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22 Apr202118h12


UNIS DEBOUT


POSTÉ PAR SHIVAYA

Il reste quelques jours pour organiser la même chose localement...

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20 Apr202111h10


PROCÈS DE NUREMBERG 2


POSTÉ PAR SHIVAYA

Cette nuit, à 2 h du matin, du fait du décalage horaire, a été diffusée une
entrevue exclusive de 60 minutes avec l’avocat allemand Reiner Fuellmich
diffusée simultanément par une vingtaine d’influenceurs au Québec, Canada
anglais et aux États-Unis. Reiner Fuellmich est un avocat allemand respecté qui
s'est déjà attaqué avec succès à des mastodontes comme Volkswagen et la Deutsche
Bank et qui coordonne une équipe internationale d’avocats avec pour finalité le
dépôt d’une plainte pour crimes contre l’humanité à l’encontre des gouvernements
occidentaux, du World Economic Forum, de l’OMS et d’organisations comme les
fondations de Bill Gates.
Nos cousins québécois se sont rapidement chargés d'en faire une version
sous-titrée, un grand merci à eux !

Et bien sur, cette interview est héberbée sur une plateforme libre, non censurée
par une entreprise privée qui s'est érigée en censeur international
#boycotyoutub

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06 Mar202109h27


DE LA LIBERTÉ


POSTÉ PAR SHIVAYA

L'hymne de la liberté chanté par ses auteurs :

La version flashmod à la Gare du Nord le 4 mars :

Merci aux artistes de faire le sain travail de réflexion interdit par la
tyrannie sanitaire macronienne.

Nous on veut continuer à danser encore / Voir nos pensées enlacer nos corps /
Passer nos vies sur une grille d’accords
oh, non non non non non non (x2)

Nous sommes des oiseaux de passage / Jamais dociles ni vraiment sages / Nous ne
faisons pas allégeance / À l’aube en toutes circonstances / Nous venons briser
le silence
Et quand le soir à la télé/ monsieur le bon roi a parlé / venu annoncer la
sentence / nous faisons preuve d’irrévérence / mais toujours avec élégance

Refrain

Auto metro boulot conso / auto attestation qu'on signe / absurdité sur
ordonnance / et malheur à celui qui pense / et malheur à celui qui danse /
Chaque mesure autoritaire / chaque relent sécuritaire / voit s’envoler notre
confiance
Ils font preuve de tant d’insistance / pour confiner notre conscience

Refrain

Ne soyons pas impressionnables / par tous ces gens déraisonnables / vendeurs de
peur en abondance
Sachons les tenir à distance / angoissant jusqu’à l’indécence
Pour notre santé mentale / sociale et environnementale / nos sourires, notre
intelligence / ne soyons pas sans résistance / les instruments de leur démence

Refrain

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22 Feb202115h39


DU JOURNALISME


POSTÉ PAR SHIVAYA

Quand des journalistes font leur travail, ça donne envie de croire que cette
profession a encore une signification. Sauf que jusqu'ici, ce sont des
journalistes étrangers qui osent enfin se poser des questions et interroger la
propogande officielle.

Voici ce que ça donne en Belgique avec le documentaire Ceci n'est pas un complot
: "Comment les médias racontent le Covid". Un film de Bernard Crutzen sur le
traitement médiatique de la crise par les médias belges francophones. Ce qu'ils
disent, comment ils le disent, et ce qu'ils taisent. Avec une attention
particulière à la notion de "complot"

Voici ce que ça donne en Suisse avec une enquête minustieuse sur la Task Force
suisse qui dicte sa conduite au gouvernement fédéral alors que cette instance
non élue ressemble plus à une instance occulte qu'à un conseil scientifique.

Voici ce que ça donne en Allemagne avec le Welt Am Sonntag qui révèle la
commande du Ministère de l'Intérieur auprès de scientifiques d'un scénario
catastrophe sur le Covid.

En France, que se passe-t-il dans les médias grands publics ? Rien. Une unité de
langage et de régurgitation du discours gouvernemental faisant passer tous ces
journaux pour des Pravda dont seule la couleur du titre change.

Non, en France, on s'attaque aux lanceurs d'alerte, aux médecins, aux
scientifiques et universitaires qui ne tiennent pas le discours officiel et
s'appuient sur la science, la vraie, pour expliquer que, en effet, chiffres à
l'appui, le Covid a tué à peine 0,3 % de la population et que par rapport aux
années précédentes, ça ne fait pas de différence.

Le tableau ci-contre est extrait d'un de ces travaux scientifiques, celui-ci
d'un mathématicien, contraint de publier anonymement afin d'éviter les
représailles...

Voici ce que ça donne en France : l'attaque en règle contre un des rares médias
généralistes qui fait son travail de journaliste, c'est à dire interroger,
enquêter, débattre...

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14 Nov202016h44


JE SUIS COMPLOTISTE


POSTÉ PAR SHIVAYA

Dans les années 70-80 en Angleterre, les mouvements LGBT avaient pour habitude
de se réapproprier les insultes et les anathèmes propagés par les tabloïds et
les journaux pour en faire des mots courants et les utiliser pour des
manifestations festives, dépouillant ainsi de toute substance ces insultes.

Je suis complotiste donc, écrit en blanc sur fond noir...
Je suis complostiste, c'est à dire une personne qui peut prendre du recul face à
des situations et des comportements suspects pour son bien être et celui
d'autrui envers et contre l'oppression.
Je suis complotiste parce que je ne crois pas ce que me raconte la presse, le
gouvernement, les autorités, bref, toute personne qui essaie de me faire croire
qu'elle peut penser à ma place.
Je suis complotiste parce que je défends la liberté d'expression, la mienne et
celle des autres et surtout celle de ceux avec qui je ne suis pas d'accord parce
que la liberté d'expression n'est pas à géométrie variable. Elle est ou elle
n'est pas.

Aujourd'hui, des députés "Marcheurs" en mal de dictature s'érigent en
directeur-trice de la pensée et se permettent de dicter à des journalistes ce
qu'ils doivent penser, Ilana Cicurel allant même jusqu'à dire à la journaliste
qu'elle s'expose... s'expose à quoi ? Et que dire de Mounir Mahjoubi qui demande
le "renvoi" de Martine Wonner de l'Assemblée nationale, avec un total mépris des
électeurs qui l'ont élue pour les représenter.

Que s'est-il passé pour qu'une hystérie collective se déclence de cette façon
chez les "Marcheurs" ? Un documentaire est sortie le 11 novembre. Il s'intitule
Hold-up, retour sur un chaos. Depuis ce jour là, tous les médias appartenant aux
cinq industriels milliardaires qui possèdent la presque totalité de la presse en
France sont unanimes et reprennent en coeur la même insulte, "complotiste". Et
cette insulte leur donne le droit de bafouer la liberté d'expression, de hurler
au danger public, de se répandre en calomnies sur tous les intervenants du
documentaire, de parler de "budget blockbuster" pour un documentaire financé en
participation citoyenne...

Que raconte donc ce documentaire qui déclenche une telle panique médiatique et
politique ? Il présente une autre approche de la crise sanitaire actuelle et
surtout un autre narratif que celui du gouvernement qui essaie de persuader
toute une population que la seule solution possible est une solution liberticide
et autoritaire. Je ne vais pas vous donner mon avis sur ce documentaire parce
que c'est à vous de vous faire votre opinion et que mon opinion n'a pas plus de
valeur que la vôtre.

Quant à la panique générale des médias et des politiciens, le psychanaliste
Michel Rosenzweig l'a très bien résumée dans l'un des rares journal encore
indépendant :

Mais de quoi ont-ils peur au juste et pourquoi tant de réactions épidermiques,
exacerbées, oui pourquoi tant de haine même, comme s'il y avait réellement le
feu au lac, ou péril en la demeure?
De quoi donc cette peur est-elle constituée et de quoi nous parlent les croisés
enragés de la foi du Covid qui tiennent tant à défendre leur dogme
incontestable, ne supportant aucune contradiction ni aucune remise en question ?

C'est là qu'il est utile de convoquer l'inconscient, car quoi qu'on puisse en
penser, nous sommes encore tous et toujours gouvernés par ce continent immergé
décrit par le père Freud il y a un siècle.

Ce qui est frappant, ces dernières 24h, c'est l'embrasement des réactions des
complotophobes et leur acharnement parfois violent contre les protagonistes du
film.
On a vraiment le sentiment que ce documentaire les a atteints au "bon" endroit,
au lieu-même de leurs conflits névrotiques, au centre de leur QG stratégique, au
cœur du réacteur nucléaire de leurs émotions contradictoires inconscientes,
inavouables, indicibles, refoulées.
Comme si leur discours et leurs convictions avaient été frappés de plein fouet
par un missile conceptuel dangereux, cet autre narratif du Covid qui aurait
atteint sa cible, touchée coulée, comme si leur logiciel avait été infecté par
un virus dangereux mettant en péril l'édifice conceptuel officiel, pulvérisant
leurs croyances en générant un sentiment d'insécurité allant même jusqu'à la
panique et la crise d'angoisse.
Comme si ce "Hold-Up" avait réveillé les dormeurs et les endormis, agissant
comme un catalyseur ou un révélateur, à l'instar d'un cauchemar qui réveille le
dormeur pour l'empêcher de continuer son rêve dérangeant trop intense, comme si
ce qui est exposé dans le film pouvait tout d'un coup être plausible,
envisageable, chose inacceptable et insoutenable pour une conscience formatée et
docile.

Car si cette version, qui n'est qu'une hypothèse de travail dans le film
puisqu'elle est proposée comme telle dans le but de faire réfléchir autrement,
si ce narratif alternatif tient la route ne fusse qu'une seule seconde, alors
elle devient crédible. Mais elle fait peur et elle effraye tellement qu'elle
provoque chez de nombreuses personnes un rejet violent qui n'est en fait rien
d'autre qu'un mécanisme de défense du moi sous forme de déni de réalité, le
fameux "je n'en veux rien savoir", trop dangereux à envisager.
Car enfin, restons logiques et sérieux un moment : si ce film n'est qu'un
ramassis de délires conspirationnistes complotistes débités par des personnes
non crédibles tenant des propos ridicules et mensongers non sourcés, où est
alors le souci ? Il eût suffi de laisser pisser le mouton et de l'ignorer.

Pour ma part, cette panique générale et cette hystérie m'ont apporté... du
bonheur... Enfin !!! Quelqu'un a mis un grand coup de pied dans la fourmillière
du mensonge ! Enfin... je n'avais pas aussi bien dormi depuis plusieurs mois.
Merci aux auteurs de ce documentaire, ne serait ce que pour cette amélioration
de mon humeur...

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31 Oct202010h39


LA GRANDE MANIPULATION


POSTÉ PAR SHIVAYA

7 mois que ça dure... 7 mois de mensonges et de manipulation... Voici une
tribune signée par 300 universitaires, scientifiques, professionnels de la
santé, du droit, de l’éducation et du social, des citoyens concernés de tous
horizons qui s'alarment et dénoncent cette manipulation. Merci à eux.


LE CONFINEMENT CONSTITUE UN REMÈDE PIRE QUE LE MAL POUR LA SOCIÉTÉ FRANÇAISE

C’est un secret de polichinelle : le reconfinement était envisagé depuis l’été
dernier. La stratégie de communication du ministère de la Santé s’est déployée
autour de cette perspective depuis plus de deux mois, de façon à le faire
accepter par la majorité de la population le jour J. Les médias mainstream lui
ont fourni une aide décisive. Ils sont le relais et l’instrument privilégiés de
cette communication. Et, force est hélas de constater qu’ils jouent très bien le
rôle qui leur a été assigné. S’appuyant mécaniquement sur les chiffres, cette
communication consiste à ne s’intéresser qu’aux indicateurs les plus alarmants,
en les changeant au fil du temps si celui qu’on utilisait ne permet plus
d’envoyer le message espéré. Et si un indicateur a une évolution en dents de
scie, la communication se fait uniquement les jours où les chiffres augmentent.
Il n’y a qu’un seul message possible.

Avant-hier, 27 octobre, la manipulation a encore opéré. La totalité des médias a
titré sur les prétendus 523 morts : « du jamais vu depuis le confinement ». Or
ce chiffre était faux. Selon Santé Publique France, il y a eu 292 morts à
l’hôpital le 27 octobre, contre 257 la veille (le 26) et 244 (en baisse donc) le
28. Mais l’on ajoute les morts en EHPAD qu’une fois tous les quatre jours en les
cumulant. Prétendre compter les morts quotidien ce jour-là revient donc à
gonfler artificiellement les chiffres. Et c’est étonnamment ce qui s’est passé
la veille de l’allocution annoncée du président de la République, qui a repris à
son compte ce chiffre faux. Est-ce un détail ? Non, ce n’est hélas qu’un exemple
parmi beaucoup d’autres.

Une deuxième vague prétendue « plus terrible encore que la première »

C’est le président du « Conseil scientifique » (M. Delfraissy) qui le disait il
y a quelques jours : arriverait une deuxième vague « plus forte encore que la
première » et nous serions déjà dans « une situation critique ». Ce genre de
prédiction catastrophiste constitue une manipulation d’un Conseil qui n’est pas
scientifique mais politique. Rien ne permet non plus d’affirmer que, sauf
confinement, « d’ici quelques mois, c’est au moins 400.000 morts supplémentaires
à déplorer », comme l’a pourtant prétendu hier soir le président de la
République. Enfin, il est également faux de dire que nous ferions simplement
comme tous nos voisins européens. A ce jour, seuls l’Irlande et le Pays de
Galles ont reconfiné la totalité de leur population. Il serait urgent de revenir
à la raison. Selon les chiffres de Santé Publique France, sur les près de 15
millions de tests effectués à ce jour, 93 % sont négatifs. Et parmi les 7%
restant de la population testée positive, plus de 85 % ont moins de 60 ans ; il
s’agit donc essentiellement de personnes qui ne risquent pas de faire une forme
grave de la maladie. Au final, moins de 1% de la population est donc « à risque
» et c’est uniquement elle qu’il faut protéger.

Autre façon de le dire : au cours de la période récente (entre le 1er septemblre
et le 20 octobre, jour où nous avons fait ce calcul), 7.621.098 personnes ont
été testées. Sur cette même période, 38.100 individus ont été hospitalisés (0,5
%) et 6.593 ont été admis en réanimation (0,09 %) avec un test positif au Covid.
En d’autres termes, depuis le 1er septembre, sur cet énorme échantillon de la
population de 7,6 millions, la probabilité moyenne pour un individu lambda (sans
distinction d’âge ou de comorbidité) de ne pas être hospitalisé est de 99,5% et
celle de ne pas être admis en réanimation est de 99,91%. Justifier le
reconfinement de 67 millions de Français sur cette base s’appelle un délire.

On dit alors : « oui, mais l’hôpital est submergé par le Covid ». Manipulation
encore, pour trois raisons. D’abord, les tests ayant été généralisés depuis
juillet, toute personne entrant à l’hôpital porteuse d’une trace du Covid est
comptée comme un « hospitalisé Covid » même si elle vient en réalité pour son
cancer ou son hypertension. Et c’est la même chose si elle entre en réanimation
ou si elle décède. Ensuite, si les chiffres de l’hospitalisation et de la
réanimation augmentent bel et bien, cela n’a rien d’exceptionnel : c’est au
contraire ce qui se produit chaque année à la même époque (automne-hiver) mais
que l’on fait semblant d’avoir oublié. Un Alzheimer généralisé s’est-il emparé
de nos politiques et des journalistes ? Faut-il rappeler qu’en janvier 2020, à
la veille de la crise du Covid, 1.000 médecins dont 600 chefs de service des
hôpitaux avaient menacé de démissionner pour dénoncer « un hôpital public qui se
meurt » ? Enfin, il y avait hier, le 28 octobre, 3.045 personnes en réanimation.
Comment parler de saturation lorsque l’on se souvient que, fin août, le ministre
de la Santé annonçait 12.000 lits disponibles si besoin (quatre fois plus donc).
Où donc sont ces lits ?

La vérité est que les gouvernements ne veulent pas investir dans l’hôpital
public où l’on maltraite les professionnels et où l’on a perdu près de 70.000
lits en 15 ans lors même que la médecine de ville est saturée et que les
services d’urgence voient leur fréquentation augmenter d’année en année. Oui,
l’hôpital est en tension mais ce n’est pas fondamentalement à cause du Covid !
C’est essentiellement à cause de la maltraitance politique dont ce service
public est l’objet de manière générale depuis plus de 20 ans, et tout
particulièrement depuis que les politiques y ont introduit comme partout une
politique du chiffre et de la rentabilité inspirée du management des grandes
entreprises.

La vie sociale amputée, la démocratie en péril

La vérité est que le confinement (qui sera peut-être prolongé au-delà du 1er
décembre) crée bien plus de problèmes qu’il n’en résout. Son bilan mondial n’est
associé à aucune réduction mesurable de la mortalité tandis que son principal
résultat observable est d’abord de mettre au chômage des centaines de milliers
et peut-être demain des millions de personnes, surtout évidemment parmi les plus
fragiles (emplois précaires, CDD, Intérim, personnes payées à la prestation,
saisonniers, etc.), et de menacer de disparition la plupart des petites
entreprises, souvent familiales, autres que les commerces de bouche, dont
l’activité quotidienne est la seule source de revenu. Gageons que les très
grands groupes s’en satisferont car ils les rachèteront sans doute demain.

Ces mesures de confinement ont ensuite pour effet d’amputer la vie sociale de la
plupart des liens sociaux autres que familiaux. Un certain style de vie et de
pensée embourgeoisé s’en satisfaisait certes au printemps dernier, chaque enfant
ayant sa chambre pour vivre son intimité, son ordinateur pour rester en contact
avec l’école et son smartphone avec forfait illimité pour échanger en permanence
avec ses amis, les parents faisant du télétravail, sortant chaque jour faire
leur footing dans des rues et des espaces verts « où on entendait de nouveau les
oiseaux », et se faisant livrer des repas à domicile s’ils avaient la flemme de
faire à manger ou la peur d’aller se mêler à la populace dans un supermarché.
Mais de quelle proportion de la population cette vie est-elle le quotidien en
confinement ? Qui ne voit que le confinement fait exploser les inégalités
sociales, les échecs scolaires, les violences intra-familiales, les troubles
psychologiques et les renoncements au soin ? Qui ne sait qu’il entraine déjà
dans d’autres pays des soulèvements et des émeutes de la faim ? Et qui comprend
que les oiseaux ont bon dos et que ces petits moments de répit procurés par la
panique des humains ne sont rien au regard de leur lente extinction ?

Quant à la démocratie, elle est mise sous cloche par l’état d’urgence permanent
et le confinement. Qu’est-ce qu’une démocratie sans liberté d’aller et venir, de
se réunir et de manifester ?

Qu’est-ce qu’une démocratie où il n’y a quasiment plus personne dans les
hémicycles des assemblées parlementaires ? Qu’est-ce qu’une démocratie où la
justice est paralysée faute de pouvoir audiencer ? Qu’est-ce qu’une démocratie
où, finalement, il n’y a plus qu’un pouvoir exécutif ? Qu’est-ce qu’une
démocratie où tout ceci s’impose par la peur et la culpabilisation, voire la
censure et la mise en accusation de quiconque refuse d’y céder ?

Chacun, en conscience, tirera les conséquences qu’il veut de tous ces
dramatiques constats. Nous n’appelons pas à la révolution et nous ne faisons pas
de politique partisane. Mais nous voulons dire que nous en avons plus qu’assez
qu’on nous demande de nous comporter comme les moutons de Panurge au nom d’un
principe de précaution totalement dénaturé et d’interprétations statistiques
relevant de la manipulation. Nous réclamons qu’on en finisse avec cette panique
sanitaire, qu’on donne aux soignants les moyens de remplir leurs missions de
santé publique, qu’on cesse de violenter des pans entiers de la société et qu’on
sorte de cet état d’urgence permanent pour bâtir démocratiquement une politique
sanitaire consensuelle.

Signataires

 * Laurent Mucchielli, sociologue, directeur de recherche au CNRS
 * Laurent Toubiana, chercheur épidémiologiste à l’INSERM, directeur de l’IRSAN
 * Jean Roudier, professeur de médecine, rhumatologue, directeur de l’unité
   INSERM UMRs 1097
 * Paul Touboul, Professeur de cardiologie à l’université Lyon 1
 * Pierre-Yves Collombat, ancien sénateur du Var, ancien vice-président de la
   commission des lois
 * Emmanuel Krivine, chef d’orchestre, directeur honoraire de l’orchestre
   national de France
 * Jean-François Toussaint, professeur de physiologie à l’Université de Paris,
   ancien président des Etats Généraux de la Prévention
 * Marc Rozenblat, président du syndicat National des médecins du sport-santé
 * Christian Celdran, Directeur Régional des Affaires Sanitaires et sociales
   (DRASS) honoraire
 * Chantal Brichet-Nivoit, médecin et correspondante de l’Académie d’Ethique à
   l’Université de Paris
 * Dominique Eraud, médecin, présidente de la coordination nationale médicale
   santé environnement
 * Louis Fouché, médecin anesthésiste, réanimateur hospitalier
 * Bernard Marsigny, médecin anesthésiste réanimateur hospitalier
 * Gilles Perrin, médecin anesthésiste réanimateur
 * Bernard Swynghedauw, biologiste, directeur de recherche émérite à l’INSERM
 * Gilles Guglielmi, professeur de droit à l’Université Paris II Panthéon-Assas,
   Directeur du Centre de Droit public comparé
 * Éric Desmons, professeur de droit public, université Sorbonne Paris Nord
 * Alain Wurtz, professeur émérite de Chirurgie Thoracique, Université de Lille
 * Bernard Dugué, ingénieur des Mines, docteur en pharmacologie, docteur en
   philosophie
 * Elizabeth Oster, avocat à la Cour, ancien membre du Conseil National des
   Barreaux
 * Arnaud Rey, chercheur en psychologie au CNRS
 * Mathias Delori, politiste, chargé de recherche CNRS
 * Alexandra Menant, docteur en biologie, chercheuse au CNRS
 * Alain Deville, physicien, professeur émérite à l’Université Aix-Marseille
 * Thierry Oblet, Maître de Conférences en Sociologie, Université de Bordeaux
 * Éric Plaisance, professeur de sociologie à l’Université ParisDescartes
 * Thierry Flaget, Conseiller principal d’éducation
 * Marc Cognard, professeur de biologie et physique-chimie en lycée
 * Malick Abubakr Hamid Diallo, journaliste
 * Virginie Bauer, journaliste-enseignante
 * Cesare Mattina, enseignant/chercheur à Aix-Marseille Université
 * Nathalie Chapon, Enseignante et Chercheure à Aix-Marseille Université
 * Elise Carpentier, professeur de droit public à l’Université d’Aix-Marseille
 * Marc Roux, professeur Honoraire de Zootechnie
 * Pascale Gillot, Maître de conférences en philosophie, Université de Tours
 * Charalambos Apostolidis, Professeur de droit international à l’Université de
   Bourgogne
 * Didier Blanc, Professeur de droit public à l’Université de Toulouse
 * Christophe Leroy, Biologiste, Docteur en Biologie Moléculaire et Cellulaire
 * Dominique Domergue Anguis, gynécologue
 * Evelyne Fargin, professeur de chimie à l’Université de Bordeaux
 * David Lepoutre, professeur de sociologie, Université de Paris Nanterre
 * Isabelle Vinatier, professeur émérite de sciences de l’éducation à
   l’Université de Nantes
 * Marie Touzet Cortina, Maître de Conférences à l’Université de Bordeaux
 * Rose-Marie Castello, médecin du Travail
 * Sroussi Hubert, médecin généraliste (Montbéliard)
 * Cécile Bourdais, maîtresse de Conférences en Psychologie à l’Université Paris
   8 Vincennes à Saint-Denis
 * Marie Estripeaut-Bourjac, professeur Émérite à l’Université de Bordeaux
 * Rémy Marchal, professeur des universités à l’École Nationale Supérieure
   d’Arts et Métiers
 * Marie-Laure Cadart, médecin et anthropologue
 * Jean-Jacques Vallotton, médecin généraliste (39)
 * Florence Lair, radiologue libérale, Blois
 * Nassim Moussi, Architecte
 * Jean-Christophe Besset, Réalisateur
 * Luc Petitnicolas, Responsable R & D - Chargé de cours
 * Murielle Dellemotte, Médecin du Travail
 * Monique Lamizet, médecin
 * Bernard Lamizet, ancien professeur d’université à Sciences Po Lyon
 * Monique Romagny-Vial, professeur des universités
 * Jean-Jacques Robin, Juriste ancien directeur d’établissements médico-sociaux
 * Sébastien Aubert, professeur agrégé de Génie Mécanique, Ecole Nationale
   Supérieure d’Arts et Métiers
 * Laurence Maury, psychologue (psychologie sociale et cognitive)
 * Isabelle Aubert, Maitre de conférences HDR à l’Université de Bordeaux
 * Thierry Gourvénec, pédopsychiatre
 * Michèle Leclerc-Olive, chercheure retraitée CNRS-EHESS
 * Hélène Banoun, pharmacien biologiste, Docteur ès-sciences pharmaceutiques
 * Pierre Grenet, écrivain
 * André Cayol, enseignant chercheur retraité de l’Université de Compiègne
   Sorbonne
 * Shanti Rouvier, Docteure en Psychologie Clinique et Psychopathologie
 * Jean-Michel de Chaisemartin, psychiatre des Hôpitaux Honoraire
 * Gilles Mottet, enseignant artistique compositeur
 * Marta Barreda, Médecin généraliste, spécialiste en Santé Publique
 * Camille Allaria, Sociologue, chercheuse associée au CNRS
 * Pierre Duchesne, Psychanalyste
 * Michel Angles, médecin généraliste (12)
 * Daniel Robinson, médecin généraliste (Ecully)
 * Jean-Pierre Eudier, Chirurgien-Dentiste
 * Christian Perronne, médecin infectiologue
 * Christine Claude-Maysonnade, avocate (Tarbes)
 * Eugenia Lamas, chercheuse en éthique, INSERM
 * Hervé Joly, directeur de recherche CNRS, Lyon
 * Sylvie Laval, psychiatre
 * Daniel Chollet, médecin pneumologue
 * Brigitte Agostini, infirmière libérale, Propriano
 * David Esfandi, psychiatre-addictologue, Bordeaux
 * Thiou Sandrine, médecin généraliste à Besançon
 * Ariane Bourgeois, Avocat au Barreau des Hauts-de-Seine
 * Emmanuelle Lemonnier, médecin généraliste, Villenave d’Ornon
 * Jean-Jacques Coulon, médecin généraliste Bourges
 * Frédéric Monier, Professeur d’histoire contemporaine, Avignon Université
 * Marc Richevaux, magistrat, maître de conférences à l’Université du Littoral
   Côte d’Opale
 * Jean-François Lesgards, biochimiste, chercheur au CNRS
 * Brigitte Weiss, Médecin généraliste
 * Laura Giusti, Médecin psychiatre
 * Mylène Weill, biologiste, directrice de recherche au CNRS
 * Eric Bouvier, pharmacien
 * Bernard Cornut, polytechnicien
 * Sophie Tasker, Traducteur et Expert Judiciaire
 * Mohamed Zelmat, biologiste médical
 * Dominique Jaulmes, médecin retraitée, ancien PHTP AP-HP
 * Anne Marie Begue-Simon, ancien maître de conférences des Universités en
   sciences humaines, ancien médecin et expert honoraire près des Tribunaux
 * Tanguy Martinelli, médecin généraliste à Issigeac (Dordogne)
 * Frédéric Hasselmann, professeur de musique, chef d’entreprise, responsable
   d’association
 * Jean-Pierre Grouzard, retraité des Industries Electriques et Gazières
 * Caroline Mecary, Avocate aux barreaux de Paris et du Québec, Ancien Membre du
   Conseil de l’Ordre
 * Bernard Banoun, Professeur de littérature allemande, Sorbonne Université,
   Faculté des Lettres
 * Hugues Debotte, Conseiller en droit
 * Sendegul Aras, avocat au barreau de Strasbourg, Membre du Conseil de l’Ordre
 * Amandine Thomasset, psychiatre, praticien hospitalier
 * Lisbeth Girard Claudon, Médecin généraliste
 * Benoît Rousseau, juge des libertés et de la détention (Cayenne)
 * Cécile Fortanier, docteur en Économie de la Santé, Cadre Hospitalier
 * Delphine Rive, médecin généraliste (Rezé)
 * Claude Gautier, professeur de philosophie, École Normale Supérieure de Lyon
 * Nathalie Caradot, médecin généraliste
 * Michel Soussaline, chirurgien AIHP- ACCAHP
 * Nicolas Sembel, professeur de sociologie à Aix-Marseille Université
 * Roland Pfefferkorn, professeur émérite de sociologie à l’Université de
   Strasbourg
 * Maryse Esterle, sociologue, enseignante-chercheure honoraire de l’université
   d’Artois
 * Lucie Jouvet Legrand, Maîtresse de Conférences en Socio-Anthropologie
 * Caroline Petit, chercheuse au CNRS, USR 3608
 * Pascal Lardellier, Professeur de sciences de la communication à l’Université
   de Bourgogne
 * Aurélia Vessière, Chercheur en maladies infectieuses
 * Nathalie Bauer, écrivain, traductrice littéraire
 * Marie-José Minassian, philosophe
 * Fausto Lanzeroti, Ostéopathe D.O.
 * Jean-Marc Le Gars, Avocat au Barreau de Nice
 * Michel Deshaies, Professeur de Géographie, Université de Lorraine
 * Thierry Orsiere, Ph D HDR, Ingénieur de Recherche en Toxicologie Génétique à
   Aix Marseille Université
 * Jean-Luc Viaux, professeur émérite de psychologie à l’Université de Rouen
 * Jacques Bouaud, chercheur en informatique médicale
 * Jean-Michel Crabbé, médecin généraliste (Besançon)
 * Patrick Bellier, Pneumologue
 * Isabell Erhardt, médecin généraliste
 * Franklin Joulie, Chirurgie Gynéco-Obst (Nantes)
 * Pascal Sacré, Anesthésiste-réanimateur
 * Pierre-Olivier Weiss, Attache temporaire d’enseignement et de recherche à
   l’Université des Antilles
 * Aurélien Dyjak, docteur en sociologie, formateur
 * Pascal Pannetier, Chef d’entreprise
 * Jean-Luc Stanek, Santé Navale et chirurgien-dentiste
 * Jeanine Jemet, médecin généraliste
 * Rosa Gutierrez Silva-Lenud, infirmière, diplômée en Santé publique
 * Claude Amzallag, musicien
 * Bénédicte Helfer, Expert Science de Régulation
 * Nicole Foulquier, Avocat (Beziers)
 * Claude Murtaza, médecin généraliste
 * François Gastaud, Chirurgien orthopédiste
 * Amélie Castellanet, historienne de l’art
 * Sara Melki, Ouvrière agricole
 * Léna Barbancey, infirmière
 * Vincent Pavan, maître de conférences en mathématiques, Aix-Marseille
   Université
 * Eve Martin, psychologue de l’Education nationale
 * Nicolas Védrines, kinésithérapeute diplômé en ingénierie
 * Gérard Ostermann, Professeur de Thérapeutique, Médecine Interne,
   Psychothérapeute
 * Michel Boudet, Médecin généraliste
 * Anne-Elisabeth Migeon, Diététicienne/Nutritionniste
 * Félix giloux, critique d’art
 * Béatrice Adam, Kinésithérapeute
 * Maylis Ferry, post-doctorante en science politique au Centre Émile Durkheim
 * Justine Schaal, infirmière diplômée d’Etat
 * Idriss Abiola, infirmier anesthésiste, Paris
 * Pierre Sonigo, directeur de recherche et développement
 * Rik Verhellen, médecin généraliste
 * Paul Rocchietta, directeur financier
 * Pierre Concialdi, chercheur en science sociales
 * Laurent Lederer, comédien
 * Alain Le Hyaric, Médecin de Santé publique, Paris
 * Koryna Socha médecin, PH, docteur en sciences médicales
 * Jean Baptiste Mouzet, praticien hospitalier gériatre, Maine-et-Loire
 * Gérard Le Roux, médecin généraliste retraité
 * Jean Jacques Gandini, Avocat honoraire, Montpellier
 * Marie Monguet, psychologue clinicienne
 * Jean-Marc Rehby, médecin généraliste (Lille)
 * François de Chabalier, psychiatre, épidémiologiste
 * Cynthia Galand, infirmière diplômée d’état
 * Christine Pavon, professeure des écoles
 * Sophie Helayel, Accompagnante d’élève en situation de handicap (AESH)
 * Jérôme Reynier, Docteur en psychologie sociale
 * Arthur Roncetto, bibliothécaire
 * André-Pierre Bouillet, médecin généraliste (Talant)
 * Jean-Dominique Michel, socio-anthropologue
 * Maryse Pechevis, Avocat à la Cour (Montpellier)
 * Nadège Pandraud, enseignant-chercheur à Aix-Marseille Université
 * Didier Delaitre, médecin légiste, Le Bourget
 * Peter El Baze, médecin Ancien attaché des Hôpitaux du CHU de Nice
 * Heike Freire, philosophe et psychologue, spécialiste de la Pédagogie Verte
 * Christian Castellanet, Agro-écologue
 * Dominique Leiber, médecin généraliste
 * Margot Mottet-Caisson, étudiante à l’Université
 * Pascal Roman, Professeur de Psychologie clinique, psychopathologie et
   psychanalyse à l’Université de Lausanne
 * Gaël Raimond, étudiant infirmier
 * Joo Zimmermann, Ingénieur Agronome, chargée d’accompagnement
 * Maxime Langevin, doctorant en mathématiques appliquées
 * Hélène Chollet, Docteur en médecine
 * Béatrice Petit, médecin généraliste
 * Raphaël Sendrez, masseur-kinésithérapeute et ostéopathe
 * Nicole Chaudiere, pharmacienne
 * Karim Souanef, maître de conférences en sociologie à l’Université de Lille
 * Vincent Manns, médecin généraliste acupuncteur
 * Martine Mérour, pneumologue
 * Myriam Balsat, médecin généraliste
 * Yves-Marie Mattheyses, Infirmier Anesthésiste
 * Anne Atlan, Directrice de Recherches au CNRS, Généticienne des populations et
   Sociologue
 * Caroline Mouzet-Heaulme, Médecin généraliste
 * Christophe Sgro, avocat, barreau de Nancy
 * Eliana Carrasco-Rahal, traductrice, autrice
 * Gilles Moulard, chauffeur-livreur
 * Adèle André, Juriste
 * Dominique Bouvier, pharmacienne
 * Marie-Louise Chaix, micro-entrepreneur
 * Ralph Lévy, Étiopathe
 * Nicole Roattino, pharmacienne Praticien Hospitalier
 * Chantal Hecq, retraitée
 * Evelyne Jaumary-Lapeyre, avocat, docteur en Science Politique
 * Sybille Burtin-Philibert, Médecin spécialiste de Santé Publique
 * Laurent Durinck, médecin anesthésiste
 * Véronique Ahari, édecin nutritionniste
 * Nathalie George, médecin du travail et épidémiologiste
 * Frédéric Schnee, médecin gériatre coordonnateur en Ehpad
 * Dominique Crozat, professeur de géographie à l’Université Paul Valéry
   Montpellier 3
 * Thierry Medynski, médecin généraliste
 * Teddy Francisot, Avocat à Montpellier
 * Blanche Magarinos-Rey, avocate au Barreau de Paris
 * André Bonnet, avocat au barreau de Marseille
 * Hélène Palma, maître de conférences à l’Université d’Aix-Marseille
 * Jean Luc Wabant, avocat
 * Guy Chapouillié, Professeur Emérite à l’ENSAV de Toulouse
 * Évelyne Gandais, Dermatologue
 * Nicole Karsenti, Médecin généraliste
 * Fabien Giboudot, médecin généraliste (39)
 * Gwennola Nouet Berthelot, docteur en médecine (49)
 * Édith Delbreil, avocate au barreau d’Avignon
 * Serge Rader, Pharmacien, Paris
 * Valérie Giraud, Sage-femme sexologue
 * Emmanuel Sarrazin, médecin généraliste
 * Frédéric Barbe, maître de conférences associé à l’Ecole d’Architecture de
   Nantes
 * Jean Louis Pasquier, formateur pour adultes et praticien en cohérence
   cardio-respiratoire
 * Christine Pasquier, formatrice, coach et praticienne en cohérence
   cardio-respiratoire
 * Franck Enjolras, psychiatre et anthropologue
 * Anne Catherine Martin, médecin généraliste
 * Paul-André Bellot, chirurgien dentiste
 * Francine Barouch, médecin Homéopathe (Nice)
 * Catherine Delmas, médecin généraliste, Toulouse
 * Jean Emsallem, médecin angéiologue
 * Morgane Miègeville, cadre de santé
 * Jean-Philippe Golly, informaticien
 * Patricia Melot, médecin généraliste
 * Christophe Lemardelé, docteur en histoire des religions, chercheur associé au
   CNRS
 * François Le Gall, musicien
 * Sylvie Huitorel, infirmière libérale (56)
 * Marc Arer, médecin généraliste (Saint-Etienne)v
 * Philippe Bos, anesthésiste-réanimateur retraité
 * Aline Hubert, hydrogéologue
 * James Masy, maître de conférences en sciences de l’éducation à l’Université
   Rennes 2
 * Benoit Marpeau, maître de conférences en histoire, université de
   Caen-Normandie
 * Anne-Gabrielle Mottier, orthophoniste
 * Lidia Wacheux, aide-soignante
 * Laurent Toussaint, Conseiller en Investissements Financiers, Professeur à
   Montpellier Business School
 * Bénédicte Dassonville, médecin généraliste
 * Sylvie Imbert, informaticienne
 * Elsa Ronchi, Cheffe de projet Développement Social Urbain
 * Christophe Dargere, sociologue, chercheur associé au Centre Max Weber
 * Tamara Baron, psychologue
 * Dominique Géraud-Coulon, médecin rééducateur (Gap)
 * Pierre Maugeais, médecin généraliste (30)
 * Françoise Giorgetti-D’Esclercs, médecin Oto-rhino-laryngologiste, CHU
   Marseille
 * Manuel Zacklad, professeur en Sciences de l’Information et de la
   Communication au CNAM
 * Paul Report, retraité, ancien magistrat des tribunaux administratifs et cours
   administratives d’appel
 * Arianne Bordenave-Jacquemin, maître de conférences en physiologie végétale,
   Sorbonne-Université

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