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FEMME CHERCHE COLOCATAIRE SENDAI JAPON

Maude Tremblay. Étudiante en 3e année du baccalauréat en génie physique. Échange
étudiant - Tohoku University School of Engineering Sendai, Japon.


FEMME CHERCHE COLOCATAIRE SENDAI JAPON

Contents:

Plus de 5 000 offres de colocation et recherche de colocataires - Japon et dans
le monde JR Akita Shinkansen - Guest-houses et Appartements Recherche à partager
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Ici les gens sont très impressionnés de notre niveau de Japonais qui n'est pas
très haut pourtant. Nous étions déjà sous le charme d'Okinawa,mais Ishigaki nous
plait encore un peu plus.


PLUS DE 5 000 OFFRES DE COLOCATION ET RECHERCHE DE COLOCATAIRES - JAPON ET DANS
LE MONDE

Comme tu dis, les cheveux courts le changent considérablement. Le lendemain,
départ pour Hikone au bord du lac Biwa, le plus grand lac du Japon. Pour
travailler de manière plus confortable si nécessaire, il y a dans les espaces
communs plusieurs lieux possibles: la table de salle à manger, le grand canapé
du salon, la table de la cuisine, son comptoir ou les fauteuils de lecture qui
s'y trouvent! Certes on est passé par des médecins chers, une clinique cher et
des examen chers grâce à la mutuelle et on peut tout à fait accoucher pour
presque rien en France, mais si on se met dans les même condition qu'au Japon,
on est tout de même très proches niveau prix je trouve et avec des femme cherche
colocataire Sendai Japon vraiment moindres en France car basé sur le revenu.
Quant à Euromanga, femme cherche colocataire Sendai Japon une petite entreprise
que j'ai montée en pour promouvoir la bande des8 zoom japon numéro 72
juillet-août Blacksad est votre best-seller au Japon. On continue de bosser et
d'améliorer notre japonais et on essaie toujours de s'habituer à la nuit qui
tombe à 16h. Ah, je connais ce drama. Il est apparemment possible d'y observer
quelques animaux Il y a aussi des bains de pied en plein air pour se dégourdir
les jambes en cours de balade. Fruges Chez Olivier Localiser 52,2 km. Wouah,
superbe! Autant Hellocoton je vois à peu près le principe, autant Paperblog je
ne comprends pas du tout. Pour notre première journée sur les routes, nous avons
longé la côte est. Avec la fatigue accumulée après des heures de vol, ça se
remarque davantage. Du coup ça fleure bon la France dans les ruelles de notre
quartier

L'île est moins urbanisée et garde un côté "campagne tropicale" et sans base
militaire américaine, ce qui ne gâche rien! Aujourd'hui, après trois jours sur
l'île principale de l'archipel Yaeyama, nous avons rejoint sa petite soeur
Taketomi, à 10 minutes de ferry seulement L'île compte moins de habitants à
l'année et son village est préservé au niveau de l'architecture.

Les toitures sont toutes dans le style typique d'Okinawa, les petits murets de
pierres sont tous identiques et les hibiscus bordent les rues de sable Un joli
tableau! Nous ne pratiquerons pas cette fois mais les bestiaux sont imposants! A
marée basse, un banc de sable se forme dans l'eau et il est possible de le
rejoindre pour aller prendre un petit bain de soleil La couleur de l'eau était
extraordinaire! Et maintenant que j'ai mon appareil photo waterproof, je peux
vous présenter quelques-unes de mes rencontres de la journée!

Cette journée nous a enchanté! Et Taketomi valait largement le détour à la
journée C'était l'île de mon choix, Carole a choisi l'ile d'Hateruma qui sera
une de nos prochaines étapes dans l'archipel Yaeyama Dernière petite échappée en
duo avant de quitter le Kansaï pour de nouveaux horizons Raphaël m'a offert une
nuitée au Koyasan pour mon anniversaire. Cette montagne sacrée, à 2 heures
d'Osaka, est très connue des japonais car y a été fondée la plus importante
secte bouddhiste du pays, il y a ans. Aujourd'hui temples y sont encore en
activité et la particularité est qu'il est possible de résider dans certains
monastères et de participer aux cérémonies habituellement réservées aux moines.

Ce à quoi nous avons eu le privilège d'assister. Mais commençons par le début
Après deux trains, un téléphérique et un bus, nous arrivons en début
d'après-midi sur place. Je suis surprise Raphaël y est déjà venu il y a trois
ans par l'atmosphère relativement "normale" du lieu. Sans connaitre tout
l'historique de l'endroit, cela ressemble à un petit village japonais classique
avec ses boutiques, ses distributeurs et ses touristes qui s'y promènent le nez
au vent.

Nous visitons les deux principaux temples du Koyasan. Le premier, Kongobu-ji, a
le même parquet rossignol, dont le sol chante à chaque latte que le Nijo-jo à
Kyoto et un joli jardin sec Ensuite, nos pas nous mènent vers le temple
emblématique du lieu, qui est en réalité un site avec plusieurs temples et une
pagode Les premiers "momiji" les érables japonais se parent peu à peu de leur
couleur automnale ce qui accentue le charme du lieu Pour la petite histoire, un
pin sacré, une variété rare de pin japonais trône au milieu de la cour et
trouver une aiguille de pin à trois branches est censée apporter le bonheur et
la chance.

A ce jeu-là, Raphaël a été champion et en a trouvé trois en quelques minutes
sous les exclamations enthousiastes de pèlerins japonais! Ensuite direction le
temple dans lequel nous séjournerons cette nuit. On dine donc à 17h!! Puis,
après cela, nous nous dirigeons avec les autres clients à travers le cimetière
sacré du Koyasan long de près de deux kilomètres. Il fait nuit, le noir est
total à l'exception de quelques lanternes qui guident nos pas. Nous pénétrons
symboliquement dans le monde des morts avec deux ponts successifs, sous le
regard des cèdres pluri-centenaires Le mysticisme ambiant nous plonge dans un
univers jusqu'alors inconnu Vous ne verrez pas de photos de la partie la plus
sacrée du sanctuaire.

C'est là où reposent les reliques du fondateur du Koyasan qui s'est "endormi"
bouddhiquement parlant, il est toujours vivant Un moment marquant dans notre
voyage Le lendemain, lever à 6h pour la première cérémonie de la journée avec le
maître du temple dans lequel nous avons dormi. Cela contraste avec le modernisme
du maître qui porte iWatch, lunettes en titane et fais des blagues par moments
il parle surtout japonais mais nous avons aussi quelques échanges en anglais.

Puis pause petit-déjeuner à 8h pour nous remettre de nos émotions avant de
retourner visiter l'immense cimetière de jour cette fois Et ce qui était
extraordinaire de nuit est absolument époustouflant de jour. Nous avons
irrémédiablement quitté le monde des vivants, hors du temps au fil de ce
cheminement La spiritualité que dégage ce lieu est sans commune mesure avec ce
que nous avions pu vivre jusqu'à présent Le retour à la civilisation ne s'est
pas fait sans mal mais, en tant que samouraïs des temps modernes, nous sommes
dorénavant prêts à affronter les nouvelles péripéties que ce périple nous
réserve!

Nous quittons demain notre nid d'Osaka pour l'île d'Ishigaki, la plus au sud du
Japon, pour renouer avec l'ambiance d'Okinawa que nous avions tant aimé au début
de notre séjour. On vous dira ça bientôt La semaine dernière, j'ai fait un petit
détour dans la série "A la découverte du Kansaï" pour aller découvrir Hiroshima
et l'île de Miyajima toute proche Petite déception, j'ai déchargé la batterie de
mon appareil photo durant le voyage et du coup les quelques photos que j'ai pu
prendre l'ont été avec mon portable et sont donc de piètre qualité, désolé
Arrivée très matinale 5h30 dans une ville encore endormie après un voyage en bus
de nuit Je commence par aller visiter le minuscule château d'Hiroshima, dont on
fait le tour en quelques minutes seulement.

Le temple proche a d'étranges statues de poisson porte bonheur Après une pause
petit-déjeuner et avoir déposé les affaires à l'hôtel, je pars me balader pour
arriver jusqu'au parc du Mémorial pour la Paix, lieu d'impact de la première
bombe nucléaire jamais lancée par l'humanité. Malheureusement, le musée est en
travaux mais le parc, quant à lui, est toujours ouvert. Quelques personnes
s'affairent déjà pour nettoyer le lieu de recueillement et apporter des fleurs
fraiches Le dôme abrite un coffre en pierres comportant les listes des noms des
victimes de l'attaque.

Au second plan, on voit apparaitre la flamme conservée de l'incendie que la
bombe provoqua.


JR AKITA SHINKANSEN - GUEST-HOUSES ET APPARTEMENTS

Et enfin, au loin on aperçoit le dôme soufflé par l'explosion et conservé comme
lieu de commémoration. C'est un lieu paisible dans la lumière blanche du
petit-matin et émouvant Un mémorial pour les enfants victimes du bombardement a
également été érigé à la suite de la mort d'une petite fille de douze ans,
victime des radiations. Des écoles de toute la planète viennent y déposer des
guirlandes faites de grues colorées en origami Ils chantent et se recueillent
pour cultiver la mémoire de cette catastrophe humanitaire.

Une cloche a aussi été installée et fait résonner un son sourd de temps à autre
dans le silence du Parc. Je me suis ensuite dirigée jusqu'au pied du dôme,
symbole de l'attaque, conservé intact tel qu'il fut lors de l'explosion de la
bombe. Les guides et bénévoles défilent pour sensibiliser dans toutes les
langues à l'horreur de la guerre et pour lutter contre la course à l'armement de
tous les pays et la prolifération des armes nucléaires.

Les Hôtesses au Japon (attention !)


Après cette visite bien chargée émotionnellement, je prends le tramway jusqu'à
l'extérieur de la ville pour rejoindre l'île de Miyajima. En effet, hormis ce
mémorial, la ville d'Hiroshima est assez quelconque par rapport aux autres
villes japonaises et présente assez peu d'attraits. Me voilà donc dans le ferry
où je rencontre un Wallon fort sympathique avec qui je passerai une grande
partie de la journée.

L'île est célèbre pour une vue emblématique, à marée haute, d'un grand torii les
pieds dans l'eau et pour ses daims en liberté comme à Nara Premier arrêt pour la
visite du temple sur pilotis qui fait face à cet impressionnant torii. Il est
divisé en petits îlots de verdure charmants et savamment entretenus, formant des
alcôves végétales propices au recueillement, diffusant une atmosphère zen
colorée, rythmée par les nombreuses statues qui jalonnent le chemin La lumière
du jour commence à baisser et je me sépare de mon équipier qui doit reprendre le
ferry Je n'irai malheureusement pas beaucoup plus loin que la cascade qui
surplombe le temple, manquant de temps pour rejoindre le sommet du Mont Misen La
journée et le séjour se termineront par une promenade sur la plage à marée
basse.


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En effet, à ce moment-là, on peut venir toucher le torii géant, enfin les pieds
aux secs, et y déposer une pièce entre deux coraux qui s'y sont accrochés. Si ma
pièce reste sagement en place, la chance devrait m'accompagner encore un moment
dans ce beau pays Après une nuit douillette dans un vrai lit oui un vrai grand
lit!! Après l'échappée merveilleuse en préfecture de Wakayama, nous voilà de
retour à Osaka et sa région pour quelques jours Nouvelle dose d'ambiance
urbaine, bruyante, néons qui flashent et brouhaha permanent dans l'effervescence
de la capitale du Kansaï.

Nous décidons tous les trois de prendre la ville de haut et montons au sommet de
l'Umeda Skybuilding.


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terre pour vous poser et chercher votre logement définitif?

Osaka illuminée s'étale à nos pieds Et on en profite pour se faire des photos de
beaux gosses! Du coup, rapidement, nous éprouvons le besoin d'une bouffée
d'oxygène au milieu des arbres centenaires. C'est la deuxième fois que j'y viens
mais cette fois, pas de chance les singes et les hiboux resteront à l'abri des
regards. Ce qui n'empêche aucunement d'apprécier la balade. D'autant que les
premiers "momiji" les érables commencent à se parer de leur couleur automnale
Après l'ambiance bucolique, retour à la ville, mais à Kyoto cette fois! D'abord,
en tête à tête avec ma mère, visite inédite au château de Nijo, la demeure du
dernier shogun l'équivalent d'un comte ou d'un grand seigneur local qui servit
également de théâtre aux exploits du dernier samouraï, à la fin de l'ère Edo.

Le lieu dégage une atmosphère particulière notamment en raison de son "parquet
rossignol". La pose de ce parquet flottant est fait de telle sorte qu'à chaque
pas, les lames de bois chantent tels des oiseaux!! Il est également très
différent de tous les châteaux que nous avons visité jusqu'à présent Les photos
étant interdites à l'intérieur, je ne peux que vous laisser deviner la splendeur
intérieure de ce monument! Ensuite, direction le "Sanjusangen-do", le temple aux
statues de Bouddha oui, rien que ça!

Il faut se rendre compte que chacune de ces statues mesure environ 1,50m de haut
et qu'elles sont toutes rigoureusement différentes.

Un Bouddha de plusieurs mètres de haut trône entre les deux blocs de statues,
imposant le respect. Des divinités gardiennes du culte sont également
représentées le long des allées Sinon, nous avons également assister à une
exposition de bonsaïs. Je n'aime pas tellement ça mais il faut avouer que
certains jardiniers ont réussi de sacrées prouesses Et enfin, dans les allées du
château, plusieurs expositions d'art contemporain étaient offertes aux
visiteurs. Ainsi, il y avait une immense fleur rouge et Je vous laisse juger par
vous-mêmes Dans l'épisode précédent, nous vous disions donc que nous nous
préparions pour le "Kumano-Sanzan", pèlerinage gravitant entre les trois temples
principaux du "Kumano Kodo", pèlerinage bouddhiste de plusieurs centaines de
kilomètres, jumelé à St Jacques.

Il s'agit d'un sanctuaire principalement shintoïste au pied d'une montagne à la
végétation luxuriante, bien que situé en bordure de ville. Une fois dans
l'enceinte, nous voilà plongés en pleine nature et coupés du monde. Une fois
bien imprégnés des lieux, nous reprenons la route pendant 30 km et 30km dans
cette région, ça vaut bien une centaine de kilomètres sudiste! Premier arrêt
dans un petit temple annexe au pèlerinage pour nous dégourdir les jambes.
Imaginez des collines à la végétation dense, d'un vert émeraude intense, avec
les montagnes pour seul horizon.

Ajoutez-y une cascade de mètres de haut qui se détache d'une falaise de roc
abrupte, surplombée par une corde signifiant aux communs des mortels son
caractère sacré.

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Saupoudrez le tout d'une pluie fine et de lambeaux de brumes dansant avec la
cime des arbres. Ce n'est pourtant que de la vapeur qui s'échappe sous la
canopée en raison de la chaleur volcanique de la terre Mais le tout crée une
symphonie, une poésie pour le regard Et cette pagode à 3 étages, solennelle et
majestueuse semble avoir toujours été là. Et être là pour toujours, immobile,
veillant à ce que la splendeur de ces lieux demeure à jamais intacte Après être
montés au sommet de ce joyau et être tombés amoureux de ce cocon de sérénité
terrestre, nous nous sommes finalement retournés pour aller visiter le temple
rattaché à cette pagode.

Lui aussi avait un certain romantisme sous la pluie qui s'intensifiait Le
lendemain, nous quittons pour de bon notre hôtel.

Il est temps pour nous de clôturer ce "pèlerinage automobile" par le Kumano
Hongu Taisha. Celui-ci a été édifié à l'intérieur des terres, près de la forêt
qui entoure le petit village sur lequel il veille discrètement. C'est en effet
le temple le plus vénéré des trois.

Moins exubérant, plus épuré bien que magnifiquement orné en plusieurs endroits,
l'atmosphère sacrée y est saisissante. Dès que nous approchons le pas des
premières marches qu'il faut affronter pour atteindre le sommet où se trouve le
temple, la dimension sacrée du site est une évidence. Petit détour dans le
programme A quelques encablures de ce dernier temple, nous avons aperçu un
gigantesque torii au milieu de la campagne.

Nous avons donc fait un petit tour pour admirer ce sanctuaire à l'écart de ce
village décidément profondément imprégné de mysticisme. La préfecture de
Wakayama est décidément d'une richesse incroyable! C'est dans celle-ci que je
m'étais déjà rendue à la plage de Shirahama, c'est dire la diversité de ses
paysages et de ses atmosphères Cette destination, un peu confidentielle car plus
difficilement accessible, est un véritable trésor nippon que nous vous
recommandons ardemment si vous en avez l'occasion!

Nous vous retrouvons très vite pour un nouvel épisode d'A la découverte du
KansaÏ pour compléter nos explorations de cette région si charmante Nous vous
avions laissé alors que nous étions en train d'arpenter les rues d'Osaka à
quatre, en famille Mais nous avons vite plié bagage pour une journée à Nara le
15 septembre pour l'anniversaire de Céline! Les daims et les temples y sont
toujours au rendez-vous sous le soleil ce qui ne va pas durer d'ailleurs Raphaël
et moi leur avions ensuite concocté un weekend surprise Nous avons donc loué une
voiture et pris la route la plus tortueuse du Japon à travers les montagnes de
la préfecture de Wakayama pendant plus de 4 heures jusqu'à poser nos valises à
Hongucho.

Ce patelin paumé au milieu de L'hôtel que nous avons réservé possède sa propre
source d'eau chaude qui permet d'aller se tremper à toute heure du jour ou de la
nuit. Et comme nous étions souvent seuls, Raphaël en a profité pour vous ramener
quelques photos elles sont normalement interdites vu que tout le monde est tout
nu. L'hôtel prête aussi des "yukatas" des kimonos en toile légère , ce qui fait
que tout le monde est très élégant et se balade dans cette tenue, en ville comme
à l'hôtel.

C'est un peu la version japonaise des villes thermales françaises Nous avions
initialement prévu une descente en rafting traditionnel japonais si,si, ça
existe mais la météo a décidé de bousculer notre programme, il pleuvra sans
discontinuer tout le weekend. Du coup, la session rafting est annulée. Nous
avons décidé d'en profiter pour suivre une partie du pèlerinage de "Kumano
Kodo", classé au Patrimoine Mondial de l'Unesco et jumelé Nous allons faire la
partie qui relie les principaux temples de la région, appelé le "Kumano sanzan"
en voiture puisque la météo ne nous laisse pas trop le choix Beaucoup de
nouveaux évènements nous ont pas mal occupés ces derniers temps Pour commencer,
Raphael et moi sommes recrutés pour cet hiver à Niseko pour faire le ménage dans
un immense complexe au pied des pistes de ski On va tater des pistes nippones
dès fin novembre jusqu'à fin février, une super nouvelle!

Ensuite, j'ai fini de travailler, d'abord comme professeur d'anglais et femme de
ménage. Et le 10 septembre était ma dernière soirée en tant que barmaid. La
direction a pris la décision de fermer tous les bars des auberges Khaosan où
nous travaillons, nous avons donc du finir les bouteilles Jusqu'à la dernière
goutte! Du coup tous les collègues sont venus trinquer! Et comme souvent quand
on lève le coude, cela implique aussi de terminer la soirée dans un karaoké Et
puis la frangine a débarqué au Japon pour que nous puissions passé nos
anniversaires du 15 et 17 septembre ensemble!

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 5. .
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 7. ;

On en a profité pour re visiter quelques classiques d'abord à Osaka Puis à Kyoto
Mais aussi de nouvelles découvertes pour elle et nous!! A commencer par le
grandiose aquarium d'Osaka!


RENCONTRE BICHKEK KIRGHIZISTAN FEMME

Contents:

Organiser son voyage Les Femmes Kirghizes – Kirghizistan femme



Dans ce dernier cas, elles peuvent pratiquer le système dit du micro-crédit. Le
micro-crédit permet aux femmes les plus démunies d'avoir recours à des prêts
pour leurs besoins domestiques et l'éducation de leurs enfants. Les prêts sont
peu élevés et généralement remboursables sans intérêts des années après.
D'autres associations, souvent aidées par des fonds d'associations occidentales,
ont pour objectif d'insérer les femmes dans leur milieu en leur offrant des
emplois adaptés ou en les aidant à créer leur propre entreprise, encouragées par
la privatisation de l'économie.

La femme à l'indépendance : Une intégration difficile dans l'économie.


ORGANISER SON VOYAGE

Elles continuent d'occuper de nombreux secteurs d'activités en vertu des "
quotas " qui avaient été imposés dans les principaux secteurs économiques d'État
agriculture, industrie, transports Cette évolution notable révèle le fossé
culturel qui sépare toujours actuellement la femme kirghize de la femme ouzbèke
ou tadjike.

Il est toutefois évident que la privatisation rapide et incomplète de différents
secteurs de l'économie reste diversement vécue par la femme kirghize.

 1. Rejoins-nous sur les réseaux sociaux.
 2. annonce rencontre étudiante Palerme Italie.
 3. Rencontre Femme Kirghizistan Sabina 41ans, 172cm et 60kg - PrivetVIP.
 4. La femme kirghize du milieu du XIXe siècle à nos jours.

L'agriculture demeure toujours la principale source d'emplois dans un pays, où
plus des deux tiers de la population est rurale. Cette agriculture. La
privatisation a, entre autres, suscité beaucoup d'enjeux, pour ne pas dire des
disputes entre les villages et les familles ; ce qui a principalement nui à une
production déjà ralentie. Enfin, les femmes ont été lésées par la privatisation
des terres survenue avec un regain des traditions dans les campagnes en dépit de
nouvelles lois prévoyant la possibilité autant pour les femmes que pour les
hommes de posséder des terres Les quotas jusque-là exigés par Moscou pour
l'équité sur le partage des terres au niveau des kolkhozes, des sovkhozes et
d'autres organisations collectives d'État, ayant vécu, les traditions, qui
refont surface surtout dans les campagnes depuis la " perestroika ",
désavantagent de nouveau les femmes.

Par exemple, ces traditions font que, c'est l'homme qui doit " historiquement "
posséder la terre et le bétail. Le cadre urbain a mieux assimilé l'héritage
soviétique. Là, il est fréquent que des femmes, qui avaient acheté leur
appartement à l'État sous le régime soviétique, puissent dorénavant le vendre ou
le transmettre par héritage à d'autres femmes. Les femmes les plus aisées
peuvent en plus vendre ou léguer légalement leur " datcha " de campagne à
d'autres femmes. A l'image de l'agriculture, l'industrie et les transports
présentent le même constat.

Parmi les activités industrielles très féminisées, la fabrication et
l'exportation de vêtements ou de tissus locaux à base de coton ou de soie,
souffrent de la restructuration de l'économie Par exemple, il arrive.

Les ouvrières du textile voient alors leur travail réduit, lorsqu'elles ne sont
pas directement licenciées. Les quelques grands complexes industriels que compte
la Kirghizie, qui à l'époque soviétique étaient liés au secteur de l'armement,
n'ont jamais été reconvertis en industries technologiques de pointe depuis
l'indépendance.

Les techniciens, les chercheurs et les scientifiques, majoritairement des
femmes, quittent donc, faute de travail, le pays pour vendre leur savoir à
l'étranger. Dans le domaine des transports et des travaux publics, la proportion
des femmes travaillant à la construction et à l'entretien des routes s'est
considérablement accrue depuis Elles y travaillaient déjà avant l'indépendance,
mais leur augmentation continue traduit la dégradation rapide des conditions de
vie en Kirghizie, puisque la construction et l'entretien des routes restent une
des dernières solutions d'emplois pour les femmes au chômage, tant les salaires
y sont bas et les conditions de travail, déplorables Les privatisations
réalisées dans l'économie kirghize -plus complètes que dans les autres États
d'Asie centrale -ont mieux profité aux femmes dans d'autres secteurs comme le
petit artisanat, le commerce et les services.

Si bien que nous assistons de plus en plus à un phénomène inédit en Asie
centrale qui est l'instauration de familles en milieu rural, où un seul membre
travaille : la femme. En effet, il est de plus en plus répandu que des hommes,
licenciés à la suite de la restructuration de leur entreprise, restent à la
maison pour élever leurs enfants pendant que les femmes travaillent à
l'extérieur, dans des activités commerciales relativement lucratives allant de
la simple vente des produits de la maison légumes, fruits Il suffit de se rendre
sur le marché d'Ochskiï Bazar à Bichkek45 pour se rendre compte que la plupart
de ce négoce est tenu par les femmes et que, beaucoup de biens de consommation
et d'équipement vêtements, HIFI, ustensiles Du reste, les échanges économiques
ne se limitent pas entre la Kirghizie et la Chine et les femmes kirghizes sont
de plus en plus nombreuses à contourner les intermédiaires pour se rendre
directement à l'étranger, toujours plus loin en Russie, en Turquie, en Inde Ce
système du " shop-tour " propulse les femmes de la petite économie
traditionnelle du bazar dans la grande économie internationale, en faisant
d'elles de véritables entrepreneurs chevronnés.

Bien souvent, ces activités commerciales non déclarées se pratiquent en plus
d'un travail officiel, garant en principe de la sûreté de l'emploi en dépit d'un
très bas salaire. L'activité commerciale permet donc d'améliorer le quotidien.

Elle peut aussi être à la source de subites fortunes juteuses. Il est fréquent
que des femmes gagnent de dollars à 3 dollars à chaque voyage, contre un salaire
annuel moyen inférieur à 1 dollars. Ces profits sont d'autant plus importants
que ce négoce devient exclusivement féminin, y compris dans le sud de la
république. La Banque Asiatique de Développement ajoute de plus que les femmes
passent facilement les frontières et les contrôles de la milice, contrairement
aux hommes, souvent taxés ou dépouillés de leur marchandise aux différents
contrôles routiers du pays.

Les hommes sont enfin plus exposés aux problèmes des bagarres et de la boisson
sur les marchés. Les femmes héritent par là d'une confiance accrue de leurs
maris qui, ajoutée aux nombreux jours d'absence du foyer, leur permet
volontairement ou non d'accroître leur indépendance, d'améliorer leur statut
social et de bousculer certaines traditions au sein de la famille et la tribu
Parallèlement au " shop tour ", d'autres secteurs de la grande économie
profitent aux femmes.

La vente de produits agricoles et l'augmentation des activités liées aux
services et à la " nouvelle économie " en sont les principales. Les activités
privées afférentes à la copie, à l'informatique, à la gestion et à
l'interprétariat se développent dans les grandes villes du pays. Pour la plupart
représentées par des petites entreprises, ces activités demeurent aujourd'hui
l'apanage des femmes.

Le taux de chômage, qui était insignifiant à l'époque soviétique, a évolué dans
des conditions plus dramatiques en Kirghizie que dans les autres républiques
ex-soviétiques La rapidité et la profondeur des privatisations. L'arrêt des
subventions du " centre " et des prêts inter-républicains de solidarité48 a
partout désorganisé l'économie de la Kirghizie et les secteurs, autrefois les
plus subventionnés par Moscou, ont été les plus touchés par la réorganisation de
l'économie à l'indépendance.

Ces secteurs, indispensables au développement du pays, sont l'éducation, la
santé et l'assistance sociale, soit des secteurs encore largement féminisés.

Pourtant, les initiatives gouvernementales ne manquent pas. Aujourd'hui, l'État
compte, à travers le fonds social, 3 caisses d'assistance49 :. Malheureusement,
ce programme reste encore insuffisant D'autant, qu'au-delà des inégalités
individuelles et locales devant l'emploi, l'indépendance a généré un fossé
ethnique, dangereux à terme pour la stabilité du pays, s'il n'est pas rapidement
résorbé.

À l'instar des hommes, les femmes " ouzbèkes " sont les plus exposées à la
paupérisation du pays. Le poids lourd des traditions limite souvent le rôle de
ces femmes à rester au foyer et à dépendre de leurs maris. Lorsque la
restructuration de l'économie a atteint la Vallée excentrée du Ferghana,
beaucoup d'hommes " ouzbeks " se sont retrouvés du jour au lendemain au chômage,
sans que leurs femmes ne puissent prendre la relève. L'appauvrissement du foyer
s'est donc révélé. De même, les femmes " russes " des villes vivant seules
subissent également au premier chef le chômage, puisqu'elles occupaient
jusque-là principalement des emplois dans les domaines publics de l'éducation et
de la santé et qu'elles sont, pour un certain nombre d'entre elles, séparées de
leurs familles en Russie par la distance et la barrière de l'argent.

Quant aux " Kirghizes ", une distinction est à faire entre les " Kirghizes " des
campagnes, mieux protégées de la pauvreté par une large solidarité familiale
informelle, et les " Kirghizes " des villes, plus " seules démunies et
vulnérables Enfin, les personnes retraitées forment actuellement la génération
la plus exposée à la dégradation des conditions de vie, en raison à la fois
d'une impossible réorientation professionnelle et de la priorité des aides de
l'État réservées aux plus jeunes. Les femmes kirghizes, devant la
restructuration du travail et de la famille, voient leur avenir de plus en plus
fragilisé et n'hésitent plus à le faire savoir en profitant d'un certain climat
de liberté pour s'engager dans de féroces luttes sociales, à l'instar de leurs
collègues masculins, dans tout le pays Force est de constater que l'image "
générale " de la promotion de la femme par les autorités centrales kirghizes
reflète mal les réalités locales nous l'avons vu à propos de l'application du
Programme Ayalzat.

Les décisions gouvernementales prennent de moins en moins d'effet au fur et à
mesure de l'éloignement des régions, souvent rétives aux initiatives du centre
et gardiennes des pesanteurs du passé, particulièrement dans les régions très
conservatrices de la Vallée du Ferghana.


LES FEMMES KIRGHIZES – KIRGHIZISTAN FEMME

Mais, dernièrement, même dans ces régions, les revendications des femmes se sont
déjà fait entendre et le traditionnel et sacré modus vivendi en a quelque peu
été bousculé. Faute de fonds suffisants, l'État ne leur a versé ensuite leur
salaire qu'en nature, soit en farine de blé et en sucre. Mais, leur action très
audacieuse et peu courante en Asie centrale, a pourtant su créer un précédent.

L'émergence d'un certain activisme politique et social dans des régions très
conservatrices et des couches moyennes de la société dénote une précarisation
croissante des conditions de vie de la femme en Kirghizie ; une précarisation
surtout visible dans les deux secteurs publics très féminisés et autrefois
fortement subventionnés par Moscou : l'éducation et la santé.

La femme à l'indépendance : Quel avenir pour l'éducation et la santé? La période
de transition suivant l'indépendance se caractérise par deux attitudes
paradoxales au regard de l'éducation des femmes. A l'inverse de certains Etats
d'Asie centrale, les femmes kirghizes sont plus nombreuses à poursuivre des
études supérieures aujourd'hui que sous la période soviétique. Même si cette
comparaison de données devait être relativisée par la différence d'années, les
fortes proximités culturelles entre les deux républiques de tradition nomade
devraient certainement encore les rapprocher dans le domaine de l'éducation.

À l'inverse, selon le Rapport du Développement Humain du P. Si elle. Outre, les
frais des droits d'inscription et des mariages de plus en plus précoces, de
nombreux parents tadjiks évoquent l'inutilité de l'éducation pour leurs filles "
devant être destinées à rester à la maison tandis qu'ils la préconisent pour
leurs fils De même, en Ouzbékistan, beaucoup d'Ouzbeks continuent, surtout en
milieu rural, à ne pas autoriser leurs filles à étudier à l'université, non
seulement pour une question d'argent, mais surtout à cause du poids des
traditions musulmanes.

Selon le Rapport du Développement Humain du P. Si les Kirghiz placent sur un
pied d'égalité la femme et l'homme, du point de vue de l'enseignement
supérieur60, une crainte plus forte du chômage et de la précarité du travail
traduit la volonté de la femme de rechercher le meilleur diplôme pour le
meilleur travail, si possible dans le nouveau secteur privé les services, le
commerce, l'informatique au contraire de l'homme, pour qui un éventail plus
large de métiers est offert.

Cela explique pourquoi les femmes, même en milieu rural, sont largement
majoritaires à entreprendre des études à l'université ou dans d'autres
établissements spécialisés d'enseignement supérieur. L'enseignement supérieur a,
de ce fait, relativement mieux profité de l'indépendance que les autres parties
du système éducatif. Si les conditions de travail se sont dégradées dans les
universités d'État, le " libéralisme " avancé de la Kirghizie s'est révélé sur
le terrain par une prolifération d'universités et de centres privés de
formation. Ces instituts privés sont, pour la plupart, des instituts à capitaux
mixtes en partenariat avec un État ou avec une université étrangère.

Notons par exemple la naissance de plusieurs universités turco-kirghizes, d'une
université américano-kirghize ou encore de l'université slave russo-kirghize.
Bien entendu, les programmes de ces universités sont mieux enseignés et plus
adaptés aux nouvelles réalités. Les étudiantes -car les femmes y sont largement
majoritaires62 -obtiennent des diplômes plus qualifiants, internationalement
reconnus et constituent déjà le vivier des futurs cadres politiques et
économiques de la république. Inversement, à la base, le système éducatif a mal
supporté la transition économique.

Les biens matériels ne sont plus entretenus : les écoles se délabrent jour après
jour absence de chauffage et d'un éclairage suffisant, vitres cassées, fuites
Ainsi, de plus en plus de jeunes Kirghiz sautent l'école maternelle. Autre signe
inquiétant, si les filles désertent plus les écoles maternelles que les garçons,
il en est l'inverse ensuite, où de plus en plus de jeunes garçons quittent
l'école primaire ou secondaire entre 11 et 15 ans pour aller élever les
troupeaux ou travailler sur les marchés avec leurs parents.

Les autorités officielles restent aujourd'hui préoccupées par cette récente
désertion des petites classes et par la recrudescence de l'illettrisme qu'elle
entraînerait. D'autre part, enfin, le pourcentage du nombre d'enseignantes a
augmenté entre et La restructuration du secteur de l'enseignement a
manifestement davantage touché les hommes que les femmes, puisque bien que moins
nombreuses à exercer dans l'enseignement secondaire entre et , leur
participation s'est pourtant accrue par rapport aux hommes Pourtant, la qualité
de leur emploi s'est fortement dégradée depuis l'indépendance, à l'image de
leurs collègues masculins et de l'ensemble des professions du pays : mauvaises
conditions de travail, diminutions et arriérés.

La Kirghizie se distingue encore, par ce phénomène, d'autres républiques plus
islamisées, tels le Tadjikistan, l'Ouzbékistan et le Turkménistan. Sur le plan
de la santé et de la situation sanitaire, la transition est encore plus rude. De
nombreux Kirghiz n'arrivent plus à se soigner correctement, tandis que leurs
parents pouvaient encore facilement le faire vingt ans plus tôt, en raison des
subventions de Moscou. Aussi, ce secteur traditionnellement féminin est obligé
de faire régulièrement des coupes dans ses effectifs, augmentant par-là le
chômage et la précarisation des femmes.

Toutefois, les femmes sont toujours plus nombreuses chaque année à laisser leur
vie à la naissance de leurs enfants, faute de soins suffisants De plus en plus
d'enfants, pour ces mêmes raisons, ne survivent pas à l'accouchement de leur
mère ou n'atteignent pas leur première année Le manque de suivi de la santé, la
sous-nutrition, la malnutrition et la pression extérieure exercée sur les femmes
se répercutent également sur une augmentation soutenue de leur stérilité depuis
l'indépendance, notamment dans l'Oblast d'Och Selon un rapport du P.

Par ailleurs, la Banque Asiatique de Développement évaluait en le nombre
d'enfants par famille à 4,7 enfants en moyenne par famille au niveau national,
mais à 5,9 enfants chez les " Ouzbeks 5,4 enfants chez les " Kirghiz " et 3,3
enfants chez les " Européens " La forte recrudescence de maladies témoigne de la
dégradation constante de la situation sanitaire des femmes en Kirghizie.

documentaire sur Kirghizistan


Si bien que des maladies que l'on croyait éradiquées depuis quelques décennies,
refont leur apparition aujourd'hui, comme notamment la tuberculose Les cas
d'anémie se multiplient. Les conditions de santé et de bien être se détériorent
fortement et les inégalités de richesses face à la santé s'amplifient en
conséquence de la réduction du personnel essentiellement féminin et à la
détérioration des locaux et du matériel dans les hôpitaux. Il y a parfois des
bagarres entre jeunes du Nord et du Sud. Mais le chef de la communauté de
quartier kvartalnyï , celui qui a été élu par les gens du quartier comme leur
chef administratif, a nié toute mésentente, animosité ou bagarres entre gens du
Nord et du Sud.

La même chose est vraie dans la plupart des cas pour les gens du Sud. Cependant,
les enfants ne voient pas ces différences. Ils jouent ensemble et ne font guère
attention à ce qui pourrait déplaire à leurs parents. La nouvelle ère et les
nouvelles conditions économiques ont créé une nouvelle vie sociale et de
nouvelles formes de communautés dans la République du Kirghizistan dans son
entier, tout comme à Keletchek.

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