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Face à une farouche résistance des citoyens, des politiques et des experts de tous les pays (y compris le Japon) qui refusent cette prise de pouvoir sur la souveraineté de leur nation et de leur population, l’OMS semble devoir reculer. Des textes édulcorés, laissant à l'OMS sa fonction de conseil de santé sans pouvoir de contrainte sur les États, sont étudiés et la perspective du vote de ceux-ci semble s'éloigner (notamment parce que l'article 55 RSI sur le délai de dépôt de quatre mois des textes à voter par l'AMS n'est pas respecté). Ceci est une victoire pour les peuples. Toutefois, la pression internationale et notamment américaine en faveur de ces instruments pandémiques laisse à penser que ce n'est qu'une étape et que l'objectif à terme est de rendre l'OMS (soutenue par les USA) toute-puissante en matière de santé mondiale. Cela se confirme en observant les pays européens et la Suisse, qui modifient leurs lois nationales sur la santé et l'UE qui est appelée à plus de compétences et à une centralisation du pouvoir en matière de santé (ce qui aboutira à une perte de souveraineté des pays membres). Toutes les modifications des textes légaux vont dans le sens d'une perte de souveraineté des États au profit de l'OMS et notamment de son pouvoir de déclarer des pandémies ainsi que des mesures à appliquer aux individus. À quelques semaines de la 77e AG annuelle de l'OMS, il convient donc de rester plus que jamais sur ses gardes. Cet entretien relève très clairement tous les points critiques que représenteraient une santé globalisée, ce qui reste l’objectif de la plupart des pays occidentaux et surtout des États-Unis. Ne perdons pas de vue que l’industrie pharmaceutique (plus précisément en matière de vaccins) est un levier économique surpuissant qui influence fortement les politiques de santé. L'avocat suisse Phillipp Kruse, au nom du Conseil mondial de la santé, remet en main propre quatre avis de responsabilité personnelle au siège de l'OMS en Suisse. Les quatre lettres, remises juste avant midi le 6 mai 2024, informent les destinataires que leurs actions causent des dommages et leur demandent de cesser et de s'abstenir. Les lettres ont été remises à: 1) Tedros Adhanom Ghebreyesus, directeur général de l'OMS 2) Maria van Kerkhove, responsable technique du projet Covid 19 de l'OMS 3) Janet Diaz, responsable de la gestion clinique de Covid 19 à l'OMS 4) Sir Jeremy Farrar, scientifique en chef de l'OMS HUIT POINTS DE PRÉOCCUPATION MAJEURE CONCERNANT LES AMENDEMENTS PROPOSÉS AU RÉGLEMENT SANITAIRE INTERNATIONAL (RSI) ET LE TRAITÉ DE L'OMS (CA+) 1. Prolifération potentielle des agents de guerre biologique Le traité et les amendements proposés demandent aux nations de surveiller les agents pathogènes potentiellement pandémiques, de construire ou d'entretenir des laboratoires de séquençage et de partager les spécimens réels avec l'OMS (où un BioHub a été créé à cet effet) et de partager les séquences en ligne. Cela exige la prolifération d'agents d'armes biologiques, ce qui est un crime (d'après l'interprétation de la résolution 1540 du Conseil de sécurité et de la convention sur les armes biologiques de 1972). 1a. La version du traité du 2 juin 2023 (texte du Bureau) demandait également aux nations effectuant des recherches sur les gains de fonction de réduire les «obstacles administratifs» à ces travaux (p.14). En d'autres termes, les restrictions sur la recherche devraient être assouplies, ce qui rendrait les fuites de laboratoire plus probables. Ce paragraphe a été supprimé de la version du traité datée du 30 octobre 2023. 2. Un chèque blanc à l'OMS pour créer de nouvelles règles à l'avenir Le traité prévoit la création d'une conférence des parties et d'un nouveau secrétariat de l'OMS qui établiront les règles de fonctionnement de l'appareil de prévention et de réponse aux pandémies, ce qui constitue essentiellement un contrat blanc et signé permettant à l'OMS de créer les règles qu'elle souhaite. 3. Des vaccins sans responsabilité, développés à une vitesse fulgurante, seront produits Le traité prévoit la mise au point et la production rapides de vaccins et la réduction du temps consacré à tous les aspects de la mise au point, des essais et de la fabrication des vaccins. Les vaccins doivent donc être utilisés sans licence, et le traité demande que les pays disposent de lois permettant de délivrer des autorisations d'utilisation d'urgence à cette fin et de «gérer» les questions de responsabilité. Pour plus d'informations, voir «Le projet de traité de l'OMS va accroître les pandémies d'origine humaine» (en anglais). Les États-Unis, l'Union européenne et d'autres pays ont expressément demandé que le développement des vaccins se fasse en 100 jours et que la production des vaccins pandémiques se fasse en 30 jours supplémentaires, ce qui ne permettrait pas d'effectuer des essais significatifs sur l'homme. 4. Les garanties en matière de droits de l'homme ont été supprimées dans les nouveaux amendements Les amendements ont supprimé «les droits de l'homme, la dignité et la liberté des personnes» de la formulation actuelle du RSI. Suite à des plaintes, cette phrase a été insérée dans le traité – mais le traité pourrait ne pas être accepté en 2024. Entre-temps, les amendements ne requièrent qu'une majorité simple pour être adoptés, ils sont rédigés en secret et il est donc probable que les questions les plus problématiques se trouveront dans les amendements. 5. La surveillance des médias sociaux et la censure des citoyens sont nécessaires Les amendements et le traité demandent aux États-nations de surveiller les médias sociaux de leurs citoyens, de censurer et d'empêcher la diffusion d'informations qui ne sont pas conformes aux récits de santé publique de l'OMS. Cependant, le traité demande également que les citoyens soient libres d'accéder à l'information, tout en étant protégés contre les «infodémies», qui se définissent comme un excès d'informations, et qu'ils soient empêchés de diffuser des informations erronées et de la désinformation. 6. Il se peut que nous n'apprenions le contenu des amendements qu'une fois qu'ils auront été adoptés Les amendements ont été négociés entièrement en secret au cours des neuf derniers mois, alors que plusieurs versions consécutives du traité sur les pandémies ont été rendues publiques au cours de cette période. Alors que les amendements négociés devaient être soumis à l'examen du public en janvier 2024, le principal juriste de l'OMS a fourni une feuille de vigne juridique pour éviter l'obligation de les rendre publics quatre mois avant le vote. Le public verra-t-il les amendements avant qu'ils ne soient votés ? Pourquoi un tel secret sur les amendements proposés ? 7. Le directeur général de l'OMS pourrait devenir votre médecin personnel Selon les amendements proposés, le directeur général de l'OMS serait en mesure de réquisitionner et de déplacer des fournitures médicales d'un pays à l'autre, de décider quels traitements peuvent être utilisés et de restreindre l'utilisation d'autres traitements. 8. Quand l'OMS pourrait-elle utiliser ses nouveaux pouvoirs? Les modifications entreront en vigueur après la déclaration d'une urgence de santé publique de portée internationale (USPPI ou en anglais PHEIC, Public Health Emergency of International Concern). Toutefois, une déclaration d'urgence sanitaire potentielle déclenchera également ces pouvoirs. Les pouvoirs peuvent être étendus même après la fin d'une PHEIC, comme nous l'avons vu avec les déclarations du Covid-19 et de la variole du singe (MPOX) par le directeur général. Le traité sera en vigueur de manière continue, ne nécessitant aucune déclaration ou pandémie pour conférer de nouveaux pouvoirs à l'OMS. Télécharger la version des amendements proposés du RSI – 30.10.2023 Télécharger la dernière version des amendements proposés du RSI – 17.04.2024 Le texte ci-dessus est traduit en français à partir d'un article écrit par Meryl Nass, MD depuis son site DoorToFreedom.org Les nouvelles dispositions de la proposition de modification du RSI, à voter en mai 2024, sont notamment les suivantes: PASSEPORT VACCINAL LA POSSIBILITÉ D'IMPOSER CERTAINS TRAITEMENTS MÉDICAUX ET D'EN INTERDIRE D'AUTRES L'OBLIGATION D'EFFECTUER UNE SURVEILLANCE BIOLOGIQUE (COMME LES TESTS PCR) SUR LES HUMAINS ET LES ANIMAUX AFIN DE DÉTECTER LES AGENTS PATHOGÈNES PANDÉMIQUES L'OBLIGATION DE SURVEILLER LES MÉDIAS SOCIAUX ET DE N'AUTORISER QUE LA TRANSMISSION DU DISCOURS DE L'OMS SUR LA SANTÉ PUBLIQUE LA POSSIBILITÉ DE RÉQUISITIONNER DES FOURNITURES MÉDICALES DANS UN PAYS POUR LES METTRE À LA DISPOSITION D'UN AUTRE PAYS L'OBLIGATION DE PARTAGER LES SÉQUENCES GÉNÉTIQUES DES AGENTS PATHOGÈNES, MÊME SI CELA POURRAIT ENTRAÎNER LA PROLIFÉRATION D'ARMES BIOLOGIQUES, CE QUI EST INTERDIT PAR LES TRAITÉS EXISTANTS TELS QUE LA RÉSOLUTION 1540 (2004) DU CONSEIL DE SÉCURITÉ DES NATIONS UNIES ET LA CONVENTION SUR LES ARMES BIOLOGIQUES (1972). En outre, le projet actuel de RSI ne prévoit aucun critère spécifique permettant au directeur général de l'OMS de déclarer une urgence de santé publique de portée internationale. Une déclaration pourrait même être faite sans le consentement des nations concernées. En outre, aucune disposition n'oblige les fonctionnaires de l'OMS à rendre compte de leurs actions. Tout aussi préoccupant, une déclaration d'urgence de santé publique de portée internationale peut être émise pour un simple risque d'urgence de santé publique, et les pouvoirs d'urgence peuvent être prolongés au-delà de la fin de l'urgence. Les amendements proposés au RSI soulèvent la possibilité d'une dictature mondiale de la santé, déclenchée selon les caprices de la direction de l'OMS ou des principaux bailleurs de fonds de l'OMS. La question de savoir pourquoi l'OMS devrait s'arroger de tels pouvoirs, alors que ses performances au cours de la conférence COVID-19 ont été loin d'être brillantes, est importante. Les amendements proposés seront examinés en vue de leur adoption lors de la 77e Assemblée mondiale de la santé, au cours de la dernière semaine de mai 2024. Calendrier Il est actuellement prévu que le traité et les amendements au RSI soient votés lors de la réunion de l'Assemblée mondiale de la santé en mai 2024. Le traité entrera en vigueur (pour les pays qui le ratifient) un mois après que 30 pays l'auront ratifié. Les amendements au RSI entreront en vigueur pour les pays qui ne les auront pas rejetés au cours du premier semestre 2025. Ces deux textes auront force de loi au regard du droit international. Résumé de l'analyse des amendements du Règlement Sanitaire International (RSI) et l'accord de l'OMS sur la pandémie World Council for Health (Conseil mondial de la santé) travaille avec différents groupes d'experts à l'élaboration de résumés analytiques afin de présenter des recherches et des recommandations. Ces documents servent à fournir des conseils politiques fondés sur des données probantes afin d'aider les lecteurs à prendre des décisions éclairées. Découvrir leurs rapports Aperçu des instruments de l'OMS Projet d'amendement du Règlement Sanitaire International (RSI) Élargir les définitions des pandémies et des urgences sanitaires, y compris l'introduction d'un « potentiel » de préjudice plutôt que d'un préjudice réel. Il élargit également la définition des produits de santé concernés en y incluant tout produit ou processus susceptible d'avoir un impact sur la réponse ou « d'améliorer la qualité de vie ». Faire passer les recommandations du RSI de « non contraignantes » à des actions obligatoires que les États s'engagent à suivre et à mettre en œuvre. Renforcer la capacité du directeur général à déclarer des situations d'urgence de manière indépendante. Mettre en place un vaste processus de surveillance obligatoire dans tous les États, que l'OMS vérifiera régulièrement par le biais d'un mécanisme d'examen au niveau des pays. Permettre à l'OMS de partager les données des pays sans consentement. Donner à l'OMS le contrôle de certaines ressources des pays, y compris les exigences en matière de contributions financières et la fourniture de propriété intellectuelle et de savoir-faire (dans le cadre de la définition large des produits de santé mentionnée ci-dessus). Garantir le soutien national à la promotion des activités de censure par l'OMS afin d'empêcher la diffusion libre d'approches et de préoccupations contraires. Modifier les dispositions existantes du RSI affectant les individus en les rendant contraignantes plutôt que non contraignantes, notamment en ce qui concerne la fermeture des frontières, les restrictions de voyage, le confinement (quarantaine), les examens médicaux et la médication des individus. Ce dernier point engloberait les exigences relatives à l'injection de vaccins ou d'autres produits pharmaceutiques. CA+ Convention, Accord ou autre instrument international «Traité pandémique» Mettre en place un nouveau réseau international d'approvisionnement supervisé par l'OMS. Financer les structures et les processus en exigeant que ≥5% des budgets nationaux de santé soient consacrés aux urgences sanitaires. Mettre en place un « organe directeur » supranational, sous les auspices de l'OMS, pour superviser l'ensemble du processus. Élargir le champ d'application en mettant l'accent sur un programme « One Health », défini comme la reconnaissance du fait qu'un très large éventail d'aspects de la vie et de la biosphère peut avoir un impact sur le bien-être et, par conséquent, correspondre à la définition d'une urgence sanitaire internationale « potentielle ». Un peu d'histoire En 1951, l'OMS publie son premier règlement sur la prévention des maladies infectieuses, le Règlement sanitaire international (International Sanitary Regulations en anglais), qui se concentre sur six maladies pouvant être mises en quarantaine: le choléra, la peste, la fièvre aphteuse, la variole, la typhoïde et la fièvre jaune. En 1969, le RSI est révisé et rebaptisé «International Health Regulations» avec la création d'un cadre légal pour la prévention, la protection contre et la gestion des maladies infectieuses. En 1973, les maladies surveillées sous le RSI sont étendues à la grippe, la malaria et la polio. En 2005, des nouveaux règlements sont acceptés et incorporés afin de rendre le RSI plus souple, et la notion d'une urgence de sanitaire publique de portée internationale est introduite pour le premier fois. L'objectif et le champ d'application du RSI sont de «prévenir la propagation internationale des maladies, de s'en protéger, de la contrôler et d'y apporter une réponse de santé publique par des moyens proportionnés et limités aux risques pour la santé publique, et qui évitent toute interférence inutile avec le trafic et le commerce internationaux.» En 2022, l'OMS met à jour la liste des agents pathogènes à potentiel épidémique COVID-19, fièvre hémorragique de Crimée-Congo, maladie à virus Ebola et maladie à virus de Marburg, la fièvre de Lassa, MERS-CoV et SRAS, Nipah et maladies hénipavirales, Fièvre de la vallée du Rift, Zika, « Maladie X »* * La maladie X représente la connaissance qu'une épidémie internationale grave pourrait être causée par un agent pathogène actuellement inconnu comme cause de maladie humaine. Quelques parlementaires suisses qui interpellent le Conseil fédéral Télécharger le fichier excel qui résume les actions des parlementaires Motion de Lukas Reimann (SG): OMS. Assurer le contrôle démocratique par le peuple et le Parlement Voir le contenu complet Un accord mondial sur la prévention, la préparation et la riposte face aux pandémies est en cours de négociations à l’OMS. Le Conseil fédéral s’est exprimé à ce sujet en réponse à différentes interventions. Si des documents peuvent être téléchargés sur plusieurs sites, il n’a pas été possible à ce jour de faire la lumière sur le processus et de montrer de manière transparente comment il se déroule, quelles sont les prochaines étapes, quand le Parlement pourra s’impliquer et quelles seront les conséquences de cet accord pour la Suisse et sa politique de santé. Les éventuelles conséquences de l’accord sur des droits fondamentaux protégés par la Constitution ne sont pas claires non plus. Réponse du Conseil fédéral: «Les États membres de l’OMS participent tous à ces deux processus de négociation. Si les négociations aboutissent à un nouveau texte international, la Suisse devra dire, au même titre que tous les États membres, si elle souhaite l’approuver ou le rejeter. Le contenu des amendements au RSI et d’un éventuel accord de l’OMS en cas de pandémie sera défini par les États membres au cours d’un processus de négociation multilatéral. Dans le cadre des deux processus de négociation et en vue d’une éventuelle reprise dans le droit suisse, le Conseil fédéral s’en tient à la pratique constante, en se fondant sur les dispositions déterminantes de la Constitution fédérale (art. 166, al. 2, et 184, al. 1 et 2, Cst. ; RS 101), de la loi sur le Parlement (art. 24 LParl ; RS 171.10) et de la loi sur l’organisation du gouvernement et de l’administration (art. 7a LOGA ; RS 172.010). Ce n’est qu’une fois les négociations terminées, lorsque la nature juridique et le contenu de l’accord potentiel auront été définitivement arrêtés, que le Conseil fédéral pourra procéder à l’examen susmentionné. Les négociations se dérouleront dans un premier temps jusqu’en mai 2024.» Interpellation d'Andreas Gafner (BE): Le traité de l'OMS sur les pandémies conduit-il à l'obligation vaccinale et à l'explosion des coûts? Voir le contenu complet L'Organisation mondiale de la santé (OMS) travaille d'arrache-pied à l'élaboration d'un traité mondial sur les pandémies (parfois appelé pacte sur les pandémies), qui aura des répercussions importantes sur la communauté internationale. La version du 2 juin 2023 de ce traité soulève de nombreuses questions et inquiète une grande partie de la population. Réponse du Conseil fédéral: «Ce n’est qu’une fois les négociations terminées, lorsque le contenu et la nature juridique du texte potentiel et ses dispositions seront définitivement clarifiées, qu’un contrôle pourra être effectué. Cela vaut également pour les éventuelles obligations financières des parties contractantes. Ainsi, chaque nouveau traité international est soigneusement examiné afin de déterminer s’il doit être soumis au Parlement pour approbation et à un référendum le cas échéant. Aujourd’hui déjà, l’OMS peut, comme elle l’a fait durant la pandémie de COVID-19, donner des recommandations aux États membres, également pour prendre des mesures visant à lutter contre la pandémie. Celles-ci ne sont toutefois pas juridiquement contraignantes pour les États. Durant la pandémie de COVID-19, l’OMS n’a émis aucune recommandation sur l’obligation de vaccination, mais uniquement des recommandations de vaccination. À l’avenir, la Suisse continuera de décider de sa politique nationale en matière de santé et de ses mesures nationales en toute indépendance.» 2023 – Liste des délégués qui représentent la Suisse à l'OMS Document source Membre du conseil exécutif de l'OMS Mme Nora Kronig Romero Suisse 2023-2026 Ambassadeur, Vice-directrice et Cheffe, Division des Affaires internationales – OFSP, Berne. Nora Kronig Romero était responsable adjointe de la division Multilatérale de la Mission permanente de la Suisse auprès de l’ONU et des autres organisations internationales à Genève. Elle dirige la division Affaires internationales de l’Office fédéral de la santé publique depuis le 1er octobre 2017. Elle va quitter sa poste à l'OFSP fin février 2024 pour devenir la nouvelle directrice de la Croix Rouge Suisse dès le 1er mai 2024. Profil LinkedIn Ecoutez l'interview de Nora Kronig Romero sur la RTS Matinale, le 19 janvier 2024. Elle rassure la population que le nouveau traité pandémique ne peut en aucun cas être contraignant pour la souveraineté suisse. Elle rajoute que «ce sont les états qui font l'OMS» et que ce sont les vaccins qui ont permis à mettre fin à la pandémie aussi rapidement, en protégeant la population «au mieux». Les nombreux effets indésirables de la vaccination ne sont pas évoqués, pas plus que l'origine du virus, qui provient très probablement d'une fuite de laboratoire. Quelques vidéos pour mieux comprendre... Me Philipp Kruse, avocat suisse spécialisé dans le droit fiscal et le droit constitutionnel, présente les dangers des instruments de l'OMS en négociation au parlement européen. L'OMS menace-t-elle la souveraineté des états à travers ses nouvelles réglementations ? Par Senta Depuydt – Journaliste / Conférence du 1er février 2024 Quelques articles informatifs... Avant qu'un traité puisse être négocié, une évaluation totalement indépendante analysant la gestion de la crise Covid-19 devrait être lancée. L'OFSP a publié un rapport d'évaluation intermédiaire de la gestion de la crise en 2022, mais il n'aborde pas les questions fondamentales. Exigeons une enquête publique indépendante Est-ce que le virus était vraiment dangereux pour la grande majorité de la population? Est-ce que les mesures tels que la fermeture des écoles et les magasins estimés «non-essentiels», le confinement, les obstacles misent pour empêcher l'utilisation de l'hydroxychloroquine ou l'ivermectine, le protocol hospitalier avec le Remdesivir, l'obligation du port du masque dans les écoles, la vaccination de masse et le certificat sanitaire 2G/3G, étaient vraiment justifiés? Est-ce que les tests PCR, fabriqués par Roche et al., était un moyen fiable de detecter le virus et pour diagnostiquer un cas positif? Quelle est l'origine du virus SRAS-CoV-2? Si ce virus est le résultât d'une fuite d'une laboratoire impliquée dans la recherche de «gain de fonction», comment éviter que cela se ré-produise? Quelles sont les mesures de protection dont nous disposons? Est-ce que les mesures étaient proportionnels et bénéfiques pour la santé de la population? COVID-19 : «Les mesures ont causé plus de dommages que le virus» | Daniel Koch Daniel Koch est un médecin suisse. Entre 2008 et mai 2020, il a été directeur de la division « Maladies transmissibles » de l'Office fédéral de la santé publique (OFSP). Il est impliqué à ce titre dans la gestion de l'épidémie de grippe H1N1 (2009) et dans le début de la pandémie de Covid-19 en Suisse. Il est intéressant de noter que Daniel Koch a occupé un poste de consultant chez Merck à Lucerne alors qu'il travaillait pour l'OFSP. Il était notamment la personne de référence chez Merck pour les questions sur le vaccin contre le papillomavirus humain (HPV). Merck est le fabricant de Gardasil®, vaccin anti-HPV commercialisé en Suisse depuis 2007. Pour la vérité et la justice Initiative populaire fédérale «Reconstruction analytique des dessous de la pandémie de COVID-19 (initiative de reconstruction analytique)» SITES OFFICIELS À CONSULTER © 2021-2024 Réinfo Santé Suisse International, CH-1800 Vevey. Tous droits réservés.