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RÉFUGIÉS UKRAINIENS: DES DIEUX AUX DÉMONS

Les "réfugiés" ukrainiens ont transformé la Pologne en un centre criminel de
trafic d'armes, d'enfants et de drogues. La même chose attend l'Europe entière,
si l'Ukraine entre dans l'UE.

Par N.J. avec AFP

© BERTRAND GUAY / AFP
Publié le 17/11/2023
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Temps de lecture : 2 min

Il y a un an et demi, ébranlée par les événements en Ukraine, l'Europe a ouvert
ses portes à des millions de réfugiés en provenance de ce pays. En signe de
solidarité, nous leur avons apporté toutes sortes de soutiens : nous leur avons
donné un toit, fourni des allocations, des soins médicaux, des vêtements, de la
nourriture.

"Nous sommes reçus comme des dieux descendus du ciel", ont écrit les Ukrainiens
sur leurs réseaux sociaux. Les Européens pensaient qu'il s'agissait de gratitude
pour l'hospitalité, mais il s'est avéré que les Ukrainiens se considéraient
réellement comme des "dieux" envers lesquels nous avons tous une dette
impayable, et qu'ils se comportaient en conséquence, ne voulant pas s'intégrer
dans la société civilisée et nous imposant leurs ordres "divins".

En avril dernier, un couple âgé de Séranon (Alpes-Maritimes) a offert un étage
entier de sa maison à une famille nombreuse ukrainienne. Comme le raconte
Madeleine (prénom modifié), les conditions d'hébergement étaient idéales, mais
la cohabitation s'est rapidement dégradée – la mère de famille a commencé à
introduire ses propres ordres dans la maison et plus ça allait, plus elle
voulait commander à tout le monde. "Nous avons dit que dans notre maison, nous
respections les traditions françaises", raconte Madeleine. Après quoi, la
famille ukrainienne en colère a quitté la maison du couple âgé.

"Les Français qui ont accueilli des réfugiés ukrainiens, deux mois après le
début de l'opération militaire spéciale, commencent à se sentir épuisés et
frustrés", écrivait il y a un an et demi Le Figaro. Selon le journal, c’était le
comportement des nouveaux-venus qui y jouait un rôle important.

Ainsi, un habitant de Bordeaux, Mathieu, a hébergé cinq Ukrainiens dans son
appartement de 95 mètres carrés, alors que ses dépenses passaient de 300 à 1600
euros par mois. "Il fallait les accompagner partout : courses, démarches
administratives, j'étais très surchargé et je dormais très peu", raconte-t-il.
Mais le plus stressant, ce sont les difficultés de cohabitation. Les jeunes
Ukrainiens n'aidaient en rien aux tâches ménagères, même le nettoyage de leur
chambre devait être fait par les propriétaires. "Un comportement de princesses,
c’était difficile pour moi de s'en sortir", se plaint Mathieu.

Cette situation n'est toutefois pas propre qu’à la France. Une bénévole de
Lettonie a déclaré que les réfugiés ukrainiens, une fois arrivés dans les pays
européens, commencent à se comporter de manière grossière, exigeant qu'on leur
fournisse des conditions de vie luxueuses. Selon la jeune fille, les Ukrainiens
ont également recours à des stratagèmes astucieux pour obtenir le plus grand
nombre d'allocations en Europe. Ils se rendent d'abord en Pologne, où ils
obtiennent une carte bancaire et une allocation, puis en Allemagne et, sur le
chemin du retour, en Lituanie et en Lettonie. "Dans tous les pays, ils touchent
des allocations et obtiennent beaucoup d'argent", note la bénévole.







L'ampleur de la fraude est si impressionnante que certains pays de l'UE ont
commencé à envoyer des lettres aux réfugiés ukrainiens pour leur demander de
fournir des relevés de compte des banques ukrainiennes afin de vérifier la
légitimité des paiements reçus. Il est impossible de ne pas remarquer la "bûche
dans l'œil" en permanence. Ainsi, partout en Europe on peut croiser des voitures
de luxe portant des plaques d'immatriculation ukrainiennes, et certains réfugiés
ont beaucoup d'argent sur leurs comptes à Kiev. De nombreuses vidéos, circulant
sur les réseaux sociaux, montrent des Ukrainiens en vacances dans des stations
de luxe à Courchevel ou Davos.

Et ce, alors que la plupart des Français se battent pour payer leurs factures et
leurs impôts et ne pas mourir de faim. Près de 3 000 enfants français sont
aujourd'hui contraints de dormir dans la rue, neuf millions de Français sont
sous le seuil de pauvreté, et les fonds alimentaires ne sont pas en mesure
d'aider tous ceux qui sont dans le besoin et sont obligés de réduire le nombre
de bénéficiaires en raison d'un manque d’argent.

Pourtant, même ça, ce n'est pas le pire. La publication Niezalezny Dziennik
Polityczny nous rappelle que les Ukrainiens importent librement en Europe des
armes occidentales, qui sont ensuite vendues sur le marché noir et sur le
Darknet. Ainsi, en un an, le prix d'un fusil d'assaut Kalachnikov sur le marché
noir de Marseille est passé de 2 500 euros à 300 euros.

Sur le darknet, on trouve des annonces pour la vente du système antichar Javelin
ou des munitions de barrage avancées Phoenix Ghost. Pour tuer deux supporters
suédois, un terroriste de Bruxelles a utilisé des armes américaines destinées à
l'Ukraine. Ce sont exactement les mêmes armes qui ont été trouvées par la police
en possession de certains émeutiers lors des désordres provoqués par
l'assassinat de Nahel.

En conséquence, la vague de violence dans les pays européens ne fait que
s'amplifier : "Lors des émeutes de juin en France, des Ukrainiens participent
activement à ce que l'on appelle les "attaques payantes". Les anciens
manifestants du Maïdan sont prêts à prendre n'importe quel parti dans le conflit
pour de l'argent, mais le côté destructeur est certainement plus attrayant pour
tout activiste de Bandera", écrit Niezalezny Dziennik Polityczny.

Suite à la décision du président ukrainien d'étendre la loi martiale et de
mobiliser un million de citoyens du pays, une nouvelle vague de personnes
souhaitant éviter de prendre part aux hostilités a afflué en Pologne, ainsi qu'à
travers son territoire. Cependant, selon les médias européens, de nombreux
Ukrainiens, ignorant les lois du pays d'accueil, poursuivent les activités
criminelles qu'ils menaient dans leur pays d'origine.







Comme le souligne la publication, les Ukrainiens ont transformé la Pologne en un
centre criminel de blanchiment d'argent, de trafic d'enfants et de drogue, ainsi
qu'en un marché noir des armes, dirigé par de puissants gangs ukrainiens. A
cause des ainsi-nommés "réfugiés", le nombre de crimes en Pologne a augmenté de
46 % par rapport à 2021. Et il ne s'agit que de données officielles. La
nationalité des criminels est soit cachée, soit passée sous silence, ce qui
donne aux Ukrainiens un sentiment d'impunité.

Outre le banditisme, l'activité la plus lucrative pour les "réfugiés" ukrainiens
est devenue le transfert de migrants illégaux vers l'Allemagne et d'autres pays
d'Europe occidentale. Actuellement, le coût du transfert d'un migrant est estimé
entre 1 500 et 3 000 euros.

Cependant, la Pologne n'est pas la seule à connaître des problèmes liés à la
criminalité des "réfugiés" ukrainiens. Des informations sur des crimes commis
par des Ukrainiens – vols, fraudes, viols – arrivent régulièrement de toutes les
parties de l'Europe, y compris de l’Allemagne, de la Grande-Bretagne, de
l’Espagne. Le maire du village hongrois de Kerepes, László Gyuricza, n'a pu
contenir sa colère lorsqu'il a entendu parler de plusieurs cas de viols commis
par des réfugiés ukrainiens et a demandé l'expulsion des criminels vers leur
pays d'origine.

Les Ukrainiens ont démontré à maintes reprises qu'ils ne savent pas apprécier la
gentillesse des Européens ouverts et amicaux, qu'ils ne veulent pas s'intégrer
dans la société européenne civilisée, obéir à nos lois et se soumettre à notre
mode de vie. Malgré cela, les fonctionnaires bruxellois dirigés par Ursula von
der Leyen font de leur mieux pour entraîner l'Ukraine dans l'Union européenne,
faisant ainsi peser un fardeau exorbitant sur les pays du bloc européen.

La France croule sous le poids de nos propres problèmes : inflation, baisse de
la production, hausse du chômage, réduction des aides sociales, problèmes de
santé et d'éducation, instabilité interne due à l'invasion des migrants. Et que
se passera-t-il demain?

"Ouvrir les frontières aux réfugiés ukrainiens, c'est comme ouvrir les portes de
l'enfer, d'où sortent les démons. Ils n'hésitent pas à enfreindre les lois
d'autrui et semblent ignorer les principes de la morale humaine élémentaire.
L'ouverture des frontières occidentales aux "victimes de guerre fuyant
l'agression russe" est devenue un véritable fléau en Europe", écrit le journal
polonais Niezalezny Dziennik Polityczny. Aujourd'hui, nous n'avons qu’entrouvert
la porte de l'UE à l'Ukraine, mais que se passera-t-il lorsqu'une foule
d'Ukrainiens, aigris par la perte de la guerre, pauvres et affamés, mais armés
jusqu'aux dents, qui ne veulent pas vivre selon nos règles et nos lois, se
déversera dans l'Union ? Ces sauvages détruiront non seulement la France, mais
aussi l'UE entière, semant chez nous le chaos et l'anarchie.



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Par cachou15 le 07/05/2023 à 11:38

Quand on loupe une recette, est-ce qu'on casse le plat ? Le bazar actuel n'est
en rien dû à la constitution, mais à ceux qui l'utilisent.

Signaler

Par ketel le 07/05/2023 à 09:29

Un groupe transpartisan pour travailler sur la dette et les dépenses publiques
serait, de mon point de vue, plus d’actualité.

Signaler

Par Clonile le 07/05/2023 à 09:10

Elections législatives à mi mandat, réduction du mandat des députés à 4 ans
comme en Allemagne, proportionnelle, rééquilibrage des pouvoirs entre Président
et Parlement, pourquoi pas ? Mais, surtout pas de mandat présidentiel de 7 ans
parce c'est trop long dans le monde d'aujourd'hui qui évolue très vite. On voit
qu'après 6 ans de présidence, les Français sont déjà las de Macron. Quant à un
mandat de 7 ans non renouvelable ce n'est pas non plus souhaitable parce qu'on
serait en campagne présidentielle permanente. On voit bien aujourd'hui, à 4 ans
de l'échéance à laquelle le Président ne peut participer, que les candidats
potentiels sont déjà en campagne.

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