK, hors de contrôle de l’Etat depuis une décennie. Située à environ 122 Km au NORD-OUEST DE TESSALIT, région de KIDAL, cette partie du territoire était également devenue un carrefour commercial très important, sujet à plusieurs trafics. Booster hors de Kidal, la coalition des terroristes s’est repliée dans certaines zones frontalières du Mali comme celle avec l’Algérie. Mais avec courage et détérioration, les forces armées maliennes (FAMa) ont fait serment de ne laisser aucune portion du territoire national entre la main des terroristes. « L’Etat-Major Général des Armées rassure que la sécurité des populations reste une priorité et que les unités FAMa continueront des actions similaires jusqu’à la garantie de la liberté de mouvement des populations » rassure ainsi la population, la hiérarchie militaire. Malgré que la baille TINZAOUATENE ait fait 02 morts, 10 blessés, 02 blindés et 02 Pick up hors service du côté FAMa, « les combats ont repris ce matin du 26 juillet 2024 avec deux frappes chirurgicales contre des positions ennemies » fait savoir l’état-major général des armées du Mali pour témoigner de l’engagement des hommes sur le terrain. Issa Djiguiba Source : LE PAYS [...] Etudes supérieures : Perspective sahélienne et African initiative partagent les opportunités en Russie 22/12/2024Education / MEDIAS / MONDEDepuis un moment, le Mali et la fédération de Russie renforcent leurs coopérations bilatérales dans plusieurs domaines. C’est dans ce cadre que, le samedi 21 décembre au CICB, l’Association Perspective sahélienne en partenariat avec African initiative a organisé, une conférence débat sur l’interaction entre le Mali et la fédération de Russie en matière de l’éducation. L’objectif était de briffer les étudiants et les établissement d’enseignement supérieurs maliens sur la destination attractive de la Fédération de Russie en matière de formation à l’éduction supérieure. Malgré les manipulations politiques visant à détourner l’attention de l’opinion publique sur les opportunités existantes en Russie, l’Ex-URSS, comme par le passé, détient toujours, voire plus, des atouts qui attirent les citoyens du monde entier. Sur le seul domaine de l’éducation qui nous intéresse ici, la Fédération de Russie dispose de plus de 700 universités et plus de 400 domaines de formation tels que le Droit, la sante, les sciences humaines et naturelles, la technologie, l’Art et la culture, le Bâtiment ou les travaux publics etc. Selon les statistiques les plus récentes, plus de 300 000 étudiants optent pour leurs études supérieures en Russie. Dans le contexte de redynamisation de ses relations avec le Mali, la fédération de Russie entend pleinement faire profiter notre pays de toutes ces opportunités. C’est pourquoi au titre de la rentrée universitaire 2024-2025, la Fédération de Russie a offert gracieusement au gouvernement du Mali 290 bourses d’études pour le cycle supérieur. Ainsi afin de mieux informer le monde universitaire malien sur les conditions d’obtention de ces bourses et parallèlement les multitudes autres opportunités qu’offre la fédération de Russie en matière de l’éducation supérieure, l’Association Perspective sahélienne en partenariat avec African initiative a organisé, samedi dernier, une conférence débat pour permettre une interaction entre les cibles ( universités et Etudiants) au Mali et en Russie ainsi que les responsables qui entrent en action à tous les niveaux du processus. Une rencontre très riche de contenus qui a permis aux participants de découvrir encore plus la Fédération de Russie et les diverses opportunités qu’elle offre aux citoyens du monde entier pour la formation de ressources humaines capables de relever les défis de l’homme et de l’humanité. Pour les représentants des universités maliennes à la conférence parmi lesquels celui de l’Association des établissements privés d’enseignement supérieur qui regroupe 108 universités privés, ce cadre d’échanges et de partage est une « aubaine » pour le Mali, pour l’Afrique et le monde. A côté de lui, certains ont exhorté de travailler plus pour déconstruire le mythe de la géopolitique qui règne sur la Russie afin de pouvoir mieux faire ces opportunités qu’offre la Russie. D’autres ont, pour leur part, mis l’accent sur la création d’une plate-forme d’échanges et de collaboration ainsi que l’instauration des Cours en ligne pour ceux qui ne seront pas retenus pour les bourses. Ces derniers pensent qu’il y a « plus d’étudiants en dehors des universités qu’à l’intérieur » et pour eux seule l’éducation en ligne est une alternative pour combler le besoin criard de formation au Mali. Issa Djiguiba [...] Transparence dans les Industries Extractives au Mali : les hommes de média outillés par l’ITIE 22/12/2024ECO & FINANCE / MEDIASConformément à sa mission de dissémination après publication de chaque rapport, l’Initiative pour la Transparence dans les Industries Extractives au Mali (ITIE-Mali) était face à la presse, les 19 et 20 décembre 2024, dans le cadre d’un atelier de renforcement des capacités. En raison de son rôle très important prépondérant pour l’éducation et la sensibilisation de masse, cette session à l’intention de la presse, en plus de la dissémination des rapports 2022 et 2023, s’est élargie sur la norme ITIE elle-même, l’industrie minière au Mali en général, ses acteurs ainsi que les législations qui le régissent. C’était sous la présidence du chef de cabinet du ministre des Mines, M. Yacouba KEBE. « Le respect des normes de redevabilité » autant pour le trésor public, les collectivités territoriales et les communautés locales, les sociétés minières et l’environnement, c’est tout le sens de l’adhésion de notre pays, le Mali à l’Initiative pour la Transparence dans les Industries Extractives au Mali (ITIE-Mali) en 2006. Il faut noter que la norme ITIE 2023 consacre la quatrième édition de la norme mondiale qui promeut la transparence et la redevabilité dans la gestion des ressources minières, gazières et pétrolières. Ainsi depuis 2006, 18 rapports ont été publiés pour attirer l’attention de l’opinion et du pouvoir publics et de l’ensemble des parties prenantes sur ce qui peut constituer un déséquilibre ou une menace pour le partage équitable des ressources extractives au Mali. Le rapport bien prisé par les structures de lutte contre la corruption, donne des données claires et précises, sur les réserves d’Or des sociétés minières ; leur production par région ; les exportations par pays destinataires (secteur industriel et artisanal) ; les productions rapprochées entre la DNGM et les sociétés minières ; les données d’exportation rapprochées entre la DGD et les sociétés minières ; les ventes locales ; la participation de l’Etat ; la contribution du secteur extractif à l’économie nationale ; les ventes locales ; la participation de l’Etat ; la contribution du secteur extractif au budget des collectivités locales, (transfert de paiement) ; affectation des permis miniers par le trésor public ; contribution du secteur extractif au développement communautaire (paiements sociaux) ; le contenu local (fourniture locale) ; la publication des contrats miniers ; le cadastre minier, entre autres. L’objectif spécifique de cet atelier était de mettre à jour les hommes de média sur les nombreuses innovations de l’ITIE afin de jouer pleinement leur rôle d’éducation, de sensibilisation et d’alerte de l’opinion et du pouvoir public. Bien que d’énormes défis restent à relever, l’ITIE pense que la nouvelle loi minière et son contenu local de 2023 est une avancée majeure pour une répartition équitable des ressources extractives au Mali. Issa Djiguiba [...] 1er Forum international annuel du Liptako-Gourma : l’AES sur le chantier du développement 12/12/2024ECO & FINANCE / MEDIAS / MONDEDeux mois après la session du comité régional de coordination du programme conjoint de résilience et de stabilisation au Sahel (PCSS), les trois pays de l’AES bénéficiaires des Projets Communautaires de Relèvement et de Stabilisation du Sahel (PCRSS) ont tenu le 1er Forum International Annuel (FIA) sur le développement du Liptako-Gourma, sous le thème : « Relèvement et Stabilisation : Facteurs clés du développement Territorial de la région du Liptako-Gourma » à Bamako. Un cadre d’échanges et de partage d’expériences d’experts et membres des Comités scientifiques du Burkina Faso, du Mali et du Niger pour booster le développement socioéconomique de la région du Liptako-Gourma. Harmoniser les politiques régionales pour renforcer les actions de développement en faveur des populations de la région du Liptako-Gourma. Tel est l’objectif du tout premier forum international annuel pour le développement territorial du Liptako-Gourma qui a ouvert ses portes le mardi 10 décembre 2024 à Bamako. Les experts et membres des Comités scientifiques du Burkina Faso, du Mali et du Niger sont réunis pour trois jours à Bamako, la capitale malienne dans le cadre du forum international pour le développement territorial du Liptako-Gourma. Confrontés à de multiples défis sécuritaires, de fragilité économique et de précarité sociale, les trois pays ont jugé nécessaire de conjuguer leurs efforts pour une synergie d’actions afin de soulager plus de 2 millions de personnes en situation de vulnérabilité. C’est pourquoi un accent est mis sur la question de développement dans cette région en proie à la crise sécuritaire. Pour le Coordonnateur des Projets Communautaires de Relèvement et de Stabilisation du Sahel (PCRSS) au Mali, M. Ibrahim Adama Berthé ce forum est une volonté manifeste de la dynamique de collaboration affichée par les trois pays dans divers secteurs clés de développement. Tout en remerciant les plus hautes autorités des trois pays pour cet engagement commun en faveur des populations de la région Liptako-Gourma, M. Berthé a réaffirmé à son tour son accompagnement à cette dynamique. Il faut noter que ce forum est une initiative de l’Autorité pour le Développement des États du Liptako-Gourma (ALG) avec pour but de promouvoir et consolider les acquis des multiples actions, entre autres pour l’amélioration des conditions de vie des populations, l’intégration et la coopération transfrontalière entre les peuples, structures, ONG et collectivités territoriales des trois pays. Dans le contexte actuel de création de la confédération des Etats du Sahel, un diagnostic des facteurs de développement ne peut être que bénéfique pour les populations du Sahel. Pour le Ministre de la Réconciliation, de la Paix et de la Cohésion nationale, le Général de Corps d’Armée Ismael WAGUE, les défis complexes doivent plutôt être perçus comme une opportunité d’intensifier les efforts collectifs, de puiser dans leur résilience et d’exploiter leur ingéniosité pour transformer ces obstacles en tremplins vers le progrès. Pour lui, les défis sont loin d’être insurmontables. En plus de ce rendez-vous annuel de dialogue et de partage d’expériences entre acteurs et communauté scientifique de la région, l’ALG a annoncé la mise à la disposition très prochaine des populations de l’AES, d’une plateforme de gestion de connaissances afin de faciliter l’émergence de réflexions sur des questions d’intégration socio-économique et de développement sur tous les domaines y compris la gestion des ressources naturelles dans les régions. Sur cette question, la Secrétaire exécutive de l’ALG, Hawa AW, estime que « la production et la gestion des connaissances à travers la recherche est un intrant important pour annoncer le dialogue par des discussions régionales autour des résultats de la recherche, des rencontres sur des questions transfrontalières, la gouvernance locale, la cohésion sociale, la résilience climatique et toute autre dynamique régionale de mobilité et de transport ». A la croire, « les informations collectées qui émanent de nos Etats sont fiables, réelles, non biaisées et seront disponibles à tous » Issa Djiguiba [...] Validation des documents de voyage et d’identité de l’AES : Le Mouvement Maliko réclame l’attribution du marché aux sociétés maliennes 02/12/2024MEDIAS / MONDEAprès la tenue de la réunion de validation des spécifications techniques harmonisées des documents de voyage et d’identité de l’AES des ministres chargés de la Sécurité de la Confédération des Etats du sahel, le 22 novembre dernier, le Mouvement Maliko, dans une déclaration, a salué cette décision. Dans sa déclaration, l’organisation plaide pour l’attribution du marché de ces documents aux sociétés maliennes ayant une expertise avérée dans le domaine à la suite d’un processus transparent surtout que le contrat en cours, qui avait été dénoncé, arrive à termes dans quelques mois. Rappelons que courant 2022, le Mouvement Maliko avait dénoncé les procédures de passation du marché du passeport malien. Aussi, il avait porté plainte devant les juridictions maliennes contre l’ancien ministre français des Affaires étrangères, Jean Yves Le Drian et son fils pour « atteinte aux biens publics ». Mama PAGA [...] Rôles des journalistes croyants dans la sécurité et la redevabilité au sein du sahel : des échanges entre experts dans le cadre du séminaire international dénommé ‘’Refresher’’ 15/08/2024MEDIASEn collaboration avec la Conférence Episcopale du Mali (CEM), l’union catholique africaine de la presse (UCAP) et sa section malienne, en l’occurrence l’Association des journalistes catholiques du Mali (AJCM) animent, depuis le lundi 12 août dernier, un seminaire international dénommé ‘’Refresher’’. Avec comme thème, « sahel, sécurité, redevabilité, quels rôles pour les journalistes croyants ? », l’évènement se poursuit jusqu’à ce vendredi 16 août au centre Abbé David sis à Sebenikoro (Bamako). Experts, tout comme personnalités, journalistes nationaux et internationaux se prononcent, cinq (5) jours durant, sur cette thématique. La cérémonie d’ouverture, placée sous la présidence du ministre des Affaires religieuses, du Culte et des Coutumes a été marquée par la présence de plusieurs partenaires dont les Journalistes des Droits humains (JDH). Comme précisé par Alexis Kalambry, le sahel est une région d’une importance stratégique majeure, confrontée à des défis complexes en matière de sécurité et de gouvernance. En tant que président de la commission d’organisation, il dira que les journalistes, gardiens de l’information et des valeurs démocratiques, ont un rôle crucial à jouer dans la compréhension et la résolution des défis en lien avec le thème. Parlant au nom de l’AJCM, le directeur de publication du journal ‘’Mali Tribune’’ rajoute, « dans un contexte où la liberté de la presse est souvent mise à mal, où la désinformation prolifère et où les journalistes sont parfois directement menacés, il est essentiel de réaffermir l’importance de notre rôle dans la promotion de la transparence, de la redevabilité et de la paix ». Via cette rencontre, dit-il, les experts et hommes de médias s’interrogent sur la manière dont les journalistes croyants peuvent apporter une contribution spécifique à ces enjeux évoqués. Et de rassurer, « notre foi peut être une source d’inspiration, de courage et d’intégrité dans notre travail journalistique, mais elle soulève également des questions éthiques et déontologiques importantes ». Prenant la parole, le ministre des Affaires religieuses, du Culte et des Coutumes disait être « très comblé de joie », après avoir vu que les journalistes croyants aient finalement compris leurs rôles dans la sécurisation et la paix au sein des Etats du sahel. « Si les journalistes croyants estiment qu’ils ont un rôle à jouer dans le cadre de la sécurisation des Etats du sahel et précisément les pays de l’Alliance des Etats du sahel, je pense que cela ne peut être qu’une bonne chose ». Aussi, le Dr. Mahamadou Koné trouve que l’initiative est à la fois bonne et encourageante. D’où cette expression : « Ça me réjouit et galvanise d’entendre que vous(journalistes) ayez ajouté la croyance au métier du journalisme. Sans la foi, rien ne marche et sans la croyance, tout est faux. Oui, vous m’avez montré à travers cette initiative que vous contribuerez à la paix et à la sécurité des pays de l’AES. Nous sommes, de ce fait, avec vous dans ce combat ». Pour Boubacar Thera, chargé de programme du centre pour la gouvernance du secteur de la sécurité, Genève (DCAF), cette initiative correspond à leur vision. Le DCAF soutient le dialogue sur les politiques sécuritaires et une approche d’inclusivité qui, maintient-il, font des acteurs de médias les acteurs indispensables de la sécurité avec les forces armées et de sécurité. Les thématiques à débattre, proposées dans l’agenda de la présente conférence permettront, selon Boubacar, de poser un état des lieux rigoureux, voire de délibérer sur les solutions et les recommandations. Lesquelles contribueront au renforcement du rôle des acteurs de médias en général. Mamadou Diarra Source : LE PAYS [...] Plus de 110 morts en deux mois : Hécatombe au Pays Dogon 29/07/2024MEDIAS / SOCIETELa Synergie des Associations et Mouvements des Jeunes du Pays Dogon a tenu un point de presse, au siège de Ginna Dogon, le samedi 27 juillet 2024. L’objectif de cette sortie était de condamner une énième fois, les crimes et violences terroristes contre les populations civiles du centre en général et celles du pays Dogon en particulier. Les jeunes ont profité de l’occasion pour inviter le président de la transition, le colonel Assimi Goïta à prendre personnellement en main personnellement cette situation pour soulager la souffrance des populations civiles. Diallassagou (19 morts), Noumoussso (12 participants à un mariage assassinés), Sokolo Kanda (2 paysans tués), Tigrou (4 riverains tués et le village vidé). Anakanda (2 forains tués), Djiguibombo (21 villageois tués), Dembo (26 paysans tués), Kobolagado (12 paysans tués), Endekanda (4 morts), Guiri (5 morts), les villages Walia, Endé, Sogoutou, Sogoudourkoum, Koumoudou, Dessagou, Yabatalou, Lewol Guéou, Tabi, Petaka, Djangassagou également endeuillés. Tel est le bilan macabre des attaques contre les populations du pays Dogon soit au total 110 personnes civiles tuées entre Mai et juillet 2014. Un bilan non exhaustif qui ne fait pas cas, entre autres, de l’attaque du vendredi 26 juillet 2024 ayant fait plus de 10 victimes à Doundé, du nombre pléthorique de personnes blessées, en otage, disparues, et déplacées, encore moins les dégâts matériels et psychologiques qui sont tout aussi innombrables. « Nous aurions souhaité être devant vous pour saluer le retour de la paix et de la cohésion sociale, pour annoncer que les milliers d’enfants privés de leur droit à l’éducation retrouveraient le chemin de l’école et que le tourisme reprendrait bientôt. Malheureusement, la réalité est toute autre » ont lamentablement regretté la Synergie des Associations et Mouvements des Jeunes du Pays Dogon avec un accent particulier sur la situation des frères enlevés sur l’axe Parou-Songobia en détention depuis plus de trois ans pour certains et des mois pour d’autres. « Depuis notre dernière sortie médiatique il y a sept mois, la situation sécuritaire dans le Pays Dogon ne s’est guère améliorée. Nos populations vivent dans une désolation quotidienne marquée par des massacres de populations, des incendies de villages, des vols d’animaux et d’autres biens précieux » a-t-elle fait savoir. Ces jeunes ont profité de ce point de presse pour protester contre le silence de l’État face à une monstruosité de nature abjecte et moralement inacceptable dont les conséquences affectent déjà plus de 30 communes à travers, notamment, la perturbation de la campagne agricole, la fermeture des écoles, l’arrêt de l’économie locale, le départ des populations, etc. Des conséquences qui s’étendront sans nul doute à d’autres localités si des moyens adéquats ne sont pas mis en œuvre pour stopper les ambitions des groupes terroristes. C’est pourquoi, parallèlement aux dénonciations, la jeunesse ainsi regroupée a aussi formulé une série de recommandations adressées aux plus hautes autorités de la transition. Il s’agit entre autres, du renforcement du maillage militaire, l’intégration des auto-défenseurs dans le dispositif de gestion de la sécurité du Pays Dogon, l’implication du président de la transition, le col. Assimi Goïta en prenant personnellement en main le dossier du Pays Dogon et le remplacement de tous les représentants de l’État affectés dans le Pays Dogon qui ne se montrent pas valables dans la gestion de cette crise. « Pour la sécurité de toutes les populations de la zone, la jeunesse demande un renforcement significatif du maillage militaire afin d’assurer une mise en place de patrouilles régulières et dissuasives ; nous demandons à l’État de trouver une formule pour les intégrer (auto-défenseurs) dans le dispositif de gestion de la sécurité du Pays Dogon afin d’endiguer cette flambée de violence. Cela à travers la concrétisation dans le plus bref délai du processus de DDR longtemps promis ; Nous invitons les plus hautes autorités à réévaluer l’efficacité des représentants de l’État affectés dans le Pays Dogon et, si nécessaire, à procéder au remplacement de ceux qui ne répondent pas aux exigences actuelles. Nous appelons également le chef de l’État à reprendre la main sur le dossier du centre et plus particulièrement du Pays Dogon et à ouvrir, avec son implication personnelle, un couloir d’écoute des populations afin de mieux cerner les contours de cette tragédie qui menace la nation entière ». Ce n’est pas tout, la jeunesse du Pays Dogon a également souligné la nécessité d’accorder de l’aide humanitaire d’urgence aux familles affectées par les attaques, y compris un soutien psychologique et matériel. Issa Djiguiba Source : LE PAYS [...] 3e nuit de L’UJRM : Le journal Le Pays honoré ! 29/07/2024MEDIASVotre quotidien d’informations générales, d’analyses et d’enquêtes, Le Pays, a été honoré lors de la troisième édition de la nuit de l’UJRM à travers Ibrahim Kalifa DJITTEYE qui a décroché le prix du meilleur journaliste reporter 2024 dans la catégorie presse écrite. C’était lors d’une soirée Gala, le vendredi 26 juillet 2024 au Centre International de Conférences de Bamako (CICB). Meilleur journaliste reporter 2024 dans la catégorie presse écrite. Cette distinction de Ibrahim Kalifa Djitteyé est aussi une grande fierté pour la rédaction du journal Le Pays témoignant de tout l’effort et de la rigueur que nous nous employons au quotidien pour rendre chaque numéro digeste et et riche en informations. Elle reflète aussi notre engagement envers une information précise et fiable, notre détermination à offrir à nos lecteurs un travail professionnel et de qualité malgré l’environnement et le contexte socio-économique difficile. La rédaction du Journal Le Pays exprime sa sincère gratitude envers l’Union des Journalistes Reporters du Mali (UJRM) pour cette reconnaissance de mérite à travers l’organisation de cet événement prestigieux. Nous tenons également à remercier tous les acteurs qui, à travers leurs contributions respectives ont permis la réussite de cette manifestation. Cet événement témoigne d’une dynamique collective à renforcer les liens au sein de notre corporation à travers des échanges fructueux entre les journalistes. Nous sommes honorés d’avoir participé à cette rencontre et demeurons reconnaissants envers l’UJRM pour son rôle essentiel dans la promotion et le soutien du journalisme professionnel au Mali. La Rédaction Source : LE PAYS [...] Manifestation au nom des Maliens de Côte d’ivoire : le HCM-CI, le CSDM et le CNJ dénoncent un acte crapuleux d’usurpation de titre 29/07/2024MEDIAS / MONDEDans un communiqué, publié le 25 juillet 2024, le Haut Conseil des Maliens de Côte d’Ivoire (HCM-CI), le Conseil Supérieur de le Diaspora malienne (CSDM) et le Conseil National de la Jeunesse malienne en Côte d’ivoire (CNJ) se sont conjointement désolidarisés d’une demande circulant sur les réseaux sociaux avec pour but de tenir une manifester devant l’ambassade du Mali en Côte d’ivoire, le vendredi 02 Août 2024. Agissant au nom d’une soi-disante « Association des Maliens de la CEDEAO en Côte d’Ivoire », les responsables des trois faitières citées, ont rappelé être les seuls habilités à parler au nom de la communauté malienne en Côte d’Ivoire et de ce fait ont dénoncé avec rigueur un « acte crapuleux d’usurpation de titre » dans lequel ne se reconnait aucun Malien vivant en Côte d’ivoire. « Rejeter leur marginalisation, réaffirmer leur attachement à la CEDEAO et dénoncer la tentative de retrait unilatéral du Mali de la CEDEAO >> se sont les motifs mis en avant par certains individus se réclamant d’une « Association des Maliens de la CEDEAO en Côte d’Ivoire » pour l’organisation d’une manifestation devant l’ambassade du Mali en Côte d’ivoire, le vendredi 02 Août 2024. En tant que seuls habilités à parler au nom de la communauté malienne en Côte d’Ivoire, le Haut Conseil des Maliens de Côte d’Ivoire (HCM-CI), le Conseil Supérieur de le Diaspora malienne (CSDM) et le Conseil National de la Jeunesse malienne en Côte d’ivoire (CNJ), ne sont pas restés silencieux. Dans un communiqué conjoint, ils ont dénoncé un acte crapuleux d’usurpation de titre dans lequel les Maliens de Côte d’Ivoire ne se reconnaissent pas. De plus les trois faitières qualifient les motifs mis en avant pour la tenue de cette manifestation, c’est-à-dire, « Rejeter leur marginalisation, réaffirmer leur attachement à la CEDEAO et dénoncer la tentative de retrait unilatéral du Mali de la CEDEAO >> de « fallacieux », puisque rappellent-t-ils que la communauté malienne de Côte d’Ivoire a déjà exprimé plusieurs fois sa solidarité aux Autorités maliennes dans leur combat pour la souveraineté. En outre, les trois faitières considèrent cette association fictive qui n’a aucune existence légale car ne disposant d’aucun récépissé sert de paravent aux politiques aux desseins inavoués et en perte de popularité et de ce fait, ne saurait en aucun cas s’opposer à une décision souveraine, prise en toute connaissance de cause par les plus Hautes autorités de la Transition Ils ont profité de l’occasion pour réaffirmer leur soutien non seulement au président de la transition, le col. Assimi Goïta, mais également à ses pairs de l’AES, leurs Excellences le Général Abdourhamane TIANI et le Capitaine Ibrahim TRAORE. « Nous en appelons à l’ensemble de nos concitoyens à rester vigilants et mobilisés derrière les autorités de la Transition » ont-ils indiqué. En réponse à la fameuse problématique de retrait des trois pays de la CEDEAO, les trois faitières ont tenu à rassurer leurs concitoyens que le Mali demeure toujours membre de l’UEMOA et qu’à ce titre aucune entrave ne sera faite à la libre circulation et au libre établissement des citoyens des pays membres dans ledit espace. Issa Djiguiba Source : LE PAYS [...] Maillage territorial du Mali : après IN-AFARAK, les FAMa au seuil de TINZAOUATENE 29/07/2024MEDIASDepuis jeudi 25 juillet 2024, les forces armées maliennes sont en progression sur TINZAOUATENE, une zone frontalière de l’Algérie située à près de 233 km au nord-est de kidal. Cette opération qui se poursuit toujours a permis d’infliger de lourdes pertes aux terroristes (GAT). Selon un communiqué de l’état-major publié le 26 juillet, une vingtaine de terroristes ont été en plus d’importante quantité de véhicules et de matériels de guerre détruits. « Les unités FAMa recherchent et détruisent la coalition mafieuse des groupes armés, auteurs d’abus et de rackets sur les paisibles populations avec la mise en place des postes de contrôle illégaux sur les axes restreignant la liberté de mouvements des transporteurs » avait indiqué l’état-major général des armées du Mali, le 22 juillet lors de la reprise de la localité de IN-AFARAK, hors de contrôle de l’Etat depuis une décennie. Située à environ 122 Km au NORD-OUEST DE TESSALIT, région de KIDAL, cette partie du territoire était également devenue un carrefour commercial très important, sujet à plusieurs trafics. Booster hors de Kidal, la coalition des terroristes s’est repliée dans certaines zones frontalières du Mali comme celle avec l’Algérie. Mais avec courage et détérioration, les forces armées maliennes (FAMa) ont fait serment de ne laisser aucune portion du territoire national entre la main des terroristes. « L’Etat-Major Général des Armées rassure que la sécurité des populations reste une priorité et que les unités FAMa continueront des actions similaires jusqu’à la garantie de la liberté de mouvement des populations » rassure ainsi la population, la hiérarchie militaire. Malgré que la baille TINZAOUATENE ait fait 02 morts, 10 blessés, 02 blindés et 02 Pick up hors service du côté FAMa, « les combats ont repris ce matin du 26 juillet 2024 avec deux frappes chirurgicales contre des positions ennemies » fait savoir l’état-major général des armées du Mali pour témoigner de l’engagement des hommes sur le terrain. Issa Djiguiba Source : LE PAYS [...] Etudes supérieures : Perspective sahélienne et African initiative partagent les opportunités en Russie 22/12/2024Education / MEDIAS / MONDEDepuis un moment, le Mali et la fédération de Russie renforcent leurs coopérations bilatérales dans plusieurs domaines. C’est dans ce cadre que, le samedi 21 décembre au CICB, l’Association Perspective sahélienne en partenariat avec African initiative a organisé, une conférence débat sur l’interaction entre le Mali et la fédération de Russie en matière de l’éducation. L’objectif était de briffer les étudiants et les établissement d’enseignement supérieurs maliens sur la destination attractive de la Fédération de Russie en matière de formation à l’éduction supérieure. Malgré les manipulations politiques visant à détourner l’attention de l’opinion publique sur les opportunités existantes en Russie, l’Ex-URSS, comme par le passé, détient toujours, voire plus, des atouts qui attirent les citoyens du monde entier. Sur le seul domaine de l’éducation qui nous intéresse ici, la Fédération de Russie dispose de plus de 700 universités et plus de 400 domaines de formation tels que le Droit, la sante, les sciences humaines et naturelles, la technologie, l’Art et la culture, le Bâtiment ou les travaux publics etc. Selon les statistiques les plus récentes, plus de 300 000 étudiants optent pour leurs études supérieures en Russie. Dans le contexte de redynamisation de ses relations avec le Mali, la fédération de Russie entend pleinement faire profiter notre pays de toutes ces opportunités. C’est pourquoi au titre de la rentrée universitaire 2024-2025, la Fédération de Russie a offert gracieusement au gouvernement du Mali 290 bourses d’études pour le cycle supérieur. Ainsi afin de mieux informer le monde universitaire malien sur les conditions d’obtention de ces bourses et parallèlement les multitudes autres opportunités qu’offre la fédération de Russie en matière de l’éducation supérieure, l’Association Perspective sahélienne en partenariat avec African initiative a organisé, samedi dernier, une conférence débat pour permettre une interaction entre les cibles ( universités et Etudiants) au Mali et en Russie ainsi que les responsables qui entrent en action à tous les niveaux du processus. Une rencontre très riche de contenus qui a permis aux participants de découvrir encore plus la Fédération de Russie et les diverses opportunités qu’elle offre aux citoyens du monde entier pour la formation de ressources humaines capables de relever les défis de l’homme et de l’humanité. Pour les représentants des universités maliennes à la conférence parmi lesquels celui de l’Association des établissements privés d’enseignement supérieur qui regroupe 108 universités privés, ce cadre d’échanges et de partage est une « aubaine » pour le Mali, pour l’Afrique et le monde. A côté de lui, certains ont exhorté de travailler plus pour déconstruire le mythe de la géopolitique qui règne sur la Russie afin de pouvoir mieux faire ces opportunités qu’offre la Russie. D’autres ont, pour leur part, mis l’accent sur la création d’une plate-forme d’échanges et de collaboration ainsi que l’instauration des Cours en ligne pour ceux qui ne seront pas retenus pour les bourses. Ces derniers pensent qu’il y a « plus d’étudiants en dehors des universités qu’à l’intérieur » et pour eux seule l’éducation en ligne est une alternative pour combler le besoin criard de formation au Mali. Issa Djiguiba [...] Transparence dans les Industries Extractives au Mali : les hommes de média outillés par l’ITIE 22/12/2024ECO & FINANCE / MEDIASConformément à sa mission de dissémination après publication de chaque rapport, l’Initiative pour la Transparence dans les Industries Extractives au Mali (ITIE-Mali) était face à la presse, les 19 et 20 décembre 2024, dans le cadre d’un atelier de renforcement des capacités. En raison de son rôle très important prépondérant pour l’éducation et la sensibilisation de masse, cette session à l’intention de la presse, en plus de la dissémination des rapports 2022 et 2023, s’est élargie sur la norme ITIE elle-même, l’industrie minière au Mali en général, ses acteurs ainsi que les législations qui le régissent. C’était sous la présidence du chef de cabinet du ministre des Mines, M. Yacouba KEBE. « Le respect des normes de redevabilité » autant pour le trésor public, les collectivités territoriales et les communautés locales, les sociétés minières et l’environnement, c’est tout le sens de l’adhésion de notre pays, le Mali à l’Initiative pour la Transparence dans les Industries Extractives au Mali (ITIE-Mali) en 2006. Il faut noter que la norme ITIE 2023 consacre la quatrième édition de la norme mondiale qui promeut la transparence et la redevabilité dans la gestion des ressources minières, gazières et pétrolières. Ainsi depuis 2006, 18 rapports ont été publiés pour attirer l’attention de l’opinion et du pouvoir publics et de l’ensemble des parties prenantes sur ce qui peut constituer un déséquilibre ou une menace pour le partage équitable des ressources extractives au Mali. Le rapport bien prisé par les structures de lutte contre la corruption, donne des données claires et précises, sur les réserves d’Or des sociétés minières ; leur production par région ; les exportations par pays destinataires (secteur industriel et artisanal) ; les productions rapprochées entre la DNGM et les sociétés minières ; les données d’exportation rapprochées entre la DGD et les sociétés minières ; les ventes locales ; la participation de l’Etat ; la contribution du secteur extractif à l’économie nationale ; les ventes locales ; la participation de l’Etat ; la contribution du secteur extractif au budget des collectivités locales, (transfert de paiement) ; affectation des permis miniers par le trésor public ; contribution du secteur extractif au développement communautaire (paiements sociaux) ; le contenu local (fourniture locale) ; la publication des contrats miniers ; le cadastre minier, entre autres. L’objectif spécifique de cet atelier était de mettre à jour les hommes de média sur les nombreuses innovations de l’ITIE afin de jouer pleinement leur rôle d’éducation, de sensibilisation et d’alerte de l’opinion et du pouvoir public. Bien que d’énormes défis restent à relever, l’ITIE pense que la nouvelle loi minière et son contenu local de 2023 est une avancée majeure pour une répartition équitable des ressources extractives au Mali. Issa Djiguiba [...] 1er Forum international annuel du Liptako-Gourma : l’AES sur le chantier du développement 12/12/2024ECO & FINANCE / MEDIAS / MONDEDeux mois après la session du comité régional de coordination du programme conjoint de résilience et de stabilisation au Sahel (PCSS), les trois pays de l’AES bénéficiaires des Projets Communautaires de Relèvement et de Stabilisation du Sahel (PCRSS) ont tenu le 1er Forum International Annuel (FIA) sur le développement du Liptako-Gourma, sous le thème : « Relèvement et Stabilisation : Facteurs clés du développement Territorial de la région du Liptako-Gourma » à Bamako. Un cadre d’échanges et de partage d’expériences d’experts et membres des Comités scientifiques du Burkina Faso, du Mali et du Niger pour booster le développement socioéconomique de la région du Liptako-Gourma. Harmoniser les politiques régionales pour renforcer les actions de développement en faveur des populations de la région du Liptako-Gourma. Tel est l’objectif du tout premier forum international annuel pour le développement territorial du Liptako-Gourma qui a ouvert ses portes le mardi 10 décembre 2024 à Bamako. Les experts et membres des Comités scientifiques du Burkina Faso, du Mali et du Niger sont réunis pour trois jours à Bamako, la capitale malienne dans le cadre du forum international pour le développement territorial du Liptako-Gourma. Confrontés à de multiples défis sécuritaires, de fragilité économique et de précarité sociale, les trois pays ont jugé nécessaire de conjuguer leurs efforts pour une synergie d’actions afin de soulager plus de 2 millions de personnes en situation de vulnérabilité. C’est pourquoi un accent est mis sur la question de développement dans cette région en proie à la crise sécuritaire. Pour le Coordonnateur des Projets Communautaires de Relèvement et de Stabilisation du Sahel (PCRSS) au Mali, M. Ibrahim Adama Berthé ce forum est une volonté manifeste de la dynamique de collaboration affichée par les trois pays dans divers secteurs clés de développement. Tout en remerciant les plus hautes autorités des trois pays pour cet engagement commun en faveur des populations de la région Liptako-Gourma, M. Berthé a réaffirmé à son tour son accompagnement à cette dynamique. Il faut noter que ce forum est une initiative de l’Autorité pour le Développement des États du Liptako-Gourma (ALG) avec pour but de promouvoir et consolider les acquis des multiples actions, entre autres pour l’amélioration des conditions de vie des populations, l’intégration et la coopération transfrontalière entre les peuples, structures, ONG et collectivités territoriales des trois pays. Dans le contexte actuel de création de la confédération des Etats du Sahel, un diagnostic des facteurs de développement ne peut être que bénéfique pour les populations du Sahel. Pour le Ministre de la Réconciliation, de la Paix et de la Cohésion nationale, le Général de Corps d’Armée Ismael WAGUE, les défis complexes doivent plutôt être perçus comme une opportunité d’intensifier les efforts collectifs, de puiser dans leur résilience et d’exploiter leur ingéniosité pour transformer ces obstacles en tremplins vers le progrès. Pour lui, les défis sont loin d’être insurmontables. En plus de ce rendez-vous annuel de dialogue et de partage d’expériences entre acteurs et communauté scientifique de la région, l’ALG a annoncé la mise à la disposition très prochaine des populations de l’AES, d’une plateforme de gestion de connaissances afin de faciliter l’émergence de réflexions sur des questions d’intégration socio-économique et de développement sur tous les domaines y compris la gestion des ressources naturelles dans les régions. Sur cette question, la Secrétaire exécutive de l’ALG, Hawa AW, estime que « la production et la gestion des connaissances à travers la recherche est un intrant important pour annoncer le dialogue par des discussions régionales autour des résultats de la recherche, des rencontres sur des questions transfrontalières, la gouvernance locale, la cohésion sociale, la résilience climatique et toute autre dynamique régionale de mobilité et de transport ». A la croire, « les informations collectées qui émanent de nos Etats sont fiables, réelles, non biaisées et seront disponibles à tous » Issa Djiguiba [...] Copyright © 2024 Fasomali.com. Tous droits réservés. Theme ColorMag par ThemeGrill. Propulsé par WordPress.