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Fermer Accueil Méthodologie de calcul Agir Partenaires Ressources Nous contacter Choisissez un parcours Quels sont les effets d’une alimentation plus locale et durable ? Commencer Combien de personnes peut-on nourrir avec une parcelle ou un terrain donné ? Commencer ET SI L’ALIMENTATION DE VOTRE TERRITOIRE DEVENAIT LOCALE ET DURABLE ? AVEC PARCEL, DÉCOUVREZ L’EMPREINTE SPATIALE, SOCIALE ET ENVIRONNEMENTALE DE L’ALIMENTATION EN FONCTION DES MODES DE PRODUCTION ET DE CONSOMMATION. Parcours 1 Quels sont les effets d’une alimentation plus locale et durable ? Commencer Parcours 2 Combien de personnes peut-on nourrir avec une parcelle ou un terrain donné ? Commencer PARCEL Pour une Alimentation Résiliente Citoyenne Et Locale PARCEL est un outil web simple, ludique et gratuit, permettant d’évaluer pour un territoire donné les surfaces agricoles nécessaires pour se nourrir localement, ainsi que les emplois agricoles et les impacts écologiques associés à d’éventuels changements de mode de production agricole et/ou de régimes alimentaires (émissions de gaz à effet de serre, pollution des ressources en eau, effets sur la biodiversité…) Développé par Terre de Liens, la Fédération Nationale de l’Agriculture Biologique (FNAB) et le BASIC, PARCEL invite les citoyens et les élus à se saisir des enjeux actuels de l’alimentation en leur proposant de « jouer » sur 3 des principaux leviers de durabilité de l’alimentation : * La reterritorialisation des filières alimentaires * Les modes de production agricole * La composition des régimes alimentaires Les acteurs locaux pourront ainsi développer plusieurs scénarios à leur(s) échelle(s) afin de nourrir les nécessaires débats sur les questions de la transition alimentaire et de l’usage des terres agricoles dans les territoires. La démarche générale de calcul PARCEL estime des ordres de grandeur mais ne prétend pas calculer des valeurs réelles. Il a pour objectif de fournir des estimations ayant un niveau de précision suffisant pour permettre des comparaisons, susciter des questionnements et animer des débats sur le thème de l’alimentation durable dans les territoires. Il est complémentaire de travaux d’analyse plus poussés qui visent à construire des scénarios prospectifs plus détaillés. Les calculs de surfaces et d’emplois reposent sur les bases de données publiques qui fournissent des statistiques à différentes échelles (nationale, régionale, départementale...), et non sur des extrapolations à partir de références techniques (de fermes agricoles, de produits consommés...). L’estimation des impacts écologiques se base sur les méta-études et les bases de données les plus récentes publiées au niveau français et international. Elles permettent d’évaluer les principales conséquences sur l’environnement liées à la conversion en bio de la production agricole et à la baisse de consommation de produits animaux. Les co-porteurs Les partenaires Mentions légales © parcel-app.org 2019 Les sols : Empreinte au sol Des résultats variables selon l’unité : par hectare ou par personne -% Empreinte au sol par personne Cet indicateur est uniquement calculé par personne. (L’empreinte au sol par hectare est une valeur constante). Définition de l’indicateur Alimentation actuelle Pas de relocalisation Régime actuel Agriculture actuelle Parcel ne se prononce pas sur les impacts de la relocalisation (l'état de la rechercher actuelle ne permet pas de les objectiver) Alimentation relocalisée Relocalisation Régime actuel Agriculture actuelle Alimentation scénarisée Relocalisation Changement de régime % d'agriculture en bio ? Parcel donne l'impact d'un passage au bio et d'un changement de régime alimentaire EMPEINTE AU SOL (Différence de surfaces agricoles à mobiliser) Autrement dit, on calcule la différence entre les impacts entre une alimentation relocalisée avec des régimes et des parts de bio actuels et une alimentation relocalisée avec des régimes et des parts de bio choisis par l’utilisateur. On ne calcule pas l’impact de la relocalisation seule de l’alimentation (trop d’incertitudes en l’état actuel des connaissances). QUELQUES CLÉS D'INTERPRÉTATION DES RÉSULTATS Les effets d’un passage au bio * L’augmentation de l’empreinte spatiale s’explique par la diminution des rendements, variable selon les produits, liée au mode de production biologique. * Par rapport au modèle actuel, les diminutions de rendements les plus fortes s’observent pour les monogastriques (porcins, volailles…), pour différentes raisons et notamment : * La baisse des rendements des cultures de l’alimentation animale ; * La baisse de la productivité par animal (kg de viande par animal par exemple) ; * L’augmentation de la durée des cycles de renouvellement des animaux (et du coup l’augmentation d’aliments pour produire un kg de viande) ; * D’autres règles du cahier des charges de l’agriculture biologique : notamment la présence de parcours. Les effets d’une réduction des produits animaux * L’élevage mobilise plus de 80% de l’empreinte spatiale de notre alimentation actuelle : une réduction de la consommation des produits animaux va de pair avec une diminution de l’empreinte spatiale de notre alimentation ; * En cause, le rendement de la transformation des végétaux par les animaux est généralement plus faible : 2,5 à 10 kg de protéines végétales sont nécessaires pour produire 1 kg de protéines animales, ou encore 7 kcal végétale en moyenne pour chaque kcal générée de produits animaux (GIS Elevages Demain, 2017). * Cependant, les animaux ne consomment pas que des aliments consommables par l’Homme et peuvent valoriser des co-produits et résidus de cultures et des surfaces pouvant présenter un intérêt environnemental. ELÉMENTS DE CONTEXTE Alimentation en France 1 =26 M Hade surface nécessaire pour nourrir les français Surface agricole2=50%de la surface totale en France métropolitaine. evolution de la surface agricole = - 20% depuis 60 ans, du fait de l’artificialisation des sols et des surfaces forestières. 1 soit très légèrement inférieure à la surface agricole de la France métropolitaine (29 Mha) 2 un peu plus de 50% DOMAINE DE VALIDITÉ * Le périmètre des produits de PARCEL représente environ 91% de notre alimentation (en volume). La nomenclature de 61 produits a été sélectionné selon la nomenclature de la Statistique Agricole Annuelle. Ne sont pas pris en compte : les produits exotiques (café, cacao, fruits exotiques etc.) les boissons et les produits de la mer. * Le calcul de cet indicateur utilise directement les calculs de l’indicateur de surface de Parcel. L’impact de la relocalisation, et du changement d’alimentation (bio et consommation) est visible en hectare, dans la partie indicateur de surface de Parcel. Méthodologie de calcul • Pour les éléments sur la méthode de calcul des indicateurs, se référer à la page annexe méthodologique, accessible par le menu principal Principales ressources * Bilans d’Approvisionnements d’Agreste – Ministère de l’Agriculture et de l’Alimentation Voir les bilans * La Statistique Agricole Annuelle d’Agreste – Ministère de l’Agriculture et de l’Alimentation Voir la page de statistiques * Données de l'INSEE - Institut national de la statistique et des études économiques (INSEE) Voir le site de l'INSEE * Étude individuelle nationale des consommations alimentaires 3 (INCA 3) - ANSES - 2017 Voir l'étude Les sols : Dégradation de la qualité des sols Des résultats variables selon l’unité : par hectare ou par personne -% Dégradation de la qualité des sols par hectare Cet indicateur est uniquement calculé par hectare. Le calcul par personne nécessiterait de connaître la nature des sols qu’il faut potentiellement mobiliser en plus lors d’un changement d’alimentation. Définition de l’indicateur Alimentation actuelle Pas de relocalisation Régime actuel Agriculture actuelle Parcel ne se prononce pas sur les impacts de la relocalisation (l'état de la rechercher actuelle ne permet pas de les objectiver) Alimentation relocalisée Relocalisation Régime actuel Agriculture actuelle Alimentation scénarisée Relocalisation Changement de régime % d'agriculture en bio ? Parcel donne l'impact d'un passage au bio et d'un changement de régime alimentaire DÉGRADATION DE LA QUALITÉ DES SOLS DIFFERENCE DE PERTE DE TAUX DE MATIÈRE ORGANIQUE DES SOLS (Résidus animaux, végétaux, champignons, humus, biomasse microbienne etc.) Autrement dit, on calcule la différence entre les impacts entre une alimentation relocalisée avec des régimes et des parts de bio actuels et une alimentation relocalisée avec des régimes et des parts de bio choisis par l’utilisateur. On ne calcule pas l’impact de la relocalisation seule de l’alimentation (trop d’incertitudes en l’état actuel des connaissances). QUELQUES CLÉS D'INTERPRÉTATION DES RÉSULTATS Les effets d’un passage au bio * La diminution de la pauvreté des sols est liée à la gestion de la fertilité en agriculture biologique, via l’apport de matières organiques (composte, fumier …), qui serait l’une des principales raisons de l’enrichissement en matière organique des sols (Seufert and Ramankutty, 2017). Les effets d’une réduction des produits animaux * Les prairies ont des stocks de carbone organiques plus importants que les autres cultures végétales (INRA, 2019). Ainsi, la réduction des produits animaux va de paire avec une augmentation de la pauvreté des sols par hectare (car elle diminue la part occupée par des prairies). ELÉMENTS DE CONTEXTE Coût (perte biodiversité et services écosystémiques)1 =10 % du Produit mondial brut annuel matière organique des sols=est fondamentale pour réduire l’érosion des sols, améliorer leur fertilité, favoriser la biodiversité dégradation des sols=un des principaux facteurs qui participent au changement climatique 1 La dégradation des terres causée par les activités humaines entraine un coût équivalent à plus de 10% du Produit mondial brut annuel en termes de perte de biodiversité et de services écosystémiques. DOMAINE DE VALIDITÉ * Lorsqu’il est défini par hectare, le résultat correspond à la différence d’impact entre : * 1 hectare moyen permettant de répondre aux besoins alimentaires associés à un régime actuel et à une agriculture actuelle ; * 1 hectare moyen qui permettrait de répondre aux besoins alimentaires associés à des choix de production agricole et de consommation différents (% de bio et changement de régime). Attention : il n’est pas possible de mesurer la différence d’impact avec des hectares supplémentaires qu’il faudrait potentiellement mobiliser. Autrement dit, si l’alimentation scénarisée au sein de PARCEL requiert 20% de plus de surfaces agricoles, les différentiels d’impacts ne concernent pas ces nouvelles surfaces car il n’est pas possible de connaitre l’utilisation actuelle (forêts, villes etc.) de ces hectares. Méthodologie de calcul * Pour les éléments sur la méthode de calcul des indicateurs, se référer à la page annexe méthodologique, accessible par le menu principal Principales ressources * Stocker du carbone dans les sols français : quel potentiel au regard de l'objectif 4 pour 1000 et à quel cout ? – INRA – 2019 Voir l'étude * Quantifier et chiffrer économiquement les externalités de l’agriculture biologique ? – ITAB, Sautereau, N., Benoît, M. – 2016 Voir l'étude * Many shades of gray - The context-dependent performance of organic agriculture – Seufert, V., Ramankutty, N. – 2017 Voir l'étude * The assessment report on land degradation and restoration – IPBES– 2019 Voir l'étude Le climat et l’air : les émissions de gaz à effet de serre Des résultats variables selon l’unité : par hectare ou par personne -% Emissions de gaz à effet de serre par hectare Quel est l’impact environnemental d’un hectare moyen nécessaire à la production de mon alimentation ? -% Emissions de gaz à effet de serre par personne Quel est l’impact environnemental de mon alimentation ? Par personne, on donne l’impact écologique global d’un changement d’alimentation. Les évolutions de ces impacts dépendent : * D’une part de l’évolution du nombre total d’hectares nécessaires pour satisfaire cette nouvelle demande alimentaire ; * et d’autre part de l’impact de chacun de ces hectares. La vision par hectare permet d’isoler ce deuxième élément. Puisque la surface de terre disponible et son état écologique est l’une des ressources les plus limitantes pour la production alimentaire, il est essentiel d’identifier les pratiques qui diminuent les impacts par hectare. Définition de l’indicateur Alimentation actuelle Pas de relocalisation Régime actuel Agriculture actuelle Parcel ne se prononce pas sur les impacts de la relocalisation (l'état de la rechercher actuelle ne permet pas de les objectiver) Alimentation relocalisée Relocalisation Régime actuel Agriculture actuelle Alimentation scénarisée Relocalisation Changement de régime % d'agriculture en bio ? Parcel donne l'impact d'un passage au bio et d'un changement de régime alimentaire EMISSIONS DE GAZ A EFFET DE SERRE (Différence d'emissions de DIOXYDE DE CARBONE (CO2) + MÉTHANE (CH4) + PROTOXYDE D’AZOTE (N2O)) Autrement dit, on calcule la différence entre les impacts entre une alimentation relocalisée avec des régimes et des parts de bio actuels et une alimentation relocalisée avec des régimes et des parts de bio choisis par l’utilisateur. On ne calcule pas l’impact de la relocalisation seule de l’alimentation (trop d’incertitudes en l’état actuel des connaissances). QUELQUES CLÉS D'INTERPRÉTATION DES RÉSULTATS Les effets d’un passage au bio * Par hectare, la diminution des émissions de gaz à effet de serre est principalement liée à la non-utilisation d’engrais minéraux en agriculture biologique (en particulier les engrais azotés de synthèse, dont la fabrication est très énergivore) et à la mise en œuvre de systèmes d’élevage plus extensifs en moyenne ; * Par personne, l’impact est faible du fait de la diminution des rendements en bio (on mobilise un plus grand nombre d’hectares et on additionne les effets de chacun d’eux). Les effets d’une réduction des produits animaux * Par hectare, les émissions diminuent faiblement avec la réduction des produits animaux : l’élevage n’est pas toujours plus émetteur en gaz à effet de serre lorsqu’on la ramène à l’unité de surface, comparé aux cultures végétales que l’on ajoute pour assurer l’apport protéique (fruits à coque, légumineuses…) ; * Cependant, c’est l’élevage qui mobilise le plus d’hectare (plus de 80% de l’empreinte spatiale de notre alimentation actuelle), une réduction des produits animaux fait rapidement diminuer le nombre d’hectares (explication dans les détails de l’indicateur « Empreinte au sol ») et donc les impacts qui leurs sont liés (émissions de méthane, de protoxyde d’azote…) : par personne, les émissions diminuent fortement avec la réduction des produits animaux ; ELÉMENTS DE CONTEXTE alimentation1 = 24 %de l’empreinte carbone des ménages français production agricole = 2/3de l’empreinte carbone de l’alimentation en France produits animaux= 80% de l’empreinte carbone de l’alimentation des ménages français 1 émissions de gaz à effet de serre issues de l'alimentation des ménages DOMAINE DE VALIDITÉ * Lorsqu’il est défini par hectare, la mesure d’impact dans PARCEL correspond à la différence d’impact entre : * 1 hectare moyen permettant de répondre aux besoins alimentaires associés à un régime actuel et à une agriculture actuelle ; * 1 hectare moyen qui permettrait de répondre aux besoins alimentaires associés à des choix de production agricole et de consommation différents (% de bio et changement de régime alimentaire). Attention : il n’est pas possible de mesurer la différence d’impact engendrée par les hectares supplémentaires qu’il faudrait potentiellement mobiliser. Autrement dit, si l’alimentation scénarisée via PARCEL requiert 20% de plus de surfaces agricoles, les différentiels d’impacts de ces nouvelles surfaces ne sont pas calculés car il n’est pas possible de savoir où seraient situés ces hectares ni de connaitre leur utilisation actuelle (forêts, villes etc.). * L’indicateur « émissions de gaz à effet de serre » ne prend pas en compte le changement d’usage des sols. Dans certains cas, cela pourrait participer à des émissions supplémentaires (de CO2 notamment). * L’utilisation des inventaires d’Analyse Cycle de Vie de la base de données FoodGES de l’ADEME implique notamment : * Que le périmètre retenu est celui « depuis la production des intrants agricoles jusqu’à la sortie magasin » * Que les phénomènes de stockage / déstockage de carbone des surfaces mobilisées ne sont pas pris en compte Méthodologie de calcul • Pour les éléments sur la méthode de calcul des indicateurs, se référer à la page annexe méthodologique, accessible par le menu principal Principales ressources * Base de Données FoodGES – ADEME – 2016 Voir l'étude * Quantifier et chiffrer économiquement les externalités de l’agriculture biologique ? – ITAB, Sautereau, N., Benoît, M. – 2016 Voir l'étude * Many shades of gray - The context-dependent performance of organic agriculture – Seufert, V., Ramankutty, N. – 2017 Voir l'étude * L’empreinte énergétique et carbone de l’alimentation en France – de la production à la consommation – Barbier, C., Couturier C. et al.– 2019 Voir l'étude * Une Europe agroécologique en 2050 : une agriculture multifonctionnelle pour une alimentation saine. – Aubert, P.M., Poux, X. – 2018 Voir l'étude * Elevage bovin et environnement : les chiffres clés. – IDELE – 2018 Voir l'étude Le climat et l'air : Polluants aériens L’indicateur et les unités fonctionnelles -% Polluants aériens par hectare (en cours) La vision de l’impact par hectare rend compte du caractère limité des ressources et de l’enjeu de leur préservation. -% Polluants aériens par personne (en cours) Lorsqu’on les regarde par personne, les émissions de gaz à effet de serre donne l’impact global d’un changement d’alimentation. Définition de l’indicateur Alimentation actuelle 1 Agriculture actuelle Assiette actuelle Alimentation nouvelle2 production bio Assiette nouvelle Différence d'EMISSIONS DE GAZ A EFFET DE SERRE (EMISIONS DE DIOXYDE DE CARBONE (CO2) + MÉTHANE (CH4) + PROTOXYDE D’AZOTE (N2O)) Autrement dit, on calcule la différence entre les effets d’un scénario initial et d'un scénario final * 1 Scénario actuel : agriculture actuelle et en consommation actuelle * 2 Scénario sélectionné : choix agricoles (% bio) et de consommation de l’utilisateur (type d'assiettes) ELÉMENTS DE CONTEXTE alimentation des ménages 1 = 24 %de leur empreinte carbone en France production agricole = 2/3de l’empreinte carbone totale de l’alimentation Elevage= 80% émissions de gaz à effet de serre de l’alimentation des ménages 1 émissions de gaz à effet de serre issues de l'alimentation des ménages PÉRIMÈTRE DE L’INDICATEUR * Ici, on mesure l’impact d’un changement de consommation et/ou d’un passage au bio. On ne calcule pas impact de la relocalisation de l’alimentation (trop d’incertitudes en l’état actuel des connaissances). * Lorsqu’il est regardé par hectare, le résultat obtenu correspond à la différence d’impact entre : * 1 hectare représentatif de la situation qui permet de répondre aux besoins alimentaires, en agriculture actuelle et en consommation actuelle ; * 1 hectare représentatif de la situation qui permet de répondre aux besoins alimentaires, selon les choix agricoles et de consommation de l’utilisateur ; Attention : la différence d’impact ne concerne pas les hectares supplémentaires potentiellement nécessaires pour concrétiser la situation projetée par l’utilisateur. En effet, il n’est pas possible de connaitre l’utilisation actuelle (forêts, villes etc.) de ces hectares, et il n’est donc pas possible de calculer la différence d’impact. * L’indicateur « émissions de gaz à effet de serre » ne prend pas en compte le changement d’usage des sols. Dans certains cas, cela pourrait participer à des émissions supplémentaires (de CO2 notamment). * La séquestration de carbone n’est pas prise en compte : l’indicateur s’intéresse uniquement aux émissions de gaz à effet de serre Méthodologie de calcul • Pour les éléments sur la méthode de calcul des indicateurs, se référer à la page annexe méthodologique, accessible par le menu principal Principales ressources * Quantifier et chiffrer économiquement les externalités de l’agriculture biologique ? – ITAB, Sautereau, N., Benoît, M. – 2016 Voir l'étude * The context-dependent performance of organic agriculture – Seufert, V., Ramankutty, N. Many shades of gray – 2017 Voir l'étude * L’empreinte énergétique et carbone de l’alimentation en France – de la production à la consommation – Barbier, C., Couturier C. et al.– 2019 Voir l'étude * Une Europe agroécologique en 2050 : une agriculture multifonctionnelle pour une alimentation saine. – Aubert, P.M., Poux, X. – 2018 Voir l'étude * Elevage bovin et environnement : les chiffres clés. – IDELE – 2018 Voir l'étude Biodiversité : Déclin des espèces Des résultats variables selon l’unité : par hectare ou par personne -% Déclin des espèces par hectare Cet indicateur est uniquement calculé par hectare. Le calcul par personne nécessiterait de connaître la nature des sols qu’il faut potentiellement mobiliser en plus lors d’un changement d’alimentation. Définition de l’indicateur Alimentation actuelle Pas de relocalisation Régime actuel Agriculture actuelle Parcel ne se prononce pas sur les impacts de la relocalisation (l'état de la rechercher actuelle ne permet pas de les objectiver) Alimentation relocalisée Relocalisation Régime actuel Agriculture actuelle Alimentation scénarisée Relocalisation Changement de régime % d'agriculture en bio ? Parcel donne l'impact d'un passage au bio et d'un changement de régime alimentaire DÉCLIN DES ESPÈCES DIFFERENCE DU NOMBRE DE PAPILLONS, ABEILLES, VERS DE TERRE ET INVERTÉBRÉS Autrement dit, on calcule la différence entre les impacts entre une alimentation relocalisée avec des régimes et des parts de bio actuels et une alimentation relocalisée avec des régimes et des parts de bio choisis par l’utilisateur. On ne calcule pas l’impact de la relocalisation seule de l’alimentation (trop d’incertitudes en l’état actuel des connaissances). QUELQUES CLÉS D'INTERPRÉTATION DES RÉSULTATS Les effets d’un passage au bio * La diminution de la destruction des espèces est liée à certaines pratiques mises en œuvre par les fermes bio: rotations plus longues et plus diversifiées, davantage de prairies, absence de pesticides chimiques… Les effets d’une réduction des produits animaux * Les surfaces liées aux productions d’élevage comportent des prairies, habitats agricoles favorables au développement de divers espèces. La réduction des produits animaux augmente la destruction des espèces, en diminuant ces espaces. ELÉMENTS DE CONTEXTE espèces menacées=1 milliond’espèces animales et végétales dans le monde pourraient être menacées d’extinction dans les prochaines décennies diversité en France=10%de la diversité des espèces connues au niveau mondial serait abritée en France (Avec les outre-mer) artificialisation et agriculture intensive1 =1eres causesde perte de biodiversité 1 L’artificialisation et l’agriculture intensive figurent parmi les premières causes de perte de biodiversité DOMAINE DE VALIDITÉ * Lorsqu’il est défini par hectare, le résultat correspond à la différence d’impact entre : * 1 hectare moyen permettant de répondre aux besoins alimentaires associés à un régime actuel et à une agriculture actuelle ; * 1 hectare moyen qui permettrait de répondre aux besoins alimentaires associés à des choix de production agricole et de consommation différents (% de bio et changement de régime). Attention : il n’est pas possible de mesurer la différence d’impact avec des hectares supplémentaires qu’il faudrait potentiellement mobiliser. Autrement dit, si l’alimentation scénarisée au sein de PARCEL requiert 20% de plus de surfaces agricoles, les différentiels d’impacts ne concernent pas ces nouvelles surfaces car il n’est pas possible de connaitre l’utilisation actuelle (forêts, villes etc.) de ces hectares. * Plusieurs indicateurs permettent de rendre compte de l'état de la biodiversité. En l’état des données disponibles, PARCEL utilise celui de la destruction des espèces (qui correspond juste à l’inverse de l’abondance des espèces), à travers les travaux de l’Observatoire Agricole de la Biodiversité, sur des papillons, des abeilles, des vers de terre et des invertébrés. * L’abondance des espèces correspond au nombre d’organismes constituant une espèce sur un espace donné. Il est différent de la richesse spécifique des espèces, qui correspond au nombre de différentes espèces présentes sur un espace donné. La richesse spécifique n’est pas mesurée par PARCEL. * Il s'agit une vision partielle de l’ensemble de la biodiversité (animale et végétale). Cependant, les principaux facteurs d’érosion de la biodiversité sont communs pour la grande majorité des espèces. Ainsi, les tendances illustrées ne sont probablement pas contradictoires avec une vision plus globale de cet enjeu. Méthodologie de calcul Pour les éléments sur la méthode de calcul des indicateurs, se référer à la page annexe méthodologique, accessible par le menu principal Principales ressources * Bilan annuel – Observatoire agricole de la biodiversité – 2017 Voir le bilan * Many shades of gray - The context-dependent performance of organic agriculture – Seufert, V., Ramankutty, N. – 2017 Voir l'étude * Biodiversité - Les chiffres clés – Ministère de la Transition Ecologique et Solidaire – 2018 Voir le bilan * Global assessment summary for policy maker – IPBES – 2019 Voir le bilan Biodiversité : Déforestation importée Le potentiel de déforestation importé, lié à l’importation de tourteaux de soja Des résultats variables selon l’unité : par hectare ou par personne -% Déforestation importée par personne Cet indicateur est uniquement calculé par personne. Définition de l’indicateur Alimentation actuelle Pas de relocalisation Régime actuel Agriculture actuelle Parcel ne se prononce pas sur les impacts de la relocalisation (l'état de la rechercher actuelle ne permet pas de les objectiver) Alimentation relocalisée Relocalisation Régime actuel Agriculture actuelle Alimentation scénarisée Relocalisation Changement de régime Agriculture actuelle Parcel donne l'impact d'un passage au bio et d'un changement de régime alimentaire POTENTIEL DE DÉFORESTATION IMPORTÉE DIFFERENCE DE SURFACE IMPORTÉE EN TOURTEAUX DE SOJA, PRODUITS DANS UN PAYS À RISQUE Autrement dit, on calcule la différence entre les impacts entre une alimentation relocalisée avec des régimes et des parts de bio actuels et une alimentation relocalisée avec un régime choisis par l’utilisateur. On ne calcule pas l’impact de la relocalisation et d’un passage au bio (trop d’incertitudes en l’état actuel des connaissances). QUELQUES CLÉS D'INTERPRÉTATION DES RÉSULTATS Les effets d’un passage au bio * • PARCEL ne calcule pas les effets d’un passage au bio sur la déforestation importée, faute de données consolidées disponibles. Les effets d’une réduction des produits animaux * Le potentiel de déforestation importée, est principalement lié à l’importation de soja du Brésil et d’Argentine pour l’alimentation animale. La réduction des produits animaux diminue donc directement ce risque. * PARCEL ne rend pas compte des spécificités de certaines fermes d’élevage, plus herbagères et plus autonomes par exemple, et dont le fonctionnement va de pair avec une réduction forte, voir une annulation, du risque de déforestation importée. ELÉMENTS DE CONTEXTE Forêts=80% de la biodiversité terrestre sont abrités dans les forêts Empreinte en déforestation importée 1=14,8 M Hasoit 50% de la surface agricole française. Elle est liée à l’importation de matières premières agricoles et forestières. importation de soja2 =20%de l'empreinte de la France en déforestation importée 1 14,8 millions d'hectares 2 Les principaux pays à risque sont le Brésil et l'Argentine DOMAINE DE VALIDITÉ * L’impact de l’agriculture biologique sur la déforestation importée n’est pas calculé, par manque de données consolidées. Seul l’impact d’un changement de régime alimentaire est quantifié. * Il existe différentes sources de déforestation importée en France : le soja, l’huile de palme, le cacao, le bœuf et le cuir, la pâte à papier l’hévéa etc. PARCEL quantifie seulement les impacts liés aux importations de soja, sous forme de tourteaux (environ 66% des imports de soja). Le tourteau de soja, très riche en protéines, est le résidu solide issu de l’extraction de l’huile des fèves. * L’enjeu de déforestation va au-delà du seul impact de l’érosion de la biodiversité. A titre d’exemple, la déforestation contribuerait aussi à 11% du changement climatique. Méthodologie de calcul • Pour les éléments sur la méthode de calcul des indicateurs, se référer à la page annexe méthodologique, accessible par le menu principal Principales ressources * Bilan d’approvisionnement d’Agreste – Ministère de l’Agriculture et de l’Alimentation Voir le bilan * Stratégie nationale de lutte contre la déforestation importée, 2018-2030 – Ministère de la Transition Ecologique et Solidaire – 2018 Voir l'étude * Déforestation importée arrêtons de scier la branche – WWF– 2018 Voir l'étude * European Soy Monitor – IDH et al. Voir l'étude Eau : Consommation d’eau Des résultats variables selon l’unité : par hectare ou par personne -% Consommation d’eau par hectare Quel est l’impact environnemental d’un hectare moyen nécessaire à la production de mon alimentation ? -% Consommation d’eau par personne Quel est l’impact environnemental de mon alimentation ? Par personne, on donne l’impact écologique global d’un changement d’alimentation. Les évolutions de ces impacts dépendent : * D’une part de l’évolution du nombre total d’hectares nécessaires pour satisfaire cette nouvelle demande alimentaire ; * Et d’autre part de l’impact de chacun de ces hectares. La vision par hectare permet d’isoler ce deuxième élément. Puisque la surface de terre disponible et son état écologique est l’une des ressources les plus limitantes pour la production alimentaire, il est essentiel d’identifier les pratiques qui diminuent les impacts par hectare. Définition de l’indicateur Alimentation actuelle Pas de relocalisation Régime actuel Agriculture actuelle Parcel ne se prononce pas sur les impacts de la relocalisation (l'état de la rechercher actuelle ne permet pas de les objectiver) Alimentation relocalisée Relocalisation Régime actuel Agriculture actuelle Alimentation scénarisée Relocalisation Changement de régime Agriculture actuelle Parcel donne l'impact d'un passage au bio et d'un changement de régime alimentaire CONSOMMATION D’EAU DIFFERENCE DE CONSOMMATION D’EAU DOUCE DE SURFACE OU SOUTERRAINE (Indicateur Eau Bleu de Water FootPrint Network) Autrement dit, on calcule la différence entre les impacts entre une alimentation relocalisée avec des régimes et des parts de bio actuels et une alimentation relocalisée avec un régime choisi par l’utilisateur. On ne calcule pas l’impact de la relocalisation et d’un passage au bio (trop d’incertitudes en l’état actuel des connaissances). QUELQUES CLÉS D'INTERPRÉTATION DES RÉSULTATS Les effets d’un passage au bio * PARCEL ne calcule pas les effets d’un passage au bio sur la consommation en eau, par manque de données consolidées. Les effets d’une réduction des produits animaux * L’augmentation de la consommation en eau par hectare résulte du fait qu’on remplace des productions d’élevage (peu consommatrices en eau lorsqu’on les ramène à l’unité de surface) par des productions végétale (dont certaines sont plus consommatrices en eau par unité de surface) ; * Par personne, la consommation en eau diminue avec la réduction des produits animaux, puisqu’on réduit significativement le nombre d’hectares nécessaires. ELÉMENTS DE CONTEXTE alimentation=20%de l’empreinte en eau moyenne d’un Français (1 875m3) agriculture=50%de la consommation d'eau en France (en période ordinaire) Consommation d’eau =4 Mds m3d’eau sont prélevés chaque année pour la production agricole DOMAINE DE VALIDITÉ * L’impact de l’agriculture biologique sur la consommation en eau n’est pas calculé, par manque de données consolidées. Seul l’impact d’un changement de régime alimentaire est quantifié. * Lorsqu’il est défini par hectare, le résultat correspond à la différence d’impact entre : * 1 hectare moyen permettant de répondre aux besoins alimentaires associés à un régime actuel et à une agriculture actuelle ; * 1 hectare moyen qui permettrait de répondre aux besoins alimentaires associés à des choix de production agricole et de consommation différents (% de bio et changement de régime). Attention : il n’est pas possible de mesurer la différence d’impact avec des hectares supplémentaires qu’il faudrait potentiellement mobiliser. Autrement dit, si l’alimentation scénarisée au sein de PARCEL requiert 20% de plus de surfaces agricoles, les différentiels d’impacts ne concernent pas ces nouvelles surfaces car il n’est pas possible de connaitre l’utilisation actuelle (forêts, villes etc.) de ces hectares. * L’indicateur consommation en eau calcule la consommation d’eau et non le prélèvement d’eau. Certains prélèvements donnent lieu à un rejet quasi-immédiat sur place sans que l’eau prélevée n’ait fait l’objet d’un traitement ou d’une pollution. Une fraction seulement des prélèvements fait l’objet d’une consommation, c’est-à-dire d’une utilisation éloignée du lieu de prélèvement et, à cette occasion, d’un traitement ou d’une pollution. Méthodologie de calcul • Pour les éléments sur la méthode de calcul des indicateurs, se référer à la page annexe méthodologique, accessible par le menu principal Principales ressources * The Water Footprint Assessment Manual Setting the Global Standart – Hoekstra et al., – 2011 Voir l'étude * Eau et Agriculture, Tome 1 Aspects quantitatifs – CGAAER – 2015 Voir l'étude * L’eau et les milieux aquatiques - Chiffres clés – CGDD – 2016 Voir l'étude * Water Foot Print Network Data Base Voir l'étude Eau : dépenses de dépollution agricole de l’eau Des résultats variables selon l’unité : par hectare ou par personne -% Pollution de l'eau par hectare Quel est l’impact environnemental d’un hectare moyen nécessaire à la production de mon alimentation ? -% Pollution de l'eau par personne Quel est l’impact environnemental de mon alimentation ? Par personne, on donne l’impact écologique global d’un changement d’alimentation. Les évolutions de ces impacts dépendent : * D’une part de l’évolution du nombre total d’hectares nécessaires pour satisfaire cette nouvelle demande alimentaire ; * Et d’autre part de l’impact de chacun de ces hectares. La vision par hectare permet d’isoler ce deuxième élément. Puisque la surface de terre disponible et son état écologique est l’une des ressources les plus limitantes pour la production alimentaire, il est essentiel d’identifier les pratiques qui diminuent les impacts par hectare. Définition de l’indicateur Alimentation actuelle Pas de relocalisation Régime actuel Agriculture actuelle Parcel ne se prononce pas sur les impacts de la relocalisation (l'état de la rechercher actuelle ne permet pas de les objectiver) Alimentation relocalisée Relocalisation Régime actuel Agriculture actuelle Alimentation scénarisée Relocalisation Changement de régime % d'agriculture en bio ? Parcel donne l'impact d'un passage au bio et d'un changement de régime alimentaire DÉPENSES DE DÉPOLLUTION AGRICOLE DE L’EAU Différence de surcoûts et pertes financières évalués et attribués aux pollutions agricoles diffuses (nitrates et produits phytopharmaceutiques) Autrement dit, on calcule la différence entre les impacts entre une alimentation relocalisée avec des régimes et des parts de bio actuels et une alimentation relocalisée avec des régimes et des parts de bio choisis par l’utilisateur. On ne calcule pas l’impact de la relocalisation seule de l’alimentation (trop d’incertitudes en l’état actuel des connaissances). QUELQUES CLÉS D'INTERPRÉTATION DES RÉSULTATS Les effets d’un passage au bio * La réduction de la pollution de l’eau par hectare est notamment liée à la non-utilisation des pesticides de synthèse et au moindre lessivage des nitrates en bio notamment du fait de la fertilisation organique (ITAB, 2016). * Par personne, l’impact est faible du fait de la diminution des rendements en bio (on mobilise un plus grand nombre d’hectares). Les effets d’une réduction des produits animaux * Par hectare, la pollution de l’eau varie faiblement : l’élevage n’est pas toujours plus polluant par unité de surface que les cultures végétales que l’on ajoute pour assurer l’apport protéique (fruits à coque, légumineuses…) ; * Par personne, la réduction des produits animaux permet cependant de réduire la pollution de l’eau, puisqu’on réduit de manière significative le nombre d’hectares (explications disponibles dans les détails de l’indicateur « Empreinte au sol ») et les effets qui leurs sont liés). ELÉMENTS DE CONTEXTE Pollutions agricoles1=1,1 Mds €en 2011 de surcoûts et pertes financiers attribués aux pollutions agricoles diffuses en France Eaux usées =10%des dépenses d’assainissements en France sont générés par les pollutions agricoles Eau potable=45%de l’eau prélevé annuellement subit un traitement contre les pesticides 1 milliards d’€ en 2011 DOMAINE DE VALIDITÉ * Lorsqu’il est défini par hectare, le résultat correspond à la différence d’impact entre : * 1 hectare moyen permettant de répondre aux besoins alimentaires associés à un régime actuel et à une agriculture actuelle ; * 1 hectare moyen qui permettrait de répondre aux besoins alimentaires associés à des choix de production agricole et de consommation différents (% de bio et changement de régime). Attention : il n’est pas possible de mesurer la différence d’impact avec des hectares supplémentaires qu’il faudrait potentiellement mobiliser. Autrement dit, si l’alimentation scénarisée au sein de PARCEL requiert 20% de plus de surfaces agricoles, les différentiels d’impacts ne concernent pas ces nouvelles surfaces car il n’est pas possible de connaitre l’utilisation actuelle (forêts, villes etc.) de ces hectares. Méthodologie de calcul • Pour les éléments sur la méthode de calcul des indicateurs, se référer à la page annexe méthodologique, accessible par le menu principal Principales ressources * L’eau et les milieux aquatiques : Chiffres clés – CGDD – 2016 Voir l'étude * Coûts des principales pollutions agricoles de l'eau – CGDD – 2011 Voir l'étude * Quantifier et chiffrer économiquement les externalités de l’agriculture biologique ? – ITAB, Sautereau, N., Benoît, M. – 2016 Voir l'étude * Eau et Agriculture, Tome 2 : Aspects qualitatifs – CGAAER– 2015 Voir l'étude * Données du Réseau d’information comptable agricole (RICA) d’Agreste – Ministère de l’Agriculture et de l’Alimentation Voir les données Légumes 10 436 hectares Méthodologie de calcule Selon les chiffres de l’INSEE de 2015, la part de légumes moyenne pour un habitant des Bouches du Rhône représente 27 % d’une assiette. 7 742 kg nécessitant 3 249 hectares Détail par produit en pourcentage de surfaces cultivées * 0,13Ail, échalottes, oignons * 0,13Artichauts * 0,13Asperges * 0,13Aubergines * 0,13Betteraves, Radis, Salsifis, Similaires * 0,13Bettes, Cardes, Brèdes, Christophine * 0,13Carottes, Navets potagers, Céleris raves * 0,13Céleris branche Emissions de gaz à effet de serre 10 436 hectares L’indicateur et les unités fonctionnelles Selon les chiffres de l’INSEE de 2015, la part de légumes moyenne pour un habitant des Bouches du Rhône représente 27 % d’une assiette. -10% Emissions de gaz à effet de serre par hectare La surface disponible et son état écologique étant une des ressource les plus limitante pour la production alimentaire, la vision de l’impact par hectare rend compte du caractère limité des ressources et de l’enjeu de leur préservation. +10% Emissions de gaz à effet de serre par assiette Lorsqu’on les regarde par assiette, les émissions de gaz à effet de serre donne l’impact global d’un changement d’alimentation. Définition de l’indicateur Selon les chiffres de l’INSEE de 2015, la part de légumes moyenne pour un habitant des Bouches du Rhône représente 27 % d’une assiette. Les émissions de gaz à effet de serre de l’alimentation des ménages = 24 % de leur empreinte carbone en France La production agricole représente 2/3 de l’empreinte carbone totale de l’alimentation L’élevage compte environ pour 80%de ces émissions ELÉMENTS DE CONTEXTE Les émissions de gaz à effet de serre de l’alimentation des ménages = 24 % de leur empreinte carbone en France La production agricole représente 2/3 de l’empreinte carbone totale de l’alimentation L’élevage compte environ pour 80%de ces émissions PÉRIMÈTRE DE L’INDICATEUR * On ne calcul pas impact de la relocalisation de l’alimentation (trop d’incertitudes en l’état actuel des connaissances). On mesure l’impact d’un changement de consommation et/ou d’un passage au bio. * Lorsqu’il est regardé par hectare, le résultat obtenu correspond à la différence d’impact entre : 1 hectare représentatif de la situation qui permet de répondre aux besoins alimentaires, en agriculture actuelle et en consommation actuelle ; 1 hectare représentatif de la situation qui permet de répondre aux besoins alimentaires, selon les choix agricoles et de consommation de l’utilisateur ; Attention : la différence d’impact ne concerne pas les hectares supplémentaires potentiellement nécessaires pour concrétiser la situation projetée par l’utilisateur. En effet, il n’est pas possible de connaitre l’utilisation actuelle (forêts, villes etc.) de ces hectares, et il n’est donc pas possible de calculer la différence d’impact. * L’indicateur « émissions de gaz à effet de serre » ne prend pas en compte le changement d’usage des sols. Dans certains cas, cela pourrait participer à des émissions supplémentaires (de CO2 notamment). * La séquestration de carbone n’est pas prise en compte : l’indicateur s’intéresse uniquement aux émissions de gaz à effet de serre Méthodologie de calcul • Pour les éléments sur la méthode de calcul des indicateurs, se référer à la page annexe méthodologique, accessible par le menu principal Principales ressources * ITAB, Sautereau, N., Benoît, M. Quantifier et chiffrer économiquement les externalités de l’agriculture biologique ? – 2016 * Seufert, V., Ramankutty, N. Many shades of grayi>The context-dependent performance of organic agriculture – 2017 * Barbier, C., Couturier C. et al.L’empreinte énergétique et carbone de l’alimentation en France – de la production à la consommation. - 2019 * Aubert, P.M., Poux, X. Une Europe agroécologique en 2050 : une agriculture multifonctionnelle pour une alimentation saine. - 2018 * IDELE, Elevage bovin et environnement : les chiffres clés. - 2018 Définissez votre groupe de personnes -0+Enfants (0-17 ans) -0+Adultes (18-64 ans) -0+Personnes âgées (65+ ans) Valider Définissez votre groupe de personnes -0+Enfants (0-17 ans) -0+Adultes (18-64 ans) -0+Personnes âgées (65+ ans) Valider Nous utilisons des cookies (traceurs) pour optimiser le fonctionnement de l'application, améliorer votre expérience et suivre l’audience de notre site internet. En poursuivant votre navigation sans modifier vos paramètres, vous acceptez cette utilisation. Pour en savoir plus cliquez ici Accepter et fermer