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Text Content

MÉDICAMENTS, DROGUES ET DÉPENDANCES: DANGER !

"Les pires ravages attribués à la drogue ne passent pas l'action véreuse d'un
dealer propriétaire d'un coin de rue, mais par celle d'un vénérable médecin lové
dans son cabinet"
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DÉFINITIONS, DANGEROSITÉS ET SITES DROGUES

Publié le 16 février 2023 par drogue88

 » Les médecins sont donc devenus les plus grands trafiquants de drogue
d’Amérique « 
dr ann Blak-Tracy

 « « Drogues » et « médicaments » mis en contexte »

« En d’autres termes, aucune caractéristique chimique ne peut distinguer entre
un psychotrope appelé  » drogue  » et un autre appelé  » médicament «  »
professeur david Cohe
.
On drogue, on torture et on tue les vieux
Etat des lieux chez les personnes âgées
.
La mort par la médecine est une épidémie du 21e siècle,
Les premières sociétés pharmaceutiques sont aussi parmi les plus grandes
entreprises criminels dans le monde, et ils ne sont vraiment rien de plus que
les trafiquants de drogue en cols blancs.
.
« les sociétés pharmaceutiques nous ont conditionné a devenir des toxicomanes
sur ordonnance, malgré tous les résultats tragiques que cela comporte »
docteur bruce Lipton
.
Ils ont inventé des maladies psychiatriques pour vendre des drogues légalisées
Pendant que l’on diabolise les drogues illégales en tant que nouveau phénomène
de société, les apôtres de la moralité politico-orthodoxe font le grand silence
sur le marché honteux des drogues psychotropes légales du créneau
pharmaceutique. Cette langue de bois est évidemment en rapport direct avec les
fausses statistiques de l’alcoolémie au volant, la plupart des accidents actuels
étant dus aux effets des tranquillisants émoussant gravement les réflexes des
conducteurs. Oui, une fois de plus l’hypocrisie est au rendez-vous, trouvant
moyen de rendre les victimes coupables.

augmentation des décès par surdose de médicaments délivrés sur ordonnance :
« ce que les usagers ne savent pas, c’est que l’abus de médicaments sur
ordonnance peut être plus dangereux que l’abus de drogues fabriquées
illicitement. Du fait de leur très grande puissance, certains stupéfiants de
synthèse, disponibles sous forme de médicaments délivrés sur ordonnance,
présentent même un risque de surdose plus élevé que l’abus de drogues illicites”

Il n’existe que deux types de drogues, celles qui sont remboursées et celles qui
ne le sont pas
Les antidépresseurs, inducteurs de suicides, d’addictions relativement rapides,
restent abondamment prescrits et remboursés malgré leur échec thérapeutique
quasi constant.

Neurotoxiques : médicaments, poisons, pesticides, psychotropes, toxiques, …
informations

«Les médicaments utilisés en psychiatrie sont tellement nocifs qu’ils tuent plus
d’un demi-million de personnes chaque année parmi les 65 ans et plus aux
États-Unis et en Europe. Ce qui rend les drogues psychiatriques comme la
troisième cause de mortalité, après les maladies cardiaques et le cancer. Nous
pourrions réduire notre consommation actuelle de médicaments psychotropes de 98
% et en même temps améliorer la survie et la santé mentale de la population.»
Professeur peter Gotzsche

neurotoxiques définition
Un neurotoxique agit habituellement en perturbant ou en paralysant l’influx
nerveux

Qui sont les vrais barons de la drogue : Big pharma, les vrais barons de la
drogue contrôle la production de la grande majorité des « drogues légales » de
la planète.

Les médicaments de l’âme
« les effets des drogues légales sont généralement supérieurs à ceux des drogues
illégales et génèrent donc des effets plus dévastateurs et débilitant »

Liste de Médicaments qui ont Actuellement le Statut de Drogue Nouvelle
santé canada

La drogue
Le terme scientifique pour une drogue est « un psychotrope ». L’effet d’un
psychotrope est d’agir sur le fonctionnement du cerveau.

psychotropes, stupéfiants : liste et définition
antidépresseurs, lsd, barbituriques, cocaïne, nicotine, neuroleptiques,
chloroforme, opium, codéïne, benzodiazépines, ritaline, amphétamines…

Les drogues et le cerveau : L’action des drogues sur ces connexions
Certains antidépresseurs inhibent la monoamine oxydase, enzyme de dégradation
des médiateurs responsables de la régulation de l’humeur.

professeur Cohen et Guilhème Pérodeau : « « Drogues » et « médicaments » mis en
contexte »
« En d’autres termes, aucune caractéristique chimique ne peut distinguer entre
un psychotrope appelé  » drogue  » et un autre appelé  » médicament « 

OMS / dépendance
Le syndrome de sevrage est l’un des indicateurs d’un syndrome de dépendance. Il
s’agit également de la caractéristique essentielle de la «dépendance», sous son
acception psychopharmacologique plus limitée.

dépendance professeur Breggin et Cohen
«la dépendance physique se définit comme l’apparition de symptômes spécifiques
lorsque la médication est brusquement interrompue».

ORGANE INTERNATIONAL DE CONTRÔLE DES STUPÉFIANTS
“En outre, ce que les usagers ne savent pas, c’est que l’abus de médicaments sur
ordonnance peut être plus dangereux que l’abus de drogues fabriquées
illicitement.

drogue : définition
Tout produit amenant à une dépendance physique ou psychique peut être qualifié
de drogue

 drogue : définition
Ces produits, autrefois appelés « drogues », correspondaient aux médicaments
d’aujourd’hui

Dépendance : mission interministeriel de lutte contre la drogue (MILDT)
Brutale ou progressive selon les produits, la dépendance est installée quand on
ne peut plus se passer de consommer, sous peine de souffrances physiques et/ou
psychiques

Toxicomanies médicamenteuses
Une escalade médicamenteuse, à l’insu du patient

Petite histoire naturel des drogues
Enfin, des drogues de synthèse mimant plus ou moins les substances naturelles
ont été élaborées au début du vingtième siècle.

Neurotoxicité des produits industriels et développement cérébral
Les produits neurotoxiques

Les médecins, une source inépuisable de produits
« Il y a une étrange analogie entre les opiacés, tranquillisants et somnifères
du « tox » et ceux pris en routine par nos patients réputés «normaux » « 

La drogue une arme de contrôle social et politique
La drogue est partout elle est déjà pratiquement légalisée, elles coulent à flot
et inondent le marché, cannabis, cocaine, crak, sans parler des produits de
l’industrie pharmaceutique comme la ritaline qui est encore plus toxique que la
coke et tous les psychotropes avec son cortège d’horreur, gamins perdus, sans
repère hors tous système car incapable d’attention, des larves alors qu’ils ont
parfois même pas 12 ans, dernière les drogues sont donnés aux enfants
soldats comme on le voir dans ce rapport parlementaire canadien. Rapport que je
conseille à quiconque veut comprendre l’ampleur de la richesse que l’on peut
accumuler avec ses drogues, une arme de destruction massive.

Les prescriptions de médicaments tuent une personne toute les 19 minutes aux
USA.
Qui sont les vrais dealers de drogues?

Dangers des drogues psychiatriques : le classement du docteur Charles Whitfield
Le classement des médicaments psychiques en ordre décroissant comme je l’ai fait
plus haut pour les drogues illégales, en premier lieu sont 1) les médicaments
antipsychotiques, qui sont généralement si invalidants et toxiques qu’ils ont
été démontrés pour causer la mort précoce [6, 7, 46, 47]. Deuxièmement, 2) les
antidépresseurs, qui partagent de nombreux effets toxiques avec les
antipsychotiques et provoquent souvent une augmentation des pensées suicidaires
et des suicides achevés, ainsi que des homicides par rapport aux placebos [6, 7,
19]. Voici 3) les stimulants du méthylphénidate (Ritalin) et du type amphétamine
(qui sont presque tous des amphétamines d’une sorte ou d’une autre). Ensuite 4)
les sédatifs benzodiazépines ( «benzos») dont les principales toxicités sont la
sédation excessive et l’engourdissement émotionnel (similaire aux
antipsychotiques et antidépresseurs) et probablement le syndrome de sevrage le
plus douloureux de toutes les drogues légales et illégales pour la plupart des
gens. Ensuite, 5) les anti-convulsivants, savamment appelés «stabilisateurs de
l’ humeur» à des fins de marketing, même si elles ont peu à voir avec l’ humeur
et ils provoquent souvent de nombreux effets toxiques et un retrait souvent
douloureux [6, 34].

« Les pires ravages attribués à la drogue ne passent pas l’action véreuse d’un
dealer propriétaire d’un coin de rue, mais par celle d’un vénérable médecin lové
dans son cabinet. »
.
Torturées par leurs médecins, avec des médicaments, des millions de personnes,
chaque année, en meurent, sont handicapées ou sont poussées au suicide par
d’atroces souffrances
STOP MED TORTURE !
 
Vous pouvez afficher les sous-titres en français. Appuyez sur lecture, cliquez
sur afficher les sous titres. Une fois les sous titres affichés (en anglais), il
faut aller dans l’autre commande (a coté de sous titre), Puis, cliquer sur sous
titre, puis sur traduire automatiquement, puis en français.

« Les drogues psychiatriques sont beaucoup plus dangereuses que les drogues
illégales »



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PRINCIPES DES ADDICTIONS PSYCHIATRIQUES ET NÉGATIONNISME MÉDICAL

Publié le 22 Mai 2022 par drogue88

Principes des addictions psychiatriques
…11. Les médecins qui prescrivent des interventions biopsychiatriques ont en
général une estimation irréaliste des risques et des bénéfices du traitement.
Les interventions biopsychiatriques sont fondées sur le principe du
“désemparement et déni iatrogènes” (iatrogenic helplessness and denial, IHAD).
Il se réfère au mécanisme qui fait que le patient perd, par la façon dont le
traitement est appliqué et par l’effet chimique ou neurologique du traitement,
toute capacité d’évaluation de ses réactions, du handicap créé par le
traitement, et des assertions du médecin. « Le psychiatre biologique utilise des
techniques connues d’autorité et impose des traitements destructeurs du SNC pour
obtenir un désarroi et une dépendance accrus du patient. »
La IHAD implique le déni de la part et du médecin et de la part du patient des
dommages créés par le traitement, tout autant que des réels troubles
psychologiques et contextuels présents. La IHAD rend compte de la fréquence avec
laquelle les traitements par techniques destructrices du cerveau sont utilisés
en psychiatrie: électrochocs, psychochirurgie, et médication toxique. Le fait
que le traitement détruit des fonctions cérébrales amène la soumission du
patient par le biais de la perte de fonctions essentielles telles que la
vitalité, la volonté et le raisonnement. Le déni vise non seulement la
destruction des fonctions essentielles chez le patient, mais aussi le fait que
ses problèmes psychologiques continuent. Ce déni est assorti de confabulation
[procédé commun à toutes les addictions avec produit. [le déni est un procédé de
défense archaïque (stade oral-anal)]].
Traitement biopsychiatrique = création d’un dommage cérébral plus ou moins
permanent et irréversible…

Les médicaments utilisés en psychiatrie nous font plus de mal que de bien
Les symptômes de sevrage sont souvent diagnostiquée à tort comme un retour de la
maladie ou le début d’une nouvelle, pour lesquelles les médicaments sont alors
prescrits. Au fil du temps, cela conduit à une augmentation du nombre
d’utilisateurs toxicomanes, à long terme

Mythe 1: Votre maladie est causée par un déséquilibre chimique dans le cerveau
C’est ce qui est dit a la plupart des patiens, mais c’est complètement faux.
Nous n’avons aucune idée de ce qui interaction des conditions psychosociales,
les processus biochimiques, les récepteurs et des voies nerveuses qui conduisent
à des troubles mentaux et les théories que les patients atteints de dépression
n’ont pas la sérotonine et que les patients atteints de schizophrénie ont trop
de dopamine ont longtemps été réfuté. La vérité est tout le contraire. Il n’y a
pas déséquilibre chimique pour commencer, mais quand traiter la maladie mentale
avec des médicaments, nous créons un déséquilibre chimique, une condition
artificielle que le cerveau tente de contrer.

Psychrights: « Le but du système public de santé mentale est de créer une classe
énorme de malades mentaux chroniques en les forçant à prendre des médicaments
inefficaces, mais extrêmement dangereux

500 000 décès par an en occident à cause des antidépresseurs, somnifères et
neuroleptiques Les effets bénéfiques des médicaments psychiatriques sont si
minces, dit-il, qu’il serait possible d’arrêter l’utilisation actuelle presque
complètement sans causer de dommages. Il recommande d’arrêter l’utilisation de
tous les médicaments antidépresseurs ainsi que ceux du TDAH et de la démence, et
de prescrire seulement une petite fraction des antipsychotiques et des
benzodiazépines utilisés actuellement.

.Vous pouvez afficher les sous-titres en français. Appuyez sur lecture, cliquez
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https://youtube.com/watch?v=gyf-QhtlltA%3Fversion%3D3%26rel%3D1%26showsearch%3D0%26showinfo%3D1%26iv_load_policy%3D1%26fs%3D1%26hl%3Dfr%26autohide%3D2%26wmode%3Dtransparent

NEGATIONNISME MEDICAL

« Dans l’histoire de la psychiatrie il y a une très vielle habitude d’ignorer
les effets néfastes des médicaments ou de les attribuer essentiellement à la
maladie sous jacente et ainsi de blâmer le patient plutôt que de blâmer la
drogue… des millions de personnes ont été mises sous drogue, alors qu’elles n’en
avaient pas besoin »

docteur joanna Moncrieff

https://youtube.com/watch?v=hsAGBi1fLoA%3Fversion%3D3%26rel%3D1%26showsearch%3D0%26showinfo%3D1%26iv_load_policy%3D1%26fs%3D1%26hl%3Dfr%26autohide%3D2%26wmode%3Dtransparenthttp%3A

Ils font passer les effets secondaires des médicaments (ou de sevrage), pour une
nouvelle maladie ou une aggravation de la maladie initiale



En 10 secondes, le professeur christian Perronne nous explique le négationnisme
médical systématique concernant les effets secondaires des médicaments de BIG
PHARMA.



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« LES DROGUES PSYCHIATRIQUES SONT BEAUCOUP PLUS DANGEREUSES QUE LES DROGUES
ILLÉGALES »

Publié le 22 Mai 2022 par drogue88

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https://youtube.com/watch?v=2RACunvxSiY
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LES PSYCHOTROPES PROVOQUENT LA PLUPART DES PATHOLOGIES QU’ILS DEVRAIENT GUÉRIR
ET MISE EN GARDE

Publié le 22 Mai 2022 par drogue88

« Avec les médicaments psychotropes, les médecins créent la maladie faussement
diagnostiquée »

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« Après des années de recherche le professeur Peter Gøtzsche résume cela de la
manière suivante : « Les psychotropes n’éliminent aucun déséquilibre chimique,
ils les provoquent. Si on les prend plus longtemps que quelques semaines, ils
causent la pathologie qu’ils devraient guérir. Avec les médicaments que nous
avons employés, nous avons transformé des troubles psychiques qui auparavant
n‘étaient le plus souvent que des altérations temporaires, en troubles
chroniques. » « 

Vidéo KLA TV : « Les psychotropes provoquent la plupart des pathologies qu’ils
devraient guérir »

Les psychotropes sont cause de la plupart des maladies mentales

« Les patients sont littéralement torturés par les médicaments qu’on leur
donne »


« Les médicaments psychiatriques, sont dangereux, inefficaces et provoquent
exactement ce qu’ils sont censés soigner »




Les médicaments psychiatriques sont beaucoup plus dangereux que vous ne l’avez
jamais imaginé !

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NEUROLEPTIQUES ET AUTRES DROGUES SUR ORDONNANCES : ON DROGUE, ON TORTURE ET ON
TUE LES VIEUX !

Publié le 25 janvier 2021 par drogue88


ON DROGUE, ON TORTURE ET ON TUE LES VIEUX

Les neuroleptiques ne doivent pas être prescrits, même en cas d’Alzheimer /
démence !

«Les médicaments utilisés en psychiatrie sont tellement nocifs qu’ils tuent plus
d’un demi-million de personnes chaque année parmi les 65 ans et plus aux
États-Unis et en Europe. Ce qui rend les drogues psychiatriques comme la
troisième cause de mortalité, après les maladies cardiaques et le cancer. Nous
pourrions réduire notre consommation actuelle de médicaments psychotropes de 98
% et en même temps améliorer la survie et la santé mentale de la population.»
professeur Gotzsche peter

 .« La France détient le record du monde pour les décès dus aux médicaments, » :
« Son taux de mortalité lié aux médicaments d’ordonnance est 10 fois plus élevé
que dans les pays voisins et un nombre stupéfiant de 20 à 50 fois plus élevé
chez les plus de 75 ans. »

.ces médicaments sont abusivement prescrits pour des troubles anxieux, des
troubles de l’humeur. Ils sont également administrés sans raison chez des
personnes atteintes de démences. Ces prises sont d’autant plus injustifiées que
ces neuroleptiques entraînent des effets indésirables importants (2) : prise de
poids, diabète, accroissement des accidents cardiovasculaires.

.Zyprexa – Risperdal – Abilify – Clozari tue les  personnes âgées : Les
personnes âgées ne sont pas les seuls à risquer la mort. Les professionnels de
la santé mentale l’ont longtemps observé, mais il garde le silence sur le fait
que les patients à qui l’on a prescrit les nouveaux antipsychotiques sont en
train de mourir à cause de la drogue d’insuffisance cardiaque, accident
vasculaire cérébral, et d’autres maladies physiques chroniques invalidantes,
telles que le diabète.

 Pétition : Non aux abus de prescriptions de neuroleptiques, benzodiazépines et
antidépresseurs aux personnes âgées

 Pétition : Non aux abus des prescriptions de neuroleptiques, benzodiazépines et
antidépresseurs aux personnes âgées, dans les centres hospitaliers, dans le seul
but de les « shooter »

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PSYCHOTROPES : LE MASSACRE DE NOS ENFANTS

Publié le 24 janvier 2021 par drogue88

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DROGUES ET MÉDICAMENTS AUX PROPRIÉTÉS ANTICHOLINERGIQUES : LES MÉDICAMENTS QUI
RENDENT FOU.

Publié le 23 janvier 2021 par drogue88
Anti-cholinergiques
neurotoxiques
Ces médicaments qui peuvent rendre fou…
Certains médicaments anticholinergiques consommés de façon prolongée par les
personnes âgées pour traiter la dépression, la Maladie de Parkinson, les
allergies ou l’incontinence urinaire, peuvent entrainer des risques
irréversibles
notice
Le bromhydrate de scopolamine est un antispasmodique anticholinergique.
Il déprime le système nerveux parasympathique, ce qui provoque une diminution
des
sécrétions et des contractions des muscles lisses (système digestif et
urinaire).
En 2012, le magazine Vice avait consacré un reportage vidéo
en Colombie sur cette drogue que le news magazine n’hésitait alors pas à
qualifier de drogue la plus dangereuse du monde.
L’artane :  »L’ecstasy des pauvres »
L’Artane est considéré comme l’ecstasy des pauvres. Consommé avec de l’alcool
et/ou du cannabis, il donne un sentiment de toute puissance, amenant l’individu
au passage à l’acte
Les anticholinergiques
sont une classe de médicament prescrit contre differents symptomes comme les
spasmes,les troubles du sommeil, la toux, l’allérgie, la nausée, le mal du
transport, contre certains symptomes de la maladie de Parkinson et contre les
trouble extrapyramidaux provoqué par certains neuroléptiques. Il existe
plusieurs sorte d’anticholinergique: les naturels (provenant de certain plantes
comme la belladone) comme l’atropine et la Scopolamine; les synthétique comme la
trihexyphénidyle (Artane) et la procyclidine (Kemadrin) et les Semi-synthétique
comme la butylhyoscine (Buscopan). Les anticholinergiques sont de plus en plus
utilisé comme psychotrope. Les consomateurs souvent peu fortuné consome cette
drogue pour l’euphorie et les hallucinations que provoque se genre de produit.
Cette drogue est également utilisé par des escrocs comme drogue du viol car elle
posséde un effet amnésiant trés marqué. A forte dose les anticholinergiques
provoque une perte de volonté et provoque des délires et psychose importante.
Cette drogue n’est pas encore très répandue excepté dans certains cartiers et
pays pauvre. Cette drogue à au départ un effet stimulant avec ou sans
hallucination suivit d’un effet sedatif. La Belgique est un des seul pays aux
monde ou le Buscopan et la Scopolamine est en vente libre. Les médicaments
anticholinergique les plus puissant et les plus détourné sont ceux utilisé dans
la maladie de Parkinson (Artane, Kemadrin, Akineton…) qui il y a pas 10 ans
étaient encore en vente
Anticholinergique
Lorsqu’une quantité suffisante d’anticholinergique est en circulation dans le
corps, un toxidrome (intoxication) appelé syndrome anticholinergique aigu peut
se produire. Cela peut arriver accidentellement ou volontairement dans le cadre
d’une consommation récréative (usage de drogues). Les drogues de cette classe
sont généralement considérées comme peu « amusantes » par les consommateurs de
drogues avertis. Parce que la plupart des usagers n’apprécient pas cette
expérience, ils ne cherchent pas à la recommencer, ou très rarement. Les risques
d’addiction sont faibles pour les médicaments de la classe des
anticholinergiques.
Définition: Anticholinergique (médicament)
Un médicament anticholinergique inhibe (réduit) l’action de l’acétylcholine, un
neurotransmetteur qui intervient dans le cerveau et surtout dans le système
nerveux parasympathique.  Ces médicaments s’opposent ainsi à l’action du système
nerveux parasympathique.  Les médicaments anticholinergiques incluent des
antihypertenseurs, des diurétiques, des agents cardiovasculaires, des
antidépresseurs, des anxiolytiques (tranquillisants), des antiépileptiques, des
antitussifs, des anti-asthmatiques (dont certains sont utilisés comme
somnifères), des antibiotiques, des médicaments pour le traitement du glaucome
et des incontinences urinaires.
Les effets anticholinergiques confondus avec les premiers signes de démence
Les médicaments ayant des propriétés anticholinergiques peuvent causer le
délire, mais à plus long terme des effets qui peuvent être confondus avec les
signes précoces de démence, n’ont pas été étudiées aussi bien pour cette classe
de médicaments.
Les médicaments Anticholinergiques pourraient augmenter le risque du handicap
cognitif, mort dans des personnes plus âgées
Un effet secondaire de beaucoup de médicaments utilisés généralement semble
augmenter les risques du handicap cognitif et de la mort dans des personnes plus
âgées, selon la recherche neuve aboutie par l’Université d’East Anglia (UEA).
Liste des médicaments anticholinergiques
Tégrétol (carbamazépine), atarax (hydroxizine)…
Liste de 82 médicaments anticholinergiques potentiellement risqués pour les
aînés
Score 1 (effet anticholinergique léger):
Alimemazine, Alprazolam , Alverine , Atenolol , Beclometasone, dipropionate ,
Bupropion hydrochloride , Captopril , Chlorthalidone
Cimetidine hydrochloride , Clorazepate, Codeine , Colchicine
Dextropropoxyphene , Diazepam (valium),  Digoxin, Dipyridamole
Disopyramide, Fentanyl, Fluvoxamine , Furosemide , Haloperidol, Hydralazine ,
Hydrocortisone , Isosorbide , Loperamide, Metoprolol , Morphine , Nifedipine ,
Prednisone/Prednisolone, Quinidine , Ranitidine
Theophylline , Timolol maleate , Trazodone , Triamterene
Score 2 (effet anticholinergique modéré):
Amantadine , Belladonna alkaloids , Carbamazepine (tégrétol) ,, Cyclobenzaprine
, Cyproheptadine, Loxapine, Meperidine , Methotrimeprazine , Molindone,
Oxcarbazepine, Pethidine hydrochloride
Pimozide
Score 3 (effet anticholinergique sévère):
Amitriptyline , Amoxapine, Atropine , Benztropine , Chlorpheniramine
Chlorpromazine , Clemastine, Clomipramine , Clozapine, Darifenacin , Desipramine
, Dicyclomine , Diphenhydramine, Doxepin , Flavoxate
Hydroxyzine (atarax),  , Hyoscyamine , Imipramine (tofranil),  Meclizine
Nortriptyline , Orphenadrine , Oxybutynin ,Paroxetine (déroxat), Perphenazine ,
Procyclidine , Promazine , Promethazine
Propentheline , Pyrilamine , Scopolamine , Thioridazine, Tolterodine
Trifluoperazine , Trihexyphenidyl , Trimipramin
Risque accru de déclin cognitif et de mortalité lié aux médicaments
anticholinergiques couramment prescrits
De nombreux médicaments consommés régulièrement par les personnes âgées
augmentent les risques de déclin cognitif et de mortalité, surtout lorsqu’ils
sont combinés, selon une étude britannique publiée dans le Journal of the
American Geriatrics Society. Ces médicaments sont utilisés pour le traitement de
nombreuses conditions de santé. Ces médicaments, vendus sans ordonnance ou
prescrits, ont un effet anticholinergique, c’est-à-dire qu’ils réduisent les
effets du neurotransmetteur acétylcholine (un neurotransmetteur est une molécule
qui permet le «passage» de l’influx nerveux d’une cellule nerveuse à l’autre).
Les problèmes de mémoire sont souvent dus à des médicaments
Les médicaments utilisés pour le traitement de l’insomnie, de l’anxiété, des
démangeaisons et des allergies peuvent avoir des effets négatifs sur la mémoire
ou la concentration des personnes âgées, selon une étude de l’Université de
Montréal. Jusqu’à 90 % des personnes âgées de plus de 65 ans consomment au moins
un médicament d’ordonnance. 18 % des gens de ce groupe d’âge se plaignent de
leur mémoire et présentent des troubles légers de la cognition. La recherche
suggère qu’il y aurait un lien à faire entre les deux situations, concluent les
chercheurs.
Des médicaments qui provoquent un début d’Alzheimer
Des médicaments potentiellement anti-cholinergiques peuvent entraîner des
détériorations modérées de certaines capacités cognitives (ou intellectuelles)
chez la personne âgée, affectant en particulier le temps de réaction, la mémoire
immédiate ou différée, ou le langage. C’est la conclusion à laquelle est
parvenue Karen Ritchie et son équipe (Equipe de recherche Inserm 361 «
Pathologies du système nerveux : recherche épidémiologique et clinique »,
Montpellier).
ANTICHOLINERGIQUE : des médicaments courants accroîtraient le risque de démence
Un anticholinergique est une substance qui s’oppose à l’action de
l’acétylcholine, une molécule jouant le rôle de médiateur chimique et permettant
la communication entre deux neurones. Parmi les médicaments anticholinergiques,
on trouve des antidépresseurs, somnifères et anxiolytiques, mais aussi des
antihistaminiques (rhinites allergiques, asthme) et des médicaments contenant de
la warfarine (cardiopathies, embolies pulmonaires, thromboses veineuses,
infarctus du myocarde etc.), de la codéine (analgésiques) ou encore du
furosémide (hypertension, insuffisance rénale, œdèmes etc.).
Alzheimer sur ordonnances
Le site
Artane
Le trihexyphénidyle est un anticholinergique muscari nique de synthèse
commercialisé sous le nom d’Artane ® en France. Il possède le plus important
potentiel d’abus et de dépendance parmi sa classe.
Les médicaments Anticholinergiques sont liés au risque du handicap cognitif, et
de mort dans une population plus âgée
Une grande étude, à long terme confirme que les médicaments avec l’activité
anticholinergique, qui comprennent beaucoup de médicaments fréquemment pris par
des adultes plus âgés, sont la cause d’handicap cognitif. La recherche est
également la première pour recenser un lien possible entre ces médicaments – qui
comprennent les aides délivrées sans ordonnance et d’ordonnance pour le sommeil
et les demandes de règlement d’incontinence – et le risque de décès.L’étude
biennale de l’incidence de ces médicaments sur 13.000 hommes et femmes âgés 65
et plus vieux fait partie des Études de Fonction Cognitive Médicale et de
Vieillissement du Conseil  » Recherche  » (R-U) (CFAS), une grande initiative
multicentre longitudinale Dont le siège est en Grande-Bretagne d’étude regardant
la santé et la fonction cognitive dans des adultes plus âgés. Les Résultats de
l’enquête de l’anticholinergics apparaissent Le 24 juin 2011 dans une
publication en ligne avancée du Tourillon de la Société Américaine de
Gériatrie.Affect d’Anticholinergics le cerveau en bloquant l’acétylcholine, une
neurotransmetteur de système nerveux. Les produits Délivrés Sans Ordonnance
contenant la diphénhydramine, vendue sous des marques variées telles que
Benadryl-, Dramamine-, Excedrin P.M., Nytol-, Sominex-, Tylenol P.M., et
Unisom-, ont l’activité anticolinergic. D’Autres médicaments anticholinergiques,
tels que Paxil-, Detrol-, Demerol- et Elavil- sont disponibles par ordonnance.
Des nazis à Daesh, 5 drogues de combat / Scopolamine : Le souffle du diable sur
les cartels colombiens
Histoire : La scopolamine est normalement utilisée pour lutter contre la maladie
de Parkinson ainsi que dans le traitement de certaines douleurs digestives et
gynécologiques, en soins palliatifs ou dans la prévention du mal des
transports. Mais une fois modifiée,  elle peut devenir une des drogues les plus
dangereuses du monde. Du temps des Incas, lorsqu’un chef de tribu décédait, on
s’en servait pour tuer toutes ses maîtresses. Durant la Seconde Guerre mondiale,
la scopolamine aurait servi de sérum de vérité. Aujourd’hui, elle est employée
par les cartels colombiens, qui l’appellent Burundanga ou « le souffle du
diable ». Sous l’emprise du Burundanga, les exécutants obéissent aveuglément aux
ordres de leurs chefs. Elle facilite également les vols, puisque les victimes
perdent toute volonté et ne se rappellent pas de l’agression.
La scopolamine
fait partie de la liste des médicaments essentiels de l’Organisation mondiale de
la santé (liste mise à jour en avril 2013)4. La scopolamine est utilisée pour
lutter contre la maladie de Parkinson.
Actuellement, elle est utilisée dans le traitement symptomatique de certaines
douleurs digestives et gynécologiques, en soins palliatifs, ainsi que dans la
prévention du mal des transports, par son action sur l’area postrema
La scopolamine est en général commercialisée sous forme de bromhydrate de
scopolamine.
La scopolamine est un anticholinergique. Elle agit en se liant aux récepteurs
muscariniques de l’acétylcholine dans le système nerveux central et périphérique
empêchant ainsi l’action du neurotransmetteur. C’est un parasympathicolytique,
comme l’atropine, mais en revanche c’est un sédatif central. Elle provoque en
outre d’intenses hallucinations délirantes, de l’amnésie (amnésie lacunaire
antérograde) et des pertes de conscience comme en provoque la consommation de
datura, de jusquiame ou de mandragore. Elle est active à des doses de l’ordre du
dixième de milligramme. À fortes doses, l’intoxication peut être mortelle.
Aux fortes doses, on observe souvent des séquelles psychiatriques plusieurs mois
après l’intoxication. La scopolamine a été testée comme sérum de vérité pendant
la Seconde Guerre mondiale.


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CBD / CANNABIDIOL

Publié le 30 juillet 2016 par drogue88
Cannabis : les études révèlent un risque élevé de psychose et de schizophrénie
Si de plus en plus d’études envisagent désormais le cannabis — et notamment un
de ses composants dérivés le CBD, comme un moyen de soulager stress et douleurs
chroniques, la consommation régulière de ce psychotrope peut avoir des effets
désastreux sur la santé.
 
CBD INFOS
 
Le CBD a les mêmes propriétés sur la sérotonine que les antidépresseurs isrs et
la cocaïne, qui sont des inhibiteurs des enzymes CYP 450 2D6, ce qui implique
qu’il provoque une très très forte dépendance, !!
Contrairement a ce que BIG PHARMA, l’OMS et les médecins nous racontent, en ce
qui concerne les antidépresseurs isrs.
 
« La recherche a révélé que le CBD est un «inhibiteur puissant» de deux enzymes
(CYP3A4 et CYP2D6) qui affectent de nombreux médicaments courants. »
 
Exemples :
« La fluoxétine inhibe le CYP 2D6 et le CYP 3A4, la paroxétine inhibe le CYP
2D6 »
 
Il convient de noter qu’il existe de nombreuses similitudes entre les symptômes
de sevrage des médicaments benzodiazépine et antidépresseurs
Dans une étude portant sur la différence entre le sevrage des ISRS et des
benzodiazépines Nielsen et al (2012) ont conclu que «les symptômes
d’interruption qui ont été décrits pour les benzodiazépines et les ISRS, étaient
très similaires pour 37 des 42 des symptômes identifiés…se référant à ces
réactions, dans le cadreÀ ces réactions dans le cadre d’un syndrome de
dépendance dans le cas des benzodiazépines, mais non sélectif Inhibiteurs de la
recapture de la sérotonine, ne semble pas rationnel . » 20 Les expériences des
organismes de bienfaisance chez les personnes se retirant soit d’un
antidépresseur ou d’une benzodiazépine, soit les deux.Selon Baylissa Frederick,
de Recovery Road: «Il n’y a pas eu de différence notable entre symptômes vécus.
Les deux peuvent être aussi horribles … les deux peuvent être aussi intenses,
aussi longues, et avec  répercussions similaires»
 
Dans cet article publié en 2012 sur PubMed,
Le CBD semble avoir un profil pharmacologique similaire à celle des
antipsychotiques atypiques montré en utilisant des techniques de comportement et
neurochimiques dans les modèles animaux.
 
Neuroleptiques / antipsychotiques
DANGER !!
 
Réalisé aux Pays-Bas,
un examen des recherches existant sur le cannabidiol (CBD) souligne son
efficacité en tant qu’antipsychotique. Il s’avérerait d’ailleurs plus efficace
dans la réduction des épisodes psychotiques que les produits pharmaceutiques
prescrits actuellement avec moins d’effets secondaires.
 
CBD COMME MODULATEUR ALLOSTÉRIQUE
Des scientifiques australiens rapportent que la CBD agit comme un « modulateur
allostérique positif » du récepteur GABA-A. En d’autres termes, le CBD interagit
avec le récepteur GABA-A de manière à renforcer l’affinité de liaison du
récepteur pour son principal agoniste endogène, l’acide gamma-aminobutyrique
(GABA), qui est le principal neurotransmetteur inhibiteur dans le système
nerveux central des mammifères. Les effets sédatifs du Valium et d’autres benzos
sont médiés par la transmission du récepteur GABA. Le CBD réduit l’anxiété en
modifiant la forme du récepteur GABA-A de manière à amplifier l’effet calmant
naturel du GABA.
 
«Sous toutes ses formes, le cannabis fonctionne avec les voies GABA du cerveau
comme le font les benzos…»
« MARIJUANA (CBD, THC, toutes formes – comestibles, huiles, fumage, etc.). Sans
rapport avec des «échecs» ou des «réactions», mais il est important pour ceux
qui prennent encore des benzodiazépines de noter que «le CBD et d’autres
cannabinoïdes végétaux peuvent potentiellement interagir avec de nombreux
produits pharmaceutiques en inhibant l’activité du cytochrome P450 , une famille
d’enzymes hépatiques. Ce groupe d’enzymes clé métabolise la plupart des
médicaments que nous consommons, y compris plus de 60% des médicaments
commercialisés. » «Le récepteur cannabinoïde CB1 est impliqué dans les actions
anxiolytiques, sédatives et amnésiques des benzodiazépines.» « Une exposition
prolongée aux cannabinoïdes altère le GABA (A)Fonction synaptique médiée par les
récepteurs dans les neurones hippocampiques cultivés… Le développement de
médicaments à base de cannabinoïdes avec l’utilisation récréative de la
marijuana rend important d’étudier les adaptations moléculaires subies par le
système endocannabinoïde après une utilisation prolongée et un sevrage.
L’administration répétée de cannabinoïdes entraîne le développement d’une
tolérance et produit des symptômes de sevrage pouvant inclure des convulsions. »
«Le principal endocannabinoïde central agit directement sur les récepteurs GABA
A » «Sous toutes ses formes, le cannabis fonctionne avec les voies GABA du
cerveau comme le font les benzos…» «Malgré les preuves que certains
cannabinoïdes endogènes et synthétiques interagissent avec les récepteurs GABA A
, personne n’a encore étudié les effets du CBD. » »
 
GABA : le neurotransmetteur de la détente et de la relaxation
Le GABA est notre anxiolytique naturel. Fabriqué principalement par les lobes
temporaux situés juste derrière les oreilles, le GABA module le rythme cérébral.
Quand sa production est optimale, nous sommes calmes et détendus. Il induit
également la synthèse d’endorphines, ces molécules responsables d’un état de
bien-être et d’euphorie libérées après un effort physique ou un rapport sexuel.
A l’inverse, des taux trop bas vont conduire à un état d’agitation, des troubles
anxieux, des palpitations ou une augmentation de la tension artérielle.
 
Métabolisation : Cytochrome P450 3A4 et enzymes CYP 3A4
 

Les symptômes de sevrage identiques pour les benzodiazépines et les
antidépresseurs

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Le CBD se trouve au milieu des neuroleptiques, des dépresseurs et des stimulants

Ce stupéfiant n’est pas classé comme stupéfiant

Ce n’est pas un stupéfiant. « Le CBD reste tout de même une substance à effet
psychoactif, qui peut avoir des interactions avec d’autres molécules, notamment
des médicaments »

Pfizer investit 6,7 milliards dans le Cannabis médical : Le laboratoire Pfizer
rejoint Jazz Pharma et le laboratoire Johnson & Johnson dans la course au
Cannabis médical.

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TRAMADOL / NOBLIGAN, TIPAROL, TOPALGIC, TRADOLAN, TRAMAL, ULTRAM, IXPRIM /
OPIOÏDE ET ISRSN (ANTICHOLINERGIQUE)

Publié le 20 août 2015 par drogue88
Le témoignage d’un médecin victime : après un mois et demi de prise continue de
2 comprimés par jour d’Ixprim, j’arrête sur 3 jours
Un syndrome de sevrage monumental. Le vrai syndrome de manque du drogué privé de
son produit. Boule d’angoisse permanente dans l’estomac, 5 nuits totalement
blanches, à sauter de douleur, d’anxiété, d’irritation, de stress, d’envie
impossible de s’endormir et de se calmer. Gêne respiratoire, impression
d’étouffer, une véritable samba dans le lit, sans position calmante ! 10 jours
après, les nuits ne sont pas encore normalisées.
Les opiacés, première cause de mortalité par overdose en France
Les opiacés, ces médicaments qui contiennent des dérivés d’opium, sont
aujourd’hui en France la première cause de morts par overdose. Plus de 500 décès
chaque année, c’est 6 fois plus que l’héroïne et presque que 5 fois plus que la
méthadone.
Le Canada envisage de classer le tramadol en opioïde
Le gouvernement canadien envisage de classer le tramadol en opioïde suite à une
forte hausse de délivrances d’ordonnances de ce puissant analgésique au cours
des dernières années
Tramadol tue plus que la cocaïne et d’héroïne
les analgésiques sur ordonnance tuent plus de personnes que l’héroïne et la
cocaïne. On observe que le Tramadol revendique plus de victimes que tous les
autres médicaments. Les experts suggèrent qu’il devrait être mis à niveau vers
la catégorie de classe A.Tramadol est prise par des milliers de personnes. Il
est encore plus mortel lorsqu’il est mélangé avec de l’alcool.
Tramadol: Les craintes sur l’antidouleur «aussi addictif que l’héroïne»
« Les gens semblent supposer que le tramadol est sûr parce qu’il est prescrit
par les médecins, mais dans mon esprit, il est tout aussi dangereux que
l’héroïne et devrait être reclassé comme un médicament de classe A »,
Pétition retrait du tramadol
Pour l’interdiction du tramadol
Le tramadol (Nobligan, Tiparol, Topalgic, Tradolan, Tramal, Ultram, Ixprim) est
un antalgique central développé par la firme allemande Grünenthal GmbH. On le
classe dans la catégorie des antalgiques de niveau 2, catégorie comprenant la
codéine et le dextropropoxyphène. Il agit sur le même type de récepteur que la
morphine, c’est un agoniste des récepteurs morphiniques. Il a un pouvoir
analgésique légèrement plus fort que la codéine (50 mg de tramadol équivalent à
10 mg de morphine). De plus, contrairement à cette dernière, le tramadol est
disponible sans paracétamol et à des dosages plus élevés que la codéine. C’est
pourquoi on le classe comme antalgique de palier II.b.
Le tramadol est une molécule racémique qui possède deux mécanismes d’action :
évogyre : inhibe la recapture de la noradrénaline (donc les voies descendantes
du contrôle de la douleur) ;
dextrogyre : agoniste µ et inhibe la recapture de la sérotonine (5HT)
Le Tramadol – (Topalgic®)
C’est un analgésique morphinique qui la particularité d’inhiber la recapture de
la sérotonine et de la noradrénaline, ce qui modifie le tableau de
l’intoxication (agitation, confusion, tachycardie, poussées hypertensives,
convulsions).
Après le Mediator et l’Isoméride, le tramadol est l’objet de tous les soupçons
Pire que le Di-Antalvic qu’il est censé remplacer, ce médicament entraîne des
effets secondaires graves et une accoutumance.
Tramadol : un antidouleur aux effets secondaires redoutables
Le Tramadol, un médicament qui remplace le Di-Antalvic, aurait des effets
secondaires importants. Cet antidouleur provoquerait notamment une forte
addiction,
Le Tramadol, remplaçant du Di-Antalvic, sous surveillance
Le Tramadol, remplaçant du Di-Antalvic, inquiète l’Afssaps. Il causerait une
forte dépendance. afp.com/Philippe Merle Les autorités françaises de contrôle du
médicament ont placé le Tramadol sous surveillance. Présente dans une vingtaine
de médicaments, la molécule serait à l’origine d’une très forte dépendance.
LE TRAMADOL EST UNE MOLECULE DANGEREUSEMENT TROP PRESCRITE
je voulais souligner la dangerosité du tramadol, en général et essentiellement
chez les personnes âgées.
Tramadol : un antidouleur aux effets secondaires redoutables
Le Tramadol, un médicament qui remplace le Di-Antalvic, aurait des effets
secondaires importants. Cet antidouleur provoquerait notamment une forte
addiction, révèle ce mercredi Le Parisien.
Codéine et tramadol, l’héroïne de M. et Mme Tout le Monde
Nous avons ainsi voulu parler aujourd’hui de deux médicaments opiacés, la
codéine (neo-codion, dafalgan et efferalgan codeiné, Tussipax, padéryl, etc) et
le tramadol (Ixprim, Zumalgic, topalgic, contramal, zaldiar, etc). Ils ne font
pas de bruit, mais de plus en plus de personnes parlentt de leurs difficultés
avec ces substances sur  le forum Psychoactif (forum vendu aux médecins et aux
labos !) d’où nous avons extrait les témoignages ci-dessous. Ces opioïdes,
analgésiques de niveau II, sont d’accès facile, en vente libre pour la codéine
et prescrit facilement par les médecins pour le tramadol (comme pour les règles
douloureuses ou les douleurs dorsales par exemple).
Tramadol, les ravages de la «cocaïne du pauvre»
A Ouagadougou, de plus en plus de travailleurs pauvres consomment ce puissant
antalgique pour affronter les longues journées et la chaleur étouffante.
Tramadol, médicament et drogue du pauvre en Afrique de l’Ouest et au Sahel
Tramadol en Afrique de l’Ouest ces dernières années[4]. Entre février et
octobre 2012, 24 conteneurs transportant près de 130 tonnes de ce produit ont
été interceptés au Bénin, au Ghana, au Sénégal et au Togo. Deux ans plus tard,
en 2014, les services mixtes de contrôle portuaire de Cotonou (Bénin) et Tema
(Ghana) saisissaient plus de 43,5 tonnes. Ces saisies, si elles se concentrent
dans les ports du golfe de Guinée, sont loin de s’y limiter. En janvier 2016, la
police nigérienne découvrait 7 millions de comprimés[5], une prise record dans
un pays considéré comme la principale destination des comprimés déchargés au
Bénin ou au Ghana mais où les saisies sont généralement de faible ampleur.
TRAMADOL: Médicament… qui rend drogué !
un peu plus fort que la codéine (50mg de Tramadol correspond à 10 mg de
morphine).
Les utilisateurs réguliers souffrent de dépression, de fatigue, ou encore de
problèmes rénaux ou intestinaux. En somme, le médicament miracle a tout l’air
d’être un poison.
Crise d’épilepsie et de convulsions
La tramadol abaisse le seuil de la crise d’épilepsie. ..faut faire vraiment
gaffe avec le tramadol!
Le syndrome sérotoninergique secondaire à l’association du tramadol et des
inhibiteurs sélectifs du recaptage de la sérotonine
L’effet analgésique du tramadol s’expliquerait aussi par un deuxième mécanisme
d’action : il inhiberait le recaptage de la sérotonine et de la noradrénaline;
Cela entraînerait donc l’activation des voies centrales inhibitrices de la
douleur dans la moelle épinière; C’est aussi par ce mécanisme que le tramadol
interagirait avec les antidépresseurs et accroîtrait le risque de syndrome
sérotoninergique
il y a eu en 2016 62 500 Américains morts d’overdose d’opiacés de synthèse, ou
opioïdes.
En deux ans – c’est à dire de 2014 à 2016, le nombre de mort a doublé, passant
donc de 33 000 à 62 500. Et cette tendance ne semble pas faiblir en 2017.
Tramadol
en plus de la dépendance classique clairement identifiée aux composés
morphiniques, viennent s’ajouter des phénomènes de sevrage identiques à ceux
rencontrés lorsque les patients doivent arrêter les antidépresseurs de type ISRS
ou IRSNa.



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TRAMADOL = EFFEXOR


TRAMADOL = OPIOIDE ISRSN (inibiteur de recapture de sérotonine et noradrénaline)

 

Le tramadol sur ordonnances prend la vie plus que tout autres drogues







sevrage


« Le médecin m’a assuré que le tramadol n’est pas addictif et qu’il n’y a avait
aucun risque de dépendance, alors, j’ai commencé a le prendre. »



Si on vous prescrit du tramadol : REFUSER DE LE PRENDRE !!!



Togo : la folie du Tramadol

https://www.youtube.com/watch?v=aNalOekmdV4



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KÉTAMINE

Publié le 20 août 2015 par drogue88
De la Kétamine new age pour les dépressifs !
effets secondaires hyper fréquents et parfois très graves, cardiaques,
neuropsychiques, hallucinations, délires, comas ou même suicides et meurtres, et
souvent accoutumance et addiction, et tous, la Kétamine plus encore que les
autres, avec le risque grave d’être utilisés comme des drogues par détournement
des indications et des doses.
Kétamine / Esketamine, corruption et extrême danger : chronique d’une
catastrophe assurée.
« tranquillisant pour chevaux, il est également utilisé comme anesthésique dans
les hôpitaux. »
« Les effets secondaires potentiels, notamment les hallucinations, les vertiges,
l’anxiété, la psychose et les augmentations de pression artérielle, signifient
que le médicament ne peut être administré au patient que sous surveillance dans
une clinique – et y être gardé pendant deux heures après chaque dose
hebdomadaire, tout en étant surveillé par du personnel formé pour traiter les
problèmes hallucinatoires, cardiaques et respiratoires. »
« Au cours de plusieurs années d’essais parrainés par Janssen, six personnes
sous Esketamine sont décédées, contre aucune sur placebos. Trois morts étaient
des suicides.
La Food and Drug Administration (FDA), l’autorité américaine qui délivre les
licences de médicaments, a déclaré qu’il était difficile de considérer les décès
comme liés à la drogue. Cependant, le professeur Schatzberg affirme que les
décès ressemblent à la façon dont les toxicomanes se suicident lors du sevrage
des opioïdes. Deux suicides s’étaient produits dans les trois semaines suivant
l’arrêt du traitement.
«Pour moi, ces décès sont liés à l’abandon de la drogue», explique le professeur
Schatzberg. »
« Lorsque l’équipe du professeur Schatzberg a introduit un médicament bloquant
le fonctionnement de ces récepteurs opioïdes, les effets de la kétamine ont
cessé. Cela suggère un risque élevé de devenir dépendant de médicaments à base
de kétamine et de souffrir ensuite de douleurs de sevrage. »
Le terme scientifique pour une drogue est « un psychotrope ». L’effet d’un
psychotrope est d’agir sur le fonctionnement du cerveau.
La kétamine fait cesser l’activité des neurones qui amènent aux cerveau les
informations de l’extérieur. On ne voit plus rien, on n’entend plus rien, on ne
sent plus rien, mais on reste éveillé. Alors le cerveau se met à générer
lui-même des images, des sons, des sensations. On peut « voir » n’importe quoi :
des personnes qu’on a connues, des paysages, Dieu…
10 dangers de la kétamine
prenez en conscience !
Alerte à la kétamine mortelle
Très prisée des toxicomanes, la kétamine, souvent utilisée dans les rave-party,
est particulièrement dangereuse, voire mortelle.
Drogue et psychiatrie : prescrire la kétamine comme un antidépresseur
majeur.(2017)
« Avant que la kétamine puisse être recommandée en pratique clinique contre la
dépression, une recherche approfondie est nécessaire pour comprendre comment
utiliser de manière optimale », a-t-il déclaré.
Remède de cheval pour amateurs d’émotions. La kétamine, anesthésique utilisé par
les vétérinaires
Commercialisée depuis plus de vingt-cinq ans sous forme d’ampoule de kétalar, la
kétamine est un agent anesthésique très utilisé dans les services médicaux et
vétérinaires. Administrée par voie intraveineuse ­ elle n’a alors aucun effet
toxique ­ elle endort un cheval, permet à un anesthésiste de changer les
pansements d’un grand brûlé, vient au secours des médecins d’ONG qui opèrent en
Afrique sans chirurgie lourde. Effets secondaires: des effets hallucinogènes et
des visions au réveil.
Un pharmacien vendait des remèdes pour les chevaux
Il vendait de la kétamine, un anesthésiant pour animaux, à des clients qui
l’utilisaient pour ses effets hallucinogènes. Un pharmacien parisien de 58 ans a
été condamné hier par la 31e chambre du tribunal correctionnel de Paris à payer
une amende de 4000 € pour vente de produits vétérinaires détournés de leur usage
Prévention drogues
La kétamine est un produit anesthésiant humain et vétérinaire (anesthésiant pour
chevaux …) proche du PCP (attention le PCP est plus dangereux !)
Kétamine
Anesthésique général non barbiturique d’action rapide
La kétamine est utilisée dans la prise en charge d’anesthésies générales.

La kétamine pourrait soigner les migraines chroniques incurables
Déjà étudiée pour ses potentiels bienfaits contre la dépression ou la dépendance
à l’alcool, la kétamine pourrait aussi permettre de soigner les migraines
incurables.







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LES THYMORÉGULATEURS, RÉGULATEURS D’HUMEUR, LITHIUM… (ANTICHOLINERGIQUES)

Publié le 20 août 2015 par drogue88
stabilisateurs de l’humeur: Lithium, Lamictal, Equetro et Depakote
Le lithium est le plus ancien et donc plus étudié. Il provoque la mémoire
permanente et la dysfonction mentale, y compris la dépression, et une baisse
globale de la fonction neurologique et la qualité de vie. Il peut en résulter
dilapidation neurologique sévère de démence, un effet indésirable désastreuse
appelé «syndrome de neurotoxicité irréversible de lithium-effectuated » ou
SILENT. L’exposition de lithium à long terme provoque également des troubles
cutanés graves, l’insuffisance rénale et l’hypothyroïdie. Retrait de lithium
peut causer des épisodes maniaco-comme et la psychose. Il est prouvé que
Depakote peut provoquer une croissance cellulaire anormale dans le cerveau.
Lamictal a de nombreux dangers, y compris les maladies mortelles impliquant la
peau et d’autres organes. EQUETRO cas de troubles de la vie en danger peau et
supprime la production de globules blancs avec le risque de décès par
infections. Retrait de Depakote, Lamictal et Equetro peut provoquer des
convulsions et la détresse émotionnelle

lithium
Le lithium « est un métal toxique avec aucune fonction connue dans le corps ….
elle interfère avec la transmission nerveuse, en général, ce qui ralentit les
réponses au cerveau. » « Conformément à ses effets toxiques sur le système
nerveux, le lithium provoque un tremblement de 30-50 pour cent des patients.
Tremblements peuvent être un signe d’avertissement de toxicité grave imminente
du cerveau, en particulier si elle se produit avec d’autres signaux de danger,
comme la mémoire dysfonctionnement, concentration réduite, ralentissement de la
pensée, confusion, désorientation, difficulté à marcher, troubles de
l’élocution, une vision floue, des bourdonnements dans les oreilles, des
nausées, des vomissements et des maux de tête. Douleurs musculaires et des tics,
faiblesse, léthargie et la soif sont d’autres signes communs de toxicité du
lithium. Dans les derniers stades de la toxicité du lithium, le patient peut
devenir délirant et succomber convulsions et un coma études EEG indiquent un
ralentissement anormal des ondes cérébrales dans une partie importante de
patients régulièrement traités par lithium;.. l’état s’aggrave avec une toxicité
«  (Pour une information complète voir le texte médical du Dr Breggin Brain
désactivation traitements en psychiatrie Second Edition .)
Lithium : Les intoxications aiguës, erreur de prise ou intoxication volontaire
le plus souvent, peuvent entraîner le décès par défaillance cardiovasculaire et
des complications neurotoxiques pouvant donner des séquelles irréversibles
(démences, neuropathies diverses).
Les intoxications chroniques, observées lors de traitements mal contrôlés ou
d’affections intercurrentes entraînant une diminution de son éli mination
rénale, entrainent des troubles gastro-intestinaux à type d’anorexie ou de
troubles du transit, des troubles neurologiques avec des symptômes évoquant la
maladie de Parkinson et p arfois des convulsions et un coma, des troubles
cardiovasculaires tels que des myocardites ou des troubles du rythme, des
troubles rénaux avec une insuffisance rénale, au niveau endo crinien on décrit
des troubles affectant la thyroïde, la régulation calcique et la glycémie, su r
le plan hématologique on peut observer des leucocytoses et même des anémiques
aplasiques, enfi n sur le plan cutané on peut observer des psoriasis, de l’acné,
ou des angio- oedèmes.
LE LITHIUM
On dit que le Lithium peut aider les gens dont l’humeur change périodiquement de
très joyeuse à très mauvaise. Les psychiatres appellent cela le trouble
maniaco-dépressif  ou maladie bipolaire. Le lithium fut décrit pour la première
fois comme un médicament psychiatrique en 1949 par le psychiatre Australien,
John Cade. Selon un traité de psychiatrie:  “Pendant qu’il faisait des
expériences sur les animaux, Cade remarqua, presque par hasard, que le lithium
rendait les animaux léthargiques, ce qui lui donna l’idée d’administrer cette
substance à plusieurs patients psychiatriques agités. ” Selon ce traité: “ce fut
un moment clé dans l’histoire de la psychopharmacologie” (Harold I. Kaplan, M.D.
& Benjamin J. Sadock, M.D., Clinical Psychiatry (Psychiatrie Clinique), Williams
& Wilkins, 1988, p. 342).  Mais si vous ne voulez pas être léthargique, prendre
du lithium serait d’un avantage douteux.  Un supporter du lithium comme thérapie
psychiatrique admet que le lithium cause : “un sentiment plutôt dépressif ,
généralement léthargique”. Il appelle ça, “la léthargie standard” causée par le
lithium. (Roger Williams, « A Hasty Decision? Coping in the Aftermath of a
Manic-Depressive Episode », American Health magazine, Octobre 1991, p. 20). De
la même manière, un membre de ma famille fut diagnostiqué comme
maniaco-dépressif  et on lui donna une ordonnance pour du carbonate de lithium..
Il me confia, des années plus tard, “Le lithium me protégeait de mes hauts mais
pas de mes bas. ” Cela, ne doit pas être une surprise qu’un médicament induisant
la léthargie ait cet effet. Aussi surprenant que cela puisse paraître, les
psychiatres affirment quelques fois que le lithium  enlève les sentiments de
dépression., comme si s’était possible, qu’un médicament induisant la léthargie
comme le lithium (ainsi que la plupart des médicaments psychiatriques)
n’augmente pas les sentiments de dépression et de malheur – même si on leurs
donnent le nom d’antidépresseurs.
Dans le cas du trouble bipolaire
les biomyths centrent sur des idées de stabilisation de l’humeur. Mais il n’y a
aucune preuve que les médicaments stabilisent l’humeurs. En fait, il est même
pas clair que cela fait sens de parler d’un centre de l’humeur dans le cerveau.
Un autre morceau de la mythologie qui vise à garder les gens sur les médicaments
est que ceux-ci sont censés être neuroprotecteur-mais il n’y a aucune preuve que
cela est le cas et, en fait, ces médicaments peuvent entraîner des dommages au
cerveau.
sel de lithium
« Le mot lithium dérive du terme grec lithos, qui signifie pierre, parce que le
lithium provient d’un minerai. C’est un élément chimique proche du sodium et du
potassium. Il est largement répandu dans la nature, il est extrait des mines de
la Caroline du Nord. L’organisme humain contient des quantités infimes de
lithium. Il est prescrit en thérapeutique sous forme de sels (carbonate, sulfate
ou acétate de lithium), essentiellement pour la prévention des rechutes des
troubles de l’humeur (action thymorégulatrice, du grec thumos, humeur).
En France, ils sont commercialisés sous deux formes (orales) incluant le
carbonate de lithium, comprimés dosés à 250 mg et à 400 mg à libération
prolongée et le gluconate de lithium en ampoules buvables de 5 à 10 mL »
Les réactions de sevrage du lithium et des anticonvulsivants 
Le sevrage du lithium soulève l’épineuse question de confondre les difficultés
de sevrage avec la rechute. En fait, les réactions de sevrage au lithium imitent
les mêmes symptômes maniaques qui ont mené au traitement au lithium. Les
médecins prescrivent le lithium
essentiellement  pour traiter les manies; souvent, les problèmes de manies
suivent le sevrage de lithium. Comment le médecin ou le patient peut-il savoir
s’il s’agit de sevrage ou d’un retour au problème psychiatrique original?
          
Certains médecins refusent de voir un syndrome spécifique de sevrage du lithium.
D’autres suggèrent qu’un syndrome de sevrage véritable du lithium ne peut pas
seulement ressembler à de la manie mais que les « tremblements, les
étourdissements et quelques fois les crises épileptiques » devraient aussi être
observés. Nous croyons toutefois que ces
opinions-ci ne sont que d’autres occasions où les médecins ont, sans plus
penser, attribué des réactions de perturbations après un sevrage de la drogue à
la «maladie sous-jacente» du patient plutôt qu’au traitement pharmacologique
comme tel.           
Le retour rapide de la phase maniaque peut se produire même parmi les patients
qui ont pris du lithium pendant des années, sont apparemment «bien stabilisés»
et sont sevrés depuis seulement quatre ou cinq jours. Dans une étude, on a
substitué la dose de 21 patients précédemment en phase maniaque par des
placebos. Ils avaient pris du lithium de façon
continue en moyenne pendant environ quatre ans. Les auteurs écrivent: « En 14
jours de placebos, 11 patients ont rechuté dans un état grave de psychose avec
syndromes paranoïde, maniaque et dépressif…La plupart des autres patients qui
n’avaient pas rechuté rapportèrent de l’anxiété, de la nervosité, de
l’irritabilité et un éveil accru et des troubles du
sommeil.»            
Une recension des écrits a systématiquement examiné quatorze études publiées de
sevrage du lithium impliquant 257 patients  «maniaco-dépressifs» avec en moyenne
30 mois de traitement stable de  lithium. Des nouveaux épisodes maniaques, plus
de 50 % se sont produits  dans les trois mois de sevrage. On a aussi observé une
augmentation dramatique par 28 du risque de nouveaux épisodes maniaques pour les
patients récemment sevrés du lithium. Une autre recension d’études, publiées ou
inédites, sur le sevrage du lithium arrivèrent à des conclusions semblables. Ces
preuves amenèrent un médecin à déclarer candidement: « De francs symptômes
maniaques sont les caractéristiques qui définissent les effets significatifs du
sevrage et apparaissent être comparables dans leur gravité à ceux qui se
manifestent généralement dans les maladies de manies et requièrent généralement
une hospitalisation.»            
Une augmentation de l’énergie et de l’éveil, une réaction émotionnelle accrue,
une concentration plus vive et une baisse de la soif sont souvent rapportées
même chez les patients qui n’éprouvent pas de manie pendant leur sevrage.
           
Un éditorial du British Journal of Psychiatry soutient ouvertement que lorsque
des patients prennent du lithium pendant moins de deux ans, il est très fréquent
qu’ils traversent des
épisodes maniaques peu de temps après le sevrage. L’auteur, un psychiatre, croit
qu’il s’agit  de véritables effets de sevrage et recommande d’informer les
patients du danger avant qu’ils
décident de se soumettre à un traitement au lithium. Néanmoins, le même
psychiatre maintient que de prendre du lithium pendant plus de dix ans ne
comporte pas ce risque de sevrage. Cette conclusion contredit l’expérience
clinique bien acceptée qui indique que plus longtemps la drogue est prise, plus
grand est le risque de réactions de sevrage.            
Les psychiatres ont commencé tardivement à réaliser que la récurrence rapide de
manies après le sevrage de lithium est un véritable effet de sevrage. Toutefois,
il n’y a aucun doute que plusieurs médecins continuent d’attribuer la manie
provoquée par le sevrage à la « maladie chronique » de leurs patients. Ces
médecins persistent ensuite à exposer leurs patients au lithium malgré ses
effets néfastes à long terme.            
LeTegretol (carbamazépine) est un anticonvulsant largement utilisé pour traiter
plusieurs problèmes, y compris la manie. Au moment du sevrage, le Tegretol peut
provoquer des explosions de colère – dont la paranoïa, l’hostilité et
l’agitation – chez les personnes qui étaient déjà perturbées. Ces réactions de
sevrage peuvent aussi se produire chez des
individus qui sont stables mentalement, comme dans un cas documenté impliquant
un patient traité pour un trouble physique. D’autres anticonvulsants ou
anti-épileptiques, comme le Depakene (acide valproïque), le Depakote (divalproex
sodium), et le Dilantin
(phenytoin), sont aussi largement prescrits en psychiatrie. Le risque de crises
doit être considéré lors d’un sevrage de n’importe quel anticonvulsant, qu’il y
ait présence ou non de convulsions précédemment. D’autres symptômes communs de
sevrage d’anticonvulsants peuvent aussi inclure l’anxiété, les contractions
musculaires, les tremblements, la faiblesse, la nausée et les vomissements.
Le lithium possède un effet antithyroïdien qui est désormais bien documenté.
Cependant les mécanismes en cause sont complexes et encore hypothétiques. Il
semblerait que le lithium concentré dans la thyroïde diminuerait l’absorption
d’iode nécessaire à la formation de la T3 et T4. Il en résulte bien souvent une
hypothyroïdie infraclinique (TSH normale et souvent dans la fourchette, T4
basse) et parfois une véritable hypothyroïdie.
Le lithium est le thymorégulateur (avec le valproate de sodium) qui induit le
plus de tremblements (30). La prévalence varie entre 4 % et 65 % 4 et est dose
dépendante 4.1. Ce sont classiquement des tremblements d’attitude 4.2 mais qui
peuvent également survenir au repos. Rappelons que la majoration d’un
tremblement est l’un des signes les plus précoces en cas de surdosage et un
dosage en urgence sera pratiqué au moindre doute.
Lithum et autres régulateurs d’humeur : Lithium (1949)
Réputation de n’avoir aucun effet sur les facultés mentales ni sur les facultés
affectives ni sur le commportement, n’enlevant que les symptomes indésirables
(1970).
Aucune étude globale sur des primates n’a été faite avant la commercialisation
en masse, probablement dû au fait que les études sur les animaux produisent des
résultats très négatifs.
Symptômes de sevrage
Peut produire des épisodes maniaques.
Démence induite et autres détériorations neurologiques graves.
Cas de dialyse antitoxique du lithium: peuvent tomber en démence.
Séquelles persistantes chez 30% des patients examinés.
stabilisateur de l’humeur : Utilisés pour soigner le trouble bipolaire2, les
stabilisateurs de l’humeur peuvent également être utilisés chez les patients
souffrant de manie, d’hypomanie et de dépression. Plusieurs des médicaments
anticonvulsivants, utilisés pour contrôler l’épilepsie, sont aussi efficaces
dans le traitement de la manie et de la bipolarité. Chez certains patients, un
stabilisateur de l’humeur ne sera pas suffisant et devra être combiné avec
d’autres médicaments1. les thymorégulateurs sont également utilisés pour traiter
le trouble de la personnalité borderline3 et la schizophrénie dysthymique.
Plusieurs stabilisateurs de l’humeur ont des effets secondaires tels que la
soif, la prise de poids, la somnolence, des nausées et des problèmes variables
de concentration. Des tremblements, des étourdissements, un déséquilibre
intestinal et des rougeurs (irruption cutanée) peuvent aussi se manifester. La
majorité de ces effets secondaires s’amenuisent avec le temps1.
Les principaux thymorégulateurs possédant une autorisation de mise sur le marché
en France dans cette indication sont les sels de lithium, la carbamazépine et
l’acide valproïque. Dans d’autres pays, d’autres molécules ont reçu
l’autorisation de mise sur le marché dans cette indication : la lamotrigine aux
États-Unis.
Lamictal :
tératogène, risque de fractures, méningites, risque de suicide…
AVIMEDI
empoisonnement médicamenteux, syndrome de stevens johnson, syndrome de lyell
souvent mortel.
LAMOTRIGINE : LAMICTAL
Le risque de syndrome de Stevens-Johnson ou de syndrome de lyell serait de 1
pour mille chez l’adulte et passerait à 1 pour 50 ou 100 chez l’enfant (moins de
16 ans).
Les réactions de sevrage au lithium et des anticonvulsivants
Le sevrage du lithium soulève l’épineuse question de confondre les difficultés
de sevrage avec la rechute. En fait, les réactions de sevrage au lithium imitent
les mêmes symptômes maniaques qui ont mené au traitement au lithium
professeur david Healy :  sous l’emprise du médicament
« De fortes preuves démontrent que ces médicaments mettent en danger la santé et
la vie des adultes qui les prennent »
LES MÉDICAMENTS PSYCHIATRIQUES: traitement ou charlatanisme ?
Les médicaments psychiatriques ne valent rien, et la plupart sont dangereux.
Plusieurs causent des dommages permanents au cerveau, aux doses habituellement
utilisées. Ces médicaments ainsi que la profession qui défend leur utilisation
sont dangereux pour votre santé.
Les raisons de ne pas croire au lithium
En 1957 un pharmacologue a déploré le mode de traitement « par empoisonnement de
lithium »
Lithium et suicide : que montre la preuve ?
Donc, il y a la preuve sur le lithium et le suicide
association d’Aide aux Parents d’Enfants souffrant du Syndrome de
l’Anti-Convulsivant

S’assurer que les femmes prenant du Valproate de sodium(dépakine,
dépakote…) (1000mg et plus) soient conscientes qu’elles ont environ 30% de
chance d’avoir un enfant ayant un handicap.
Anticholinergique : le lithium
Anticholinergique faible
.
« Si vous restez sur le lithium pour votre vie, comme votre médecin vous le dit,
vous avez un risque très élevé de graves troubles mentaux »
(Vous pouvez afficher les sous-titres en français. Appuyez sur lecture, cliquez
sur afficher les sous titres. Une fois les sous titres affichés (en anglais), il
faut aller dans l’autre commande (a coté de sous titre), Puis, cliquer sur sous
titre, puis sur traduire automatiquement, puis en français.)



Le lithium tue (après la 25 ème minute) : il est si toxique, que quand il a été
utilisé, sous forme de sel, dans les shakers, il a tué des gens.




« les régulateurs d’humeur sont bien plus dangereux que les antidépresseurs »

 





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LES BÊTABLOQUANTS ET ANTIHYPERTENSEURS (ANTICHOLINERGIQUES)

Publié le 9 mars 2011 par drogue88
Contrairement aux affirmations des médecins, et des gouvernements les
bêta-bloquants et antihypertenseurs, provoquent une dépendance (même si celle ci
est moins forte que les benzodiazépines) et des symptômes de sevrage chez une
large majorité de victimes.

bêtabloquants
les dangers de la toxicomanie aux bêtabloquants et antihypertenseurs
Les médicaments bêta-bloquant sont maintenant considéré comme dangereux pour la
santé publique
De nouvelles preuves montrant que les médicaments bêta-bloquants augmentent le
risque des patients d’AVC, de crises cardiaques et le diabète a conduit à 2
millions de Britanniques être retiré de la drogue pour la pression artérielle.
Les bêta-bloquants ne doivent pas être utilisés pour traiter l’hypertension
artérielle, sauf dans quelques cas particuliers.
Ils recommandent que les bêta-bloquants ne devraient plus être utilisés
couramment,
il existe un risque de syndrome de sevrage à l’arrêt d’un traitement chronique
par ß-bloquants caractérisé par une augmentation de la fréquence cardiaque, de
la pression artérielle et un risque d’arythmie ou d’ischémie myocardique. Ceci
est lié à un effet des ß-bloquants sur la densité des récepteurs ß-adrénergiques
postsynaptiques, qui conduit à un état d’hypersensibilité de ces récepteurs,
avec une réponse hyperadrénergique au stress en cas de retrait brutal du
médicament
Quels sont les symptômes et les effets du sevrage des bêta-bloquant ? :
Les tremblements fréquents qui peuvent être graves sont l’un des symptômes les
plus courants du sevrage des bêta-bloquants.
Les réactions au sevrage des anticholinergiques, l’exemple des antiparkinsoniens
Ces produits sont aussi décrits comme « anticholinergiques » à cause de leur
action chimique de suppression de l’activité cholinergique du cerveau.
L’hypersensibilité cholinergique provoque une large partie des effets de sevrage
des médications antiparkinsoniennes qui ressemblent aux tricycliques et aux
neuroleptiques et peuvent être également complexes et variées. Plusieurs études
ont démontré des symptômes semblables à la grippe, comme la nausée, les
vomissements, les frissons, la faiblesse et les maux de tête de même que
l’insomnie et la nervosité qui se produisent lors de la période de sevrage.
syndrome prolongé de sevrage aux antihypertenseurs et bêta-bloquants
Le sevrage brutal ou la diminution trop rapide d’un grand nombre, mais pas tous,
des médicaments antihypertenseurs peuvent généralement entraîner des symptômes
de l’hyperactivité et de régulation à la hausse aiguë des récepteurs
adrénergiques bêta du système nerveux sympathique similaires à celles des
médicaments psychotropes puissants, provoquant l’hypertension de rebond pire que
l’hypertension il est le traitement, les attaques de panique, l’anxiété, la
dépression et d’idées suicidaires.
Il existe de nombreuses raisons pour tenter de retirer un médicament
antihypertenseur.
le Le plus évident est quand un médicament nouvellement introduit cause un effet
secondaire, lorsque le médicament est simplement arrêté. Une autre raison est le
développement de symptômes hypotensifs en raison des effets des drogues
Donné pour d’autres conditions co-morbides (telles que les préparations de
L-Dopa pour la maladie de Parkinson), ou
Les effets d’autres conditions (comme le développement de l’hypotension
orthostatique en
La maladie de Parkinson, ou l’abaissement de la tension artérielle et
l’instabilité autonome associée
Avec le début de la démence [ 1] ). Une autre justification potentielle pour
retirer l’antihypertenseur
Les symptômes et les effets suivants du retrait des bêta-bloquants sont souvent
ressentis par les patients:
Les tremblements fréquents qui peuvent être graves sont l’un des symptômes les
plus courants du retrait des bêta-bloquants.
Lorsque le bloqueur bêta est arrêté brusquement, les problèmes de fonctionnement
cardiaque, pour lesquels le médicament a été prescrit, peuvent se reproduire.
Ceci est un effet commun du retrait du bloqueur bêta. Cela peut encore provoquer
une hypertension artérielle, une angine ou une douleur thoracique et augmenter
le risque d’insuffisance cardiaque et de crise cardiaque
Comme effet du retrait du bloqueur bêta, le flux sanguin vers le cœur augmente
et peut provoquer une transpiration accrue.
De même, l’ essoufflement fréquent, même sans mettre autant d’effort physique,
est également un autre symptôme fréquemment rencontré du retrait des
bêta-bloquants.
Les maux de tête fréquents et la migraine sont l’un des effets courants du
retrait des bêta-bloquants.
Les crampes et les douleurs dans différentes parties du corps, même si elles
sont actives, sont également un effet très fréquent du retrait des
bêta-bloquants.
Un autre symptôme généralement expérimenté du retrait des bêta-bloquants se
révèle fragile et même évanoui.
Le rythme cardiaque irrégulier, connu sous le nom d’arythmie, peut également
résulter du retrait du bloqueur bêta.
D’autres symptômes communs du retrait des bêta-bloquants incluent le gain de
poids, les pieds froids et la fatigue.
Certains des symptômes moins fréquents du retrait des bêta-bloquants, qui sont
plus importants chez les patients atteints d’un système immunitaire plus faible
comprennent :
Dépression et stress
L’insomnie et les problèmes de sommeil
Outre les signes ci-dessus, les effets du retrait du bloqueur bêta peuvent
également être liés à l’ hyperthyroïdie . L’hyperthyroïdie présente des
symptômes tels que des tremblements , une anxiété accrue et une fréquence
cardiaque. Comme ces symptômes sont semblables aux symptômes du retrait du
bêta-bloquant, il peut être difficile de différencier les deux. Cela peut rendre
difficile le diagnostic de l’état et il existe des risques de retard dans le
traitement, ce qui peut affecter gravement la santé.
Les effets du retrait des bêta-bloquants sont également ressentis sur les
triglycérides et le taux de cholestérol. Le retrait soudain du bloqueur bêta
peut réduire le bon cholestérol et augmenter le mauvais cholestérol, ce qui peut
affecter la santé dans une grande mesure.
L’utilisation de bêta-bloquants sur une période prolongée réduit la fréquence
cardiaque et elle semble fonctionner normalement. En cas de retrait soudain du
bêta-bloquant, l’adrénaline dans votre corps peut devenir plus sensible, ce qui
peut augmenter soudainement la fréquence cardiaque. Cela met l’excès de tension
sur le cœur, ce qui peut augmenter le risque de crise cardiaque.
Le blocage de l’artère coronaire est assez fréquent et peut souvent provoquer
une angine ou une douleur thoracique. Comme effet du retrait des bêta-bloquants,
il existe de plus grandes chances de douleurs thoraciques et aussi de crises
cardiaques ou d’infarctus du myocarde.
Les bêta-bloquants sont utilisés pour traiter l’hypertension ou l’hypertension.
Si les bêta-bloquants sont soudainement arrêtés, la pression artérielle peut
recommencer à augmenter. En outre, les effets du retrait du bloqueur bêta
peuvent provoquer une anxiété et un stress accrus, qui peuvent présenter des
symptômes comme la palpitations et la transpiration excessive.
L’arrêt soudain des bêta-bloquants peut causer de nombreux symptômes
indésirables et nécessite souvent une surveillance. Les symptômes et les effets
du retrait des bêta-bloquants sont surtout perceptibles, mais parfois peuvent
être confondus avec les symptômes d’autres troubles. Par conséquent, il est
nécessaire que les bêta-bloquants, si nécessaire pour arrêter, doivent être
effectués de manière appropriée et uniquement avec des conseils médicaux. Les
médecins conseillent habituellement une diminution de dose, ce qui aide à
réduire progressivement la dose et surveille également les paramètres de santé
spécifiques. Cela permet au corps de s’adapter lentement à des doses réduites,
réduisant ainsi le risque de symptômes indésirables et les effets du retrait des
bêta-bloquants.
syndrome de sevrage aux bêta-bloquants
Si on utilise un bêtabloquant pendant un certain temps, son corps peut devenir
dépendant de la drogue. Les symptômes de sevrage des bêta-bloquants découlent de
la dépendance à l’égard de l’organisme sur le médicament.
La meilleure façon de prévenir les symptômes de sevrage aux bêta bloquants est
de réduire la dose graduellement.
étude : utilisation des bêta-bloquants
les bêta-bloquants, lorsqu’ils sont utilisés sur une base régulière, peut
entraîner une dépendance physique.
Liste des symptômes de sevrage aux bêta-bloquants
L’un des premiers signes éprouve des palpitations cardiaques, accompagnées
d’essoufflement, sueurs abondantes et une respiration sifflante. Violents maux
de tête, douleurs corporelles, vomissements nausées induites et des crampes
abdominales intenses peuvent aussi être remarqués chez les individus qui se
retirent de ce médicament à la fois.
Tremblements corporelles peuvent également être observés chez ces personnes.
Tremblements dans les mains peuvent être assez visibles et la personne est
incapable d’organiser quoi que ce soit régulièrement.
Brusque qui découlent de la drogue peut augmenter la sensibilité à l’égard
d’adrénaline. Cela peut accroître les risques d’hypertension artérielle, qui à
son tour donne naissance à rythme cardiaque irrégulier.Une fréquence cardiaque
élevée peut exercer une pression sur le muscle cardiaque et augmenter la
pression sur l’artère coronaire. S’il y a un blocage dans l’artère, puis elle
peut aussi conduire à du surmenage des muscles du coeur. Tous ces facteurs
peuvent augmenter le risque d’une crise cardiaque ou infarctus du myocarde, qui
est un résultat des muscles cardiaques endommagés.
Les patients hypertendus qui se retirent de cette drogue de prescription soudain
peuvent éprouver malaise, une augmentation soudaine et forte pression
artérielle, tachycardie sinusale, qui est un rythme cardiaque rapide et
irrégulier, originaires du nœud du cœur et des palpitations, etc..
Il y a des chances d’un patient, développement de l’hyperthyroïdie, due à la
sécrétion des hormones thyroïdiennes, qui peut entraîner une crise
thyréotoxique. Cette condition peut devenir mortellement exacerbée, si le
diagnostic n’est pas rapide et médicaments pour normaliser l’État ne sont pas
administrés.
Patients souffrant de maladies cardiovasculaires peuvent remarquer leur
condition aggravation si elles prennent des bêta-bloquants de manière aveugle.
Les symptômes de l’angine de poitrine peuvent devenir intenses et se retrouvent
dans l’accident vasculaire cérébral, qui peut s’avérer fatale.
antihypertenseurs
l’arrêt brutal peut entraîner un syndôme de sevrage
Les différents médicaments antihypertenseurs
Il existe sept types de médicaments antihypertenseurs. Le point sur les
traitements de l’hypertension.
Liste des médicaments diurétiques : Aldactone, Esidrex, Eurelix, Fludex,
Furosémide Génériques, Indapamide Génériques, Lasilix, Modamide, Spiroctan,
Spironolactone Génériques, Spironone, Tenstaten
Liste des médicaments diurétiques en association : Aldactazine, Amiloride,
Hydrochlorothiazide Génériques, Isobar, Modurétic, Prestole, Spiroctazine,
Spironolactone Altizide
Liste des médicaments bêtabloquants : Acébutolol Génériques, Artex, Aténolol
Génériques, Avlocardyl, Betatop, Bisoprolol Génériques, Célectol, Céliprolol
Génériques, Corgard, Detensiel, Kerlone, Lopressor, Métoprolol Génériques,
Mikelan, Nebilox, Nébivolol Génériques, Propranolol Génériques, Sectral,
Seloken, Temerit, Ténormine, Timacor, Trandate, Trasicor, Visken
Liste des inhibiteurs de l’enzyme de conversion : Acuitel, Bénazépril
Génériques, Briem, Captopril Génériques, Cibacène, Cilazapril Génériques,
Coversyl, Énalapril Génériques, Fosinopril Génériques, Fozitec, Justor, Korec,
Lisinopril Génériques, Lopril, Moex, Odrik, Périndopril Génériques, Prinivil,
Quinapril Génériques, Ramipril Génériques, Renitec, Tanatril, Trandolapril
Génériques, Triatec, Zestril, Zofenil
Liste des inhibiteurs de l’angiotensine II : Alteis, Aprovel, Atacand, Cozaar,
Kenzen, Losartan Génériques, Micardis, Nisis, Olmetec, Pritor, Tareg, Teveten
Les inhibiteurs de la rénine
Liste des inhibiteurs calciques : Adalate LP, Amlodipine Génériques, Amlor,
Baypress, Caldine, Chronadalate, Deltazen, Diacor, Dilrène, Diltiazem
Génériques, Félodipine Génériques, Flodil, Icaz, Iperten, Isoptine, Isoptine LP,
Lercan, Lercanidipine Génériques, Loxen, Mono-Tildiem, Nidrel, Nifédipine LP
Génériques, Nitrendipine Génériques, Vérapamil Génériques, Zanidip
Liste des vasodilatateurs : Alpress, Doxazosine Génériques, Eupressyl, Lonoten,
Médiatensyl, Minipress
Association d’antihypertenseurs : la liste des médicaments
Bêtabloquants + inhibiteurs calciques : Bêta-Adalate, Logimax, Tenordate
Bêtabloquants + diurétiques : Bisoprolol Hydrochloro- Thiazide Génériques
Conebilox Lodoz Logroton Moducren Temeritduo Tenoretic Trasitensine Viskaldix
Wytens
Inhibiteurs de l’enzyme de conversion + diurétiques : Acuilix, Benazepril
Hydrochloro-Thiazide Génériques, Bipreterax, Briazide, Captea, Captopril
Hydrochloro-Thiazide Génériques, Cibadrex, Co-Renitec, Cotriatec, Ecazide,
Énalapril Hydrochloro-Thiazide Génériques, Fosinopril Hydrochloro-Thiazide
Génériques, Foziretic, Koretic, Lisinopril Hydrochloro-Thiazide Génériques,
Périndopril Indapamide Génériques, Preterax, Prinzide, Quinapril
Hydrochloro-Thiazide Génériques, Zestoretic, Zofenilduo
Inhibiteurs de l’enzyme de conversion + inhibiteurs calciques : Coveram,
Lercapress, Tarka, Zanextra
Inhibiteurs de l’angiotensine II + diurétiques : Alteisduo, Coaprovel, Cokenzen,
Coolmetec, Cotareg, Coteveten, Fortzaar, Hytacand, Hyzaar, Losartan
Hydrochloro-Thiazide Génériques, Micardisplus, Nisisco, Pritorplus
Inhibiteurs de l’angiotensine II + inhibiteurs calciques : Axeler, Exforge,
Exforge Hct, Sevikar
Inhibiteurs de la rénine + diurétiques : Rasilez Htc
Réserpine + diurétique : Tensionorme



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LES ANTIDÉPRESSEURS (ANTICHOLINERGIQUES)

Publié le 9 mars 2011 par drogue88
Contrairement aux affirmations des médecins, et des gouvernements les
antidépresseurs provoquent tous une très forte dépendance et des symptômes de
sevrage sévères chez une large majorité de victimes
Antidepresseur : effet similaire a l’ecstasy
L’effet des antidépresseurs peut se rapprocher de celui de l’ecstasy qui
provoque le relâchement de grandes quantités de sérotonine aux terminaisons
nerveuses des neurones
Cette page met à votre disposition des publications scientifiques clés sur les
antidépresseurs. 
Par le professeur Breggin
En 2003-2004 (ci-dessous), j’ai écrit sur le syndrome de stimulation ou
d’activation des réactions indésirables causées par les antidépresseurs SSRI qui
sont très dangereux et ressemblent beaucoup aux effets de l’amphétamine et de la
cocaïne
Presque tous les antidépresseurs, y compris SSRIs et tricycliques ont des effets
stimulants analogues aux amphétamines
Principes des addictions psychiatriques (Toxic psychiatry
Les dangers de la toxicomanie aux antidépresseurs
«effets similaires de la fluoxétine à ceux de la cocaïne sur la sérotonine» »
La dépendance aux antidépresseurs
Les victimes d’un syndrôme de sevrage aux antidépresseurs sont environ : 78%
pour effexor, 66% pour le déroxat / séroxat / paxil, 60% pour le zoloft et 55%
pour les IMAO
Les antidépresseurs sont inéfficaces
mais très dangereux !
Le sevrage aux antidépresseurs
conseils pour un bon sevrage
effexor activiste
pour les activistes vidtimes d’effexor et leurs soutients
le syndrôme sérotoninergique
potentiellement mortel
le syndrôme prolongé de sevrage aux antidépresseurs
il ne touche qu’un faible pourcentage de victimes mais peut duré des mois voir
des années
L’amphétamine-bupropion (ZYBAN®) LP ; antidépresseur Wellburtin
Il s’agit d’un antidépresseur proche des amphétamines, inhibiteur du recaptage
de la dopamine et de la noradrénaline
un inhibiteur de recapture de sérotonine, dopamine et noradrénaline : la cocaïne
La cocaïne agit en bloquant la recapture de certains neurotransmetteurs comme la
dopamine, la noradrénaline et la sérotonine.
la revue prescrire demande l’interdiction de : Cymbalta, Ixel, valdoxan,
effexor, stablon, zyban, champix….
L’Agence nationale du médicament a décidé de classer les médicaments à base de
tianeptine comme stupéfiants. Le plus connu d’entre eux est l’antidépresseur
Stablon®. Pourquoi cette décision ? « En raison d’un risque de
pharmacodépendance, d’abus et d’usage détourné » a motivé l’ANSM. Concrètement,
suite à ce changement de classe thérapeutique, le Stablon® (comme tous les
médicaments à base de tianeptine administrés par voie orale) fera l’objet de
conditions particulières de prescription et de délivrance. La décision publiée
auJournal officiel du 8 juin 2012sera effective à partir du 3 septembre 2012
500 000 décès par an en occident à cause des antidépresseurs, somnifères et
neuroleptiques
Les effets bénéfiques des médicaments psychiatriques sont si minces, dit-il,
qu’il serait possible d’arrêter l’utilisation actuelle presque complètement sans
causer de dommages. Il recommande d’arrêter l’utilisation de tous les
médicaments antidépresseurs ainsi que ceux du TDAH et de la démence, et de
prescrire seulement une petite fraction des antipsychotiques et des
benzodiazépines utilisés actuellement.
professeur David Healy.
Danger des antidépresseurs inibiteur de recapture de sérotonine: ISRS
« considérant les avantages et les risques, nous pensons que cette préparation
est totalement inadapté pour le traitement de la dépression »
Histoires d’antidépresseur ISRS, morts, assassinats…
Collection de plus de 4800 histoires et nouvelles avec de nombreux articles de
médias disponibles.Antidépresseur : inibiteur sélectif de recapture de
sérotonine (ISRS)
Tous les antidepresseurs. antidepressantsfacts. La vraie information
(Pays-Bas)****
procès, conseils,sevrage…prozac, norset, deroxat, effexor, paxil,
cymbalta…Corruptions et fraudes
international coalition for drug awareness. (USA)****
Apprendre tout sur le sevrage de tous les antidépresseurs: inhibiteurs sélectifs
de la recapture de la sérotonine ISRS et inhibiteurs de la recapture de la
sérotonine-noradrénaline (SNRI) …
Deroxat, Prozac, Effexor, Zoloft : votre antidépresseur peut-il vous rendre
alcoolique ?
Des dizaines de témoignages l’affirment, et d’éminents médecins le confirment :
certains antidépresseurs peuvent vous faire tomber dans l’alcool. Ce risque
concerne une classe de médicaments précise : les “inhibiteurs sélectifs de la
recapture de la sérotonine” ou ISRS. Ces molécules, dont la plus célèbre a été
lancée en 1986 sous le nom de Prozac, étaient présentées comme des médicaments
miracles. Aujourd’hui, ils sont accusés d’être peu efficaces et de créer de
sévères dépendances. De plus, leurs effets indésirables peuvent s’avérer
redoutables. On connaissait, entre autres, le risque de suicide augmenté, les
pulsions agressives, voire meurtrières, les comportements compulsifs (jeu,
shopping, etc.), l’accroissement de 87 % du risque d’autisme pour l’enfant
exposé in utero. Quelques jours après la publication d’Effets secondaires, le
scandale français (1), faut-il ajouter l’alcoolisme à la longue liste des effets
secondaires des ISRS ?
“On peut dire que les IRS ont beaucoup d’effets secondaires… dont la mort !”
lance le docteur Bruno Toussaint, directeur éditorial de la revue Prescrire (3).
En juin 2015, Prescrire a écrit, dans un article intitulé “Antidépresseurs IRS
et venlafaxine : intoxications à l’alcool avec violences” : “Selon quelques
centaines d’observations, certains antidépresseurs semblent exposer à une
augmentation de la consommation d’alcool, à des signes d’intoxication à l’alcool
exagérés, avec des manifestations d’agressivité. Il s’agit notamment des ISRS et
de la venlafaxine.”
Pour Bruno Toussaint, “il existe manifestement un lien entre les IRS et la
consommation d’alcool. Mais, comme tous les comportements – y compris les
pulsions meurtrières, suicidaires –, ces effets sont difficiles à répertorier et
à quantifier. On pourrait dire que ce n’est ni bien décrit ni bien “rangé” dans
les bases de données pharmacologiques. Et puis, l’interaction d’une personne et
d’une substance est déjà un phénomène complexe, alors imaginez si l’on ajoute
l’alcool à l’équation…”
L’ère d’antidépresseur, de 1988 à nos jours, peut entrer dans l’histoire comme
un désastre de santé publique.
Selon des estimations prudentes, la «deuxième génération» des antidépresseurs,
en particulier les inhibiteurs sélectifs du recaptage de la sérotonine (ISRS)
provoque environ 400 décès par an en Australie de l’induction du suicide. Ils
ont tous un profil similaire pour l’induction de la violence, avec les plus
énergisants plus récents plus fortement impliqués. Les essais cliniques
présentés aux États-Unis, la Food and Drug Administration (FDA) et d’autres
études ont montré qu’ils produisaient un risque important de suicide. Les
antipsychotiques atypiques produisent plus de décès par suicide de nouveau, et
les événements cardiovasculaires. Les médicaments en cause sont le Prozac
(fluoxétine), Zoloft (sertraline), Aropax (paroxétine), Luvox (fluvoxamine),
Cipramil (citalopram), Lexapro (escitalopram), Zyban (bupropion), Efexor
(venlafaxine) et le Serzone (néfazodone) , maintenant retiré et autres. Les
antipsychotiques sont Zyprexa (olanzapine) et Risperdal (rispéridone) et
quelques autres.




Antidepresseurs / psychotropes : peu de bénéfices, beaucoup de dégâts



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LES ANTI-ÉPILEPTIQUES (ANTICHOLINERGIQUES)

Publié le 9 mars 2011 par drogue88
la plupart des anticonvulsivants agissent sur le système GABA : Tegretol®,
Dépamide®…
Et les anticonvulsivants sont maintenant utilisés comme régulateurs d’humeurs
(normothymique) et comme traitement des troubles bipolaires
Dépakine : 50 000 enfants handicapés à cause de cet anti-épileptique
Scoliose, troubles musculo-squelettiques, retards de langage, troubles du
comportement… Ces souffrances sont aujourd’hui le lot commun de ceux que l’on
appelle désormais « les enfants dépakine », du nom de ce médicament nocif pour
le fœtus, que 14 322 femmes enceintes, selon les derniers chiffres publiés
mercredi 24 août 2016 par l’Agence Nationale de Sécurité du Médicament, ont pris
pendant leur grossesse pour soigner leur épilepsie ou leurs troubles bipolaires,
entre 2007 et 2014, et des milliers d’autres encore non évaluées avant elles
Anticonvulsivants triazine : Lamictal / lamotrigine
Un pesticide de la famille des triazines
tégrétol / carbamazépine
j’avais des souvenirs dramatiquement plus nuancés. Stagiaire en Médecine
Interne, j’avais vu des problèmes hématologiques gravissimes provoqués par le
Tégrétol®. Un « p’tit jeune » de 19 ans qui se retrouve avec trois globules
blancs au lieu des 10000 réglementaires, ça peut mourir d’une septicémie, même
dans un CHU… En dermatologie, quelques cas de desquamations spectaculaires
avaient frappé ma mémoire aussi… sauvés de justesse ceux-là – au prix de soins
épouvantables et prolongés. Par contre la jeune fille qui avait perdu sa peau
(toute sa peau : syndrome de Lyell ou Stevens-Johnson) à cause d’une réaction
allergique, n’était plus là pour s’en plaindre. Bref… l’image de ce produit, pas
forcément efficace dans les indications psy, potentiellement dangereux voire
mortel, était chez moi bien écornée par ces souvenirs laissés par l’école de
médecine avant ma spécialisation en psy. Les rares fois que, jeune interne,
j’émettais poliment un doute ou faisais allusion aux risques inhérents à ce
médicament, on me rigolait au nez : « on ne peut pas laisser les malades sans
aide médicamenteuse, ce serait criminel ! Et puis l’impulsivité ! Imagine ce qui
se passerait si… Et puis le Lyell au Tégrétol®, moi, je n’en ai jamais vu ! »
rivotril (benzodiazépine)
L’augmentation de la prescription et de la délivrance de ce produit, largement
hors AMM (qui, rappelons-le, ne concerne que l’épilepsie), pose donc problème et
laisse envisager des modifications de statut de ce médicament
Le rivotril est plus mortel que la cocaîne
La chanteuse Stevie Nicks a rendu public les dangers de Klonopin / rivotril en
décrivant sa propre désintoxication comme étant » infernale « et pire que de se
retirer de la cocaïne ou de l’héroïne.
Neurontin, lyrica.
« les propriétés pharmacologiques du Neurontin (et lyrica) (actions
thérapeutiques, les effets indésirables, et les symptômes de sevrage) sont
similaires à ceux des benzodiazépines et d’autres sédatifs / hypnotiques.
Lamictal (lamotrigine)
Le risque de syndrome de Stevens-Johnson ou de syndrome de lyell serait de 1
pour mille chez l’adulte et passerait à 1 pour 50 ou 100 chez l’enfant (moins de
16 ans).
Antiépileptiques : risque de suicide, dit l’agence américaine du médicament
Et, comme d’habitude en France, où tout ce que les médecins ne connaissent pas
relève d’un psychosomatique tellement vague qu’il se prête à tout, ces effets
secondaires seront mis sur le compte du psychisme du malade
FDA MedWatch-antiépileptiques
Les analyses médicaments de la FDA ont montré que les patients recevant des
médicaments antiépileptiques avait environ deux fois le risque de comportement
suicidaire ou d’idées
Alerte contre l’usage détourné d’un médicament antimigraineux
L’agence du médicament rappelle que l’Epitomax (topiramate), un antiépileptique
et antimigraineux, ne doit pas être utilisé comme coupe-faim.
epitomax / topiramate /topamax
Topamax peut causer un certain type de déséquilibre électrolytique, appelé
acidose métabolique. C’est une complication fréquente avec la médecine et peut
devenir un problème si elle dure trop longtemps
La drogue peut également causer des problèmes cognitifs (par exemple, confusion,
problèmes de concentration ou attention, perte de mémoire et problèmes
d’élocution) ou troubles psychiatriques (tels que dépression, anxiété,
hallucinations, paranoïa et suicidaire actions ou pensées).
Parmi les effets secondaires Topamax plus communs (et moins dangereux) qui ont
été signalés fatigue, somnolence, perte d’appétit et nausées. 
Epitomax : attention danger !
Sur la liste des effets secondaires de l’Epitomax, on trouve notamment des
risques « au niveau rénal, oculaire ou métabolique« . Une diminution de
l’efficacité de la contraception oestro-progestative chez la femme, ainsi que
des risques de malformations du foetus en cas de grossesse sont également
signalés.
TOPIRAMATE / epitomax
L’activité antiépileptique pourrait être liée à une inhibition des canaux
sodiques voltage-dépendants, à une augmentation de l’effet du GABA sur les
récepteurs GABA-A ainsi qu’à un blocage des récepteurs glutamatergiques
kaïnate/AMPA.
Une augmentation des concentrations cérébrales de GABA et de ses 2 métabolites
(homocarnosine et pyrrolidinone ) pourrait contribuer à l’activité
antiépileptique
 ALLOPURINOL – ADENURIC – CARBAMAZEPINE Danger:
Pour limiter tout risque d’effets secondaires, l’allopurinol est contre-indiqué
lors d’hyperuricémie asymptomatique, c’est-à-dire lorsque le taux d’acide urique
(sanguin) est élevé mais qu’aucun symptôme n’est présent (pas de goutte, pas de
douleurs, etc).Principaux effet secondaires– Irritations de la peau (urticaires,
éruptions cutanées, etc.), ces effets secondaires apparaissent dans 5 à 10% des
cas. Beaucoup plus rarement, réactions cutanées parfois graves avec des
syndromes d’hypersensibilité (allergie) comme les syndromes de Lyell, de
Stevens-Johnson et DRESS (en anglais pour Drug Reaction with Eosinophilia and
Systemic Symptoms). Ces toxidermies sévères semblent avoir une prédominance
féminine. Il faut savoir que ces effets secondaires surviennent en général dans
les 2 mois après l’instauration du traitement. En cas de symptômes comme de la
fièvre, des éruptions cutanées, une hypersensibilité ou tout autre symptôme
n’ayant rien à voir avec la goutte, veuillez immédiatement arrêter le
traitement.NE REPRENEZ JAMAIS LE TRAITEMENT. SI L’ALLOPURINOL vous a provoqué
des effets secondaires, notamment des signes affectant la peau, car en cas de
nouvelle prise les effets secondaires pourraient être bien pires et parfois
mener à la mort.
Carbamazepine 2015 Dangers cutanés Surveillance
Carbatrol, Equetro, Tegretol, et génériques (carbamazépine )
FDA ALERT [1/31/2008] : environ deux fois le risque de comportement suicidaire
ou idées . FDA ALERT [12/12/2007] : dangereux voire mortels réactions cutanées
(syndrome de Stevens-Johnson et nécrolyse épidermique toxique),
valproate de sodium : dépakine, dépakote..
L’APESAC s’occupe des intoxications du foetus aux anticonvulsivants ou
régulateurs de l’humeur, prescrits à la mère pendant la grossesse, pour
épilepsie ou troubles bipolaires : Tous ces anticonvulsivants (Dépakine,
Dépakote, Dépamide, Keppra …), sans exception, sont tératogènes.
valproate de sodium : dépakine, dépakote..
L’APESAC s’occupe des intoxications du foetus aux anticonvulsivants ou
régulateurs de l’humeur, prescrits à la mère pendant la grossesse, pour
épilepsie ou troubles bipolaires : Tous ces anticonvulsivants (Dépakine,
Dépakote, Dépamide, Keppra …), sans exception, sont tératogènes.
Association belge des Victimes du Syndrome Valproate
La prise de Dépakine pendant la grossesse entraîne un risque de 30 à 40% de
troubles de développement chez les enfants, ainsi que 11% de malformations à la
naissance.
Association Suisse du Syndrome de l’Anti-Convulsivant
Suisse
Organisation for Anti-Convulsant Syndrome (UK)
Angleterre
Fetal Anti-Convulsant Syndrome Association (UK)
Angleterre
Les anticonvulsivants peuvent induire des psychoses chez certains patients
 une nouvelle étude examine si les médicaments prescrits pour contrôler les
crises peuvent augmenter le risque de symptômes psychotiques chez certaines
personnes. Après avoir examiné plus de dix ans de dossiers médicaux des patients
traités pour l’épilepsie, les chercheurs ont conclu que jusqu’à une personne sur
sept cas de patients souffrant d’épilepsie qui ont ensuite été diagnostiqués
avec la psychose pourrait être attribuée à un effet indésirable des médicaments
anti-épileptiques.
la Dépakine pourrait avoir fait 35 000 victimes
L’avocat des familles des victimes, Charles Joseph-Oudin, estime quant à lui que
35 000 personnes auraient été victimes de ce médicament produit par le
laboratoire Sanofi depuis 1967. « Sur la base de ce chiffre, on peut calculer le
nombre d’enfants victimes »
stabilisateurs de l’humeur: Lithium, Lamictal, Equetro et Depakote
Le lithium est le plus ancien et donc plus étudié. Il provoque la mémoire
permanente et la dysfonction mentale, y compris la dépression, et une baisse
globale de la fonction neurologique et la qualité de vie. Il peut en résulter
dilapidation neurologique sévère de démence, un effet indésirable désastreuse
appelé «syndrome de neurotoxicité irréversible de lithium-effectuated » ou
SILENT. L’exposition de lithium à long terme provoque également des troubles
cutanés graves, l’insuffisance rénale et l’hypothyroïdie. Retrait de lithium
peut causer des épisodes maniaco-comme et la psychose. Il est prouvé que
Depakote peut provoquer une croissance cellulaire anormale dans le cerveau.
Lamictal a de nombreux dangers, y compris les maladies mortelles impliquant la
peau et d’autres organes. EQUETRO cas de troubles de la vie en danger peau et
supprime la production de globules blancs avec le risque de décès par
infections. Retrait de Depakote, Lamictal et Equetro peut provoquer des
convulsions et la détresse émotionnelle
Les réactions de sevrage du lithium et des anticonvulsivants 
Le sevrage du lithium soulève l’épineuse question de confondre les difficultés
de sevrage avec la rechute. En fait, les réactions de sevrage au lithium imitent
les mêmes symptômes maniaques qui ont mené au traitement au lithium. Les
médecins prescrivent le lithium
essentiellement  pour traiter les manies; souvent, les problèmes de manies
suivent le sevrage de lithium. Comment le médecin ou le patient peut-il savoir
s’il s’agit de sevrage ou d’un retour au problème psychiatrique original?
          
Certains médecins refusent de voir un syndrome spécifique de sevrage du lithium.
D’autres suggèrent qu’un syndrome de sevrage véritable du lithium ne peut pas
seulement ressembler à de la manie mais que les « tremblements, les
étourdissements et quelques fois les crises épileptiques » devraient aussi être
observés. Nous croyons toutefois que ces
opinions-ci ne sont que d’autres occasions où les médecins ont, sans plus
penser, attribué des réactions de perturbations après un sevrage de la drogue à
la «maladie sous-jacente» du patient plutôt qu’au traitement pharmacologique
comme tel.           
Le retour rapide de la phase maniaque peut se produire même parmi les patients
qui ont pris du lithium pendant des années, sont apparemment «bien stabilisés»
et sont sevrés depuis seulement quatre ou cinq jours. Dans une étude, on a
substitué la dose de 21 patients précédemment en phase maniaque par des
placebos. Ils avaient pris du lithium de façon continue en moyenne pendant
environ quatre ans. Les auteurs écrivent: « En 14 jours de placebos, 11 patients
ont rechuté dans un état grave de psychose avec syndromes paranoïde, maniaque et
dépressif…La plupart des autres patients qui n’avaient pas rechuté rapportèrent
de l’anxiété, de la nervosité, de l’irritabilité et un éveil accru et des
troubles du
sommeil.»            
Une recension des écrits a systématiquement examiné quatorze études publiées de
sevrage du lithium impliquant 257 patients  «maniaco-dépressifs» avec en moyenne
30 mois de traitement stable de  lithium. Des nouveaux épisodes maniaques, plus
de 50 % se sont produits  dans les trois mois de sevrage. On a aussi observé une
augmentation dramatique par 28 du risque de nouveaux épisodes maniaques pour les
patients récemment sevrés du lithium. Une autre recension d’études, publiées ou
inédites, sur le sevrage du lithium arrivèrent à des conclusions semblables. Ces
preuves amenèrent un médecin à déclarer candidement: « De francs symptômes
maniaques sont les caractéristiques qui définissent les effets significatifs du
sevrage et apparaissent être comparables dans leur gravité à ceux qui se
manifestent généralement dans les maladies de manies et requièrent généralement
une hospitalisation.»            
Une augmentation de l’énergie et de l’éveil, une réaction émotionnelle accrue,
une concentration plus vive et une baisse de la soif sont souvent rapportées
même chez les patients qui n’éprouvent pas de manie pendant leur sevrage.
           
Un éditorial du British Journal of Psychiatry soutient ouvertement que lorsque
des patients prennent du lithium pendant moins de deux ans, il est très fréquent
qu’ils traversent des épisodes maniaques peu de temps après le sevrage.
L’auteur, un psychiatre, croit qu’il s’agit  de véritables effets de sevrage et
recommande d’informer les patients du danger avant qu’ils décident de se
soumettre à un traitement au lithium. Néanmoins, le même psychiatre maintient
que de prendre du lithium pendant plus de dix ans ne comporte pas ce risque de
sevrage. Cette conclusion contredit l’expérience clinique bien acceptée qui
indique que plus longtemps la drogue est prise, plus grand est le risque de
réactions de sevrage.            
Les psychiatres ont commencé tardivement à réaliser que la récurrence rapide de
manies après le sevrage de lithium est un véritable effet de sevrage. Toutefois,
il n’y a aucun doute que plusieurs médecins continuent d’attribuer la manie
provoquée par le sevrage à la « maladie chronique » de leurs patients. Ces
médecins persistent ensuite à exposer leurs patients au lithium malgré ses
effets néfastes à long terme.            
Le Tegretol (carbamazépine) est un anticonvulsant largement utilisé pour traiter
plusieurs problèmes, y compris la manie. Au moment du sevrage, le Tegretol peut
provoquer des explosions de colère – dont la paranoïa, l’hostilité et
l’agitation – chez les personnes qui étaient déjà perturbées. Ces réactions de
sevrage peuvent aussi se produire chez des
individus qui sont stables mentalement, comme dans un cas documenté impliquant
un patient traité pour un trouble physique. D’autres anticonvulsants ou
anti-épileptiques, comme le Depakene (acide valproïque), le Depakote (divalproex
sodium), et le Dilantin
(phenytoin), sont aussi largement prescrits en psychiatrie. Le risque de crises
doit être considéré lors d’un sevrage de n’importe quel anticonvulsant, qu’il y
ait présence ou non de convulsions précédemment. D’autres symptômes communs de
sevrage d’anticonvulsants peuvent aussi inclure l’anxiété, les contractions
musculaires, les tremblements, la faiblesse, la nausée et les vomissements.
antiépileptiques : liste Biam
ACETAZOLAMIDE, BECLAMIDE, CARBAMAZEPINE, CLOBAZAM, CLOMETHIAZOLE EDISILATE,
CLONAZEPAM, DIAZEPAM, DOXENITOINE, ETHOSUXIMIDE, FELBAMATE, FLUNARIZINE
CHLORHYDRATE, FOSPHENYTOINE SODIQUE, GABAPENTINE, LAMOTRIGINE, LIDOCAINE
CHLORHYDRATE, LORAZEPAM, MEPHENYTOINE, MEPHENYTOINE DIBROMEE, PARAMETHADIONE,
PHENACEMIDE, PHENETURIDE, PHENOBARBITAL, PHENSUXIMIDE, PHENYTOINE, PHENYTOINE
SODIQUE, PRIMIDONE, PROGABIDE, PROPOFOL, SULTIAME, TIAGABINE CHLORHYDRATE,
TOPIRAMATE, TRIMETHADIONE, VALPROATE SODIQUE, VALPROIQUE ACIDE, VALPROMIDE,
VIGABATRINE









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LES BENZODIAZÉPINES, TRANQUILLISANTS ET SOMNIFÈRES, ET ASSIMILÉS (STILNOX,
IMOVANE, LYRICA, NEURONTIN, BACLOFÈNE…) : CAMISOLE DE FORCE CHIMIQUE
(ANTICHOLINERGIQUES)

Publié le 9 mars 2011 par drogue88
Non Aux Benzodiazépines (NAB)
« Il est plus difficile de sevré les personnes des benzodiazépines que de
l’héroïne. » professeur m Lader (1999)
Le site de ray Nimmo
Le site mondial le plus complet en ce qui concerne les benzodiazépines
benzodiazépines, opiacés / opioïdes ou dérivés et risque de mort
Il est dangereux/mortel de mélanger Benzos et opiacés
lyrica, neurontin
les effets indésirables, et les symptômes de sevrage sont similaires à ceux des
benzodiazépines et d’autres sédatif
médecins ou dealers ?
« Les pires ravages attribués à la drogue ne passent pas l’action véreuse d’un
dealer propriétaire d’un coin de rue, mais par celle d’un vénérable médecin lové
dans son cabinet »
le syndrôme prolongé de sevrage aux benzodiazépines



il touche un faible nombre de victimes mais peut duré des mois voir des années
rohypnol
association d’Héroïne et de Rohypnol : C’est le Rohypnol qui est dangereux !
benzodiazépines
Les pillules du cauchemar – comment des millions de personnes sont pris dans le
piège des Tranquillisants
Les anxiolytiques sont désormais considérés comme des drogues toutes aussi
violentes que l’héroïne ou le LSD.
des scientifiques ont prévenu : Les anxiolytiques comme le Valium créent une
dépendance de la même manière que l’héroïne.
Elle et l’Ativan étaient parmi une foule d’autres médicaments sur ordonnance
dans le sang de Jackson pop star américaine Michael quand il est mort en Juin
l’année dernière
Hometox benzodiazépines et autres drogues
mais les benzodiazépines, efficace dans cette indication se relevèrent avoir un
potentiel addictif aussi puissant que les barbituriques
LES DROGUES
Il peut être très dangereux, voire mortel, d’arrêter brusquement la consommation
de certains psychotropes consommés régulièrement ou de façon soutenue. Ainsi, le
sevrage d’anxiolytiques ou de somnifères doit se faire sur l’avis et sous la
supervision
rohypnol : utilisation comme “drogue de viol”.
L’utilisation du rohypnol n’est pas approuvée aux Etats-Unis et son importation
est interdite
des scientifiques ont prévenus : Les anxiolytiques comme le Valium créent une
dépendance de la même manière que l’héroïne.
Elle et l’Ativan étaient parmi une foule d’autres médicaments sur ordonnance
dans le sang de Jackson pop star américaine Michael quand il est mort en Juin
l’année dernière
benzodiazépines : « beaucoup de toxicomane aujourd’hui sont des personnes agées
des milliers de plus de 60 ans sont accrochés sur les tranquillisants qui les
ont transformées en zombies
pire que l’héroïne
J’ai eu plusieurs personnes dans le cadre de faire ce blog me dire qu’ils
avaient eu l’expérience avec l’héroïne et les benzos et les benzos, ont été, de
loin les pires à sevrer.
conseils pour le sevrage des benzodiazépines
le sevrage des benzos
UN MEDECIN ATTAQUE DE FRONT UN MEDICAMENT DANGEREUX POUR LES POLYTOXICOMANES, LE
ROHYPNOL AU BANC DES ACCUSES
L’étude tient pour l’essentiel en une cinquantaine de pages, complétées de la
transcription extensive d’autant de témoignages d’anciens toxicomanes. Son
énoncé sinon ses conclusions semblent incontestables (1) : l’utilisation
détournée des comprimés de Rohypnol est à ce point développée en Belgique et
ailleurs qu’elle constitue un phénomène particulier de toxicomanie, avec ses
réseaux, ses coûts, son vocabulaire et surtout ses propres effets sanitaires et
sociaux
Benzodiazépines : le ministère de la santé sous somnifère ?
« L’ARRÊT DE LA COMMERCIALISATION DE CES PRODUITS SERAIT UNE MESURE DE SALUBRITÉ
PUBLIQUE »
benzodiazépines et somnifères : ces médicaments qui favorisent Alzheimer
Les responsables sanitaires devraient sérieusement s’inquiéter. D’un côté, notre
pays fait une consommation délirante de benzodiazépines, de l’autre, nous savons
que prendre ces traitements favorise l’entrée dans l’une des pires maladies qui
soit. Cette affaire est une vraie bombe, mais les décideurs n’ont pas l’air de
le réaliser…
A-t-on une idée de l’étendue des dégâts ?
Dans l’affaire du Mediator, on parle de 500 à 2000 morts en trente ans. Avec les
benzodiazépines, du fait de la consommation forcenée dans la population âgée,
c’est beaucoup plus. La maladie d’Alzheimer est devenue la grande cause
nationale. […]  Pourtant on continue à prescrire en masse des traitements qui
favorisent l’apparition de cette maladie.On marche sur la tête.
Les pilules qui tuent
benzodiazépines, somnifères et antidépresseurs
WORSE THAN HEROIN (pire que l’héroine)
Ces médicaments sont pires que l’héroïne.
opiacés / opioïdes, antidouleurs…. benzodiazépines et morts des patients
Lorsqu’ils sont combinés, ils forment une combinaison mortelle et pourtant, les
médecins continuent de les prescrire à coups d’ordonnances en veux tu en voila.
500 000 décès par an en occident à cause des antidépresseurs, somnifères et
neuroleptiques
Les effets bénéfiques des médicaments psychiatriques sont si minces, dit-il,
qu’il serait possible d’arrêter l’utilisation actuelle presque complètement sans
causer de dommages. Il recommande d’arrêter l’utilisation de tous les
médicaments antidépresseurs ainsi que ceux du TDAH et de la démence, et de
prescrire seulement une petite fraction des antipsychotiques et des
benzodiazépines utilisés actuellement.

L’agonie des victimes
>





Pilules pour dormir : quand les effets virent au cauchemar

« Pire que l’héroïne »





sevrage




Comment le médicament Lyrica est devenu la nouvelle « drogue du pauvre »


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LES CARBAMATES (ANTICHOLINESTÉRASIQUES) : « DÉPENDANCE PROCHE DE CELLE DES
BARBITURIQUES »

Publié le 9 mars 2011 par drogue88
Une dépendance, proche de celle des barbituriques. La dépendance est forte.
Les carbamates
Les dangers de la toxicomanie aux carbamates
L’intoxication aux organophosphorés et carbamates (antiparasitaires)
Les organophosphorés et les carbamates sont des antiparasitaires très utilisés,
ils entrent notamment dans la composition de certains antipuces à usage
vétérinaire (colliers).
Les carbamates : Felbamate, méprobamate (équanil)…
Les carbamates peuvent également entraîner une dépendance, proche de celle des
barbituriques. Cette famille de médicaments, particulièrement banalisée en
France, entraîne des risques importants en cas d’intoxication aiguë. La
dépendance est forte
PHARMACODYNAMIE ET PHARMACOCINETIQUE
Carbamates: méprobamate Proche des barbituriques au niveau pharmacologique

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LES OPIOÏDES : FENTANYL / DUROGÉSIC, OXYCODOME / OXYCONTIN, CODÉÏNE, TRAMADOL…
(ANTICHOLINERGIQUES)

Publié le 9 mars 2011 par drogue88
Etats-Unis : nouveau record de décès par overdose
Les Etats-Unis ont enregistré 107.000 décès par overdose en 2021. Un triste
record, principalement dû à l’addiction aux produits opiacés, qui persiste
malgré la condamnation de plusieurs laboratoires pharmaceutiques.
Les opiacés, première cause de mortalité par overdose en France
Les opiacés, ces médicaments qui contiennent des dérivés d’opium, sont
aujourd’hui en France la première cause de morts par overdose. Plus de 500 décès
chaque année, c’est 6 fois plus que l’héroïne et presque que 5 fois plus que la
méthadone.
fentanyl /durogésic : ANSM
Le fentanyl est un antalgique opioïde indiqué dans le traitement des accès
douloureux paroxystiques chez les patients adultes déjà traités par des
morphiniques pour des douleurs chroniques d’origine cancéreuse.
Chaque jour aux États-Unis, les opioïdes, ces pilules addictives dérivés de
l’opium, tuent environ 140 personnes.
Ils sont devenus la première cause de mortalité des moins de 50 ans
Kétamine / Esketamine, corruption et extrême danger : chronique d’une
catastrophe assurée.
« tranquillisant pour chevaux, il est également utilisé comme anesthésique dans
les hôpitaux. »
« Les effets secondaires potentiels, notamment les hallucinations, les vertiges,
l’anxiété, la psychose et les augmentations de pression artérielle, signifient
que le médicament ne peut être administré au patient que sous surveillance dans
une clinique – et y être gardé pendant deux heures après chaque dose
hebdomadaire, tout en étant surveillé par du personnel formé pour traiter les
problèmes hallucinatoires, cardiaques et respiratoires. »
« Au cours de plusieurs années d’essais parrainés par Janssen, six personnes
sous Esketamine sont décédées, contre aucune sur placebos. Trois morts étaient
des suicides.
La Food and Drug Administration (FDA), l’autorité américaine qui délivre les
licences de médicaments, a déclaré qu’il était difficile de considérer les décès
comme liés à la drogue. Cependant, le professeur Schatzberg affirme que les
décès ressemblent à la façon dont les toxicomanes se suicident lors du sevrage
des opioïdes. Deux suicides s’étaient produits dans les trois semaines suivant
l’arrêt du traitement.
«Pour moi, ces décès sont liés à l’abandon de la drogue», explique le professeur
Schatzberg. »
« Lorsque l’équipe du professeur Schatzberg a introduit un médicament bloquant
le fonctionnement de ces récepteurs opioïdes, les effets de la kétamine ont
cessé. Cela suggère un risque élevé de devenir dépendant de médicaments à base
de kétamine et de souffrir ensuite de douleurs de sevrage. »
La prescription des anti douleurs entraîné une épidémie de toxicomanie.
L’enquête soulève des questions pointues sur la responsabilité de médecins dans
une véritable épidémie de toxicomanie et de overdose ce qui a enlevé presque
180,000 vies depuis 2000.
benzodiazépines, opiacés / opioïdes ou dérivés et risque de mort
Il est dangereux/mortel de mélanger Benzos et opiacés
Les analgésiques opioïdes sur ordonnance sont responsables de surdoses plus
mortels aux États – Unis que l’ héroïne et la cocaïne combinée, un selon le
Center for Disease Control (CDC).
Toxicomanie : devons-nous les laisser planer sous Vicks Toux Sèche ® à la récré
?
Une trentaine de médicaments en vente libre contiennent un dérivé de la morphine
ATUXANE®, sirop BIOCADEXTRO 1 mg/ml ENFANTS SANS SUCRE, sirop édulcoré à la
saccharine sodique et au maltitol CLARIX TOUX SECHE DEXTROMETHORPHANE 15 mg/5 ml
ADULTES SANS SUCRE®, solution buvable en sachet édulcorée à la saccharine
sodique CLARIX TOUX SECHE DEXTROMETHORPHANE MEPYRAMINE ADULTES®, sirop
DEXTROCIDINE® 0,3%, sirop DEXTROMETHORPHANE ELERTE 1,5 mg/ml, sirop DEXTUSSIL®
0,2%, sirop DEXTUSSIL® 30 mg/15 ml, sirop en récipient unidose DRILL TOUX SÈCHE®
15 mg/5 ml ADULTES SANS SUCRE sirop édulcoré au maltitol liquide DRILL TOUX
SÈCHE® SANS SUCRE 5 mg/5 ml ENFANTS, sirop édulcoré au maltitol liquide ERGIX 20
mg TOUX SÈCHE®, gélule ERGIX ADULTES TOUX SÈCHE®, sirop ERGIX ENFANTS TOUX
SECHE, sirop EUPHONYLL TOUX SECHE DEXTROMETORPHANE 15 mg/5 ml ADULTES SANS
SUCRE, sirop édulcoré à la saccharine sodique et au sorbitol FLUIMUCIL TOUX
SECHE DEXTROMETHORPHANE 2 mg/ml ADULTES SANS SUCRE, sirop édulcoré à la
saccharine sodique et au maltitol liquide HUMEX ADULTES TOUX SECHE
DEXTROMETHORPHANE SANS SUCRE 15 mg/5 ml, solution buvable en sachet édulcorée à
la saccharine sodique HUMEX ADULTES TOUX SECHE DEXTROMETHORPHANE, sirop HUMEX
ENFANTS TOUX SECHE DEXTROMETHORPHANE, sirop NODEX® ADULTES, sirop en récipient
unidose PULMODEXANE 30 mg, comprimé pelliculé PULMODEXANE 300 mg/100 ml SANS
SUCRE, solution buvable édulcorée au maltitol liquide et à la saccharine sodique
SURBRONC TOUX SECHE DEXTROMETHORPHANE 15 mg/5 ml SANS SUCRE, solution buvable en
sachet édulcorée à la saccharine sodique TUSSIDANE® 1,5 mg/ml, sirop TUSSIDANE
1,5 mg/ml SANS SUCRE, solution buvable édulcorée au maltitol liquide et à la
saccharine sodique TUSSIDANE 30 mg, comprimé pelliculé sécable ANSM – 04/12/2014
TUXIUM® 30 mg, capsule VICKS 0,133 % ADULTES TOUX SECHE MIEL, sirop VICKS TOUX
SECHE DEXTROMETHORPHANE 7,33 mg ADULTES MIEL, pastille
oxycondin tue (sauvegarde)
Canada
 Mothers Against Abuse Medical (sauvegarde)
Aider à mettre fin à l’abus, aux mauvais traitements et aux décès de Rx, les
médicaments et les traitements à la méthadone
OXYCONTIN tue (sauvegarde)
MORTEL PRESCRIPTION de Oxycodone, Antalgique opiacé fort
opioïde et benzos = danger mortel
L’association des benzodiazépines à des traitements de substitution à l’héroïne
à base de buprénorphine (Subutex®) ou de méthadone expose au risque de
dépression respiratoire pouvant provoquer la mort
Méthadone, OxyContin, Fentanyl
sont en train de tuer des milliers de personnes chaque année
Ces médicaments légaux aussi puissants et mortels qu’une drogue dure
Ce médicament est le FENTANYL, utilisé soit en solution injectable, soit en
patchs transdermiques (Durogésic®), soit en losanges transmucosaux (Actiq ®)
appliqués entre joue et gencive pour une résorption du principe active par la
muqueuse buccale. Ce produit est 500 fois plus puissant que la morphine
La codéine en vente libre, une particularité française
En 2008, plus de dix ans après l’avènement de la substitution officielle,
certains continuent à en consommer de manière non négligeable. Néo-codion®,
Codoliprane®, Tussipax®…, petite
La méthadone est dix fois plus difficile a sevrer que l’héroïne
Les symptômes du sevrage de la méthadone inclure des nausées, des vomissements,
des convulsions, et l’insomnie, et peuvent durer pendant des semaines.
Histoire de la Méthadone
Ses deux créateurs travaillaient pour le conglomérat chimique allemand I.G.
FarbenIndustrie
BUPRENORPHINE CHLORHYDRATE (subutex)
Activité analgésique beaucoup plus puissante que la morphine (0,2 à 0,6 mg de
buprenorphine IM équivalent à 5 à 15 mg de morphine IM.)
la méthadone, le défaut c’est que la dépendance physique est pire, le sevrage
est apparement beaucoup plus long et douloureux…
Par ailleurs pas mal d’usagers prétendent arriver à décrocher « facilement » de
leur héroïne quand ça devient quasi-impossible avec la métha et le subutex
Le Subutex est un produit qui entraîne une dépendance pire que celle de
l’héroïne
Ce produit, qui a été autorisé sous des conditions très précises qui n’ont
jamais été respectées, est à l’origine d’un trafic de stupéfiant financé par …
le contribuable.
Qu’est-ce que l’OxyContin
L’OxyContin contient de l’oxycodone, un opioïde comme la morphine, la codéine,
l’héroïne et la méthadone. L’oxycodone se trouve également dans des médicaments
tels que le Percocet, l’Oxycocet et l’Endocet
Codéine et tramadol, l’héroïne de M. et Mme Tout le Monde
Nous avons ainsi voulu parler aujourd’hui de deux médicaments opiacés, la
codéine (neo-codion, dafalgan et efferalgan codeiné, Tussipax, padéryl, etc) et
le tramadol (Ixprim, Zumalgic, topalgic, contramal, zaldiar, etc). Ils ne font
pas de bruit, mais de plus en plus de personnes parlentt de leurs difficultés
avec ces substances sur  le forum Psychoactif (forum vendu aux médecins et aux
labos !) d’où nous avons extrait les témoignages ci-dessous. Ces opioïdes,
analgésiques de niveau II, sont d’accès facile, en vente libre pour la codéine
et prescrit facilement par les médecins pour le tramadol (comme pour les règles
douloureuses ou les douleurs dorsales par exemple).
Dextrométhorphane
Le dextrométhorphane (ou isomère dextrogyre de lévométhorphane) est un
analgésique opioïde, utilisé comme médicament contre la toux. Il est aussi
détourné de son usage médical pour ses effets psychotropes à forte dose et, est
alors couramment dénommé DXM.
La fluoxétine (Prozac©) est un inhibiteur du cytochrome P450 2D6 et le
dextrométhorphane est métabolisé par ce cytochrome. Donc la métabolisation n’a
tout simplement pas lieu et il peut y avoir une accumulation dans le corps et
une toxicité est possible.
Les sulfates de morphine (moscontin, skénan…)
Skénan, codéine, etc…
table de convertiion opioïde de classe 2 et 3
infirmier
Retrait progressif des médicaments contenant du dextropropoxyphène (Quinze fois
moins puissant que la morphine)
Di-Antalvic
Le Fentanyl / durogesic, cette drogue 50 fois plus forte que l’héroïne qui se
répand aux Etats-Unis
Dans certaines régions, cet anti-douleur tue désormais plus que l’héroïne
Le fentanyl / durogensic, cette seconde héroïne beaucoup plus mortelle
En avril 2016, le chanteur Prince meurt d’une overdose et fait connaître au
monde une drogue 50 fois plus puissante que l’héroïne et 100 fois plus puissante
que la morphine, le fentanyl.
Les laboratoires médico-légaux ont dénombré en 2016 plus de 30.000 cas
d’overdoses fatales liées au fentanyl contre « seulement » 600 en 2012.
2 milligrammes
Soit l’équivalent de quatre grains de sel. C’est la dose de Fentanyl illicite
pur suffisante pour tuer un homme. Au marché noir, on le trouve sous la forme de
poudre, liquide ou de comprimés.
Le fentanyl / durogésic tue

Fentanyl, le nouveau poison des cartels











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CES MEDICAMENTS PEUVENT VOUS TUER !






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organisé, Drogues légales, Drogues médicales | Laisser un commentaire


BACLOFÈNE (LIORÉSAL), GHB (DROGUE DU VIOL), PHÉNIBUT (ACIDE
PHÉNYL-GAMMA-AMINOBUTYRIQUE), GBL (GAMMA-BUTYROLACTONE) ET NEURONTIN, LYRICA
(ANTICHOLINERGIUES)

Publié le 9 mars 2011 par drogue88
baclofène
informations sur le baclofène
baclofène (liorésal)
L’arrêt du baclofène peut être associée à un syndrome de sevrage qui ressemble
au sevrage aux benzodiazépines et au sevrage d’alcool . Les symptômes de sevrage
sont plus probables si le baclofène est utilisé pour de longues périodes (plus
de quelques mois) et peut survenir à partir de doses faibles ou élevées. La
sévérité du sevrage du baclofène dépend de la vitesse à laquelle le baclofène
est interrompu. Ainsi pour minimiser les symptômes de sevrage du baclofène, la
dose doit être diminuée lentement lors de l’arrêt thérapie au baclofène. L’arrêt
brutal est le plus susceptible d’entraîner des symptômes de sevrage sévères.
Symptômes aigus de sevrage peut être arrêté en recommençant le baclofène. [ 22 ]
Les symptômes de sevrage peuvent inclure des hallucinations auditives ,
hallucinations visuelles , hallucinations tactiles , délire , la confusion ,
l’agitation , le délire , la désorientation , la fluctuation de la conscience,
l’insomnie , des étourdissements , nausées , sensation d’évanouissement , de
l’inattention, troubles de la mémoire, troubles de la perception, prurit /
démangeaisons, l’anxiété , dépersonnalisation , hypertonie , hyperthermie ,
troubles de la pensée formelle , la psychose , manie , troubles de l’humeur,
l’agitation et les troubles du comportement, tachycardie , des convulsions , des
tremblements , une dysautonomie , hyperpyrexie , l’extrême rigidité musculaire
ressemblant syndrome malin des neuroleptiques et de rebond de la spasticité
Wikipédia
Santé Canada : INFORMATION IMPORTANTE SUR L’INNOCUITÉ DE LIORESAL* INTRATHÉCAL
(BACLOFÉNE)
Au cours des 9 premières années de postmarketing, 27 cas de sevrage lié dans le
temps à l’arrêt du traitement par le baclofène ont été signalés ; 6 patients
sont décédés
Baclofène (lioresal) monographie
Ne pas interrompre brutalement le traitement; en effet des états confusionnels,
psychotiques, maniaques ou paranoïdes, des hallucinations, des convulsions voire
un état de mal épileptique, des dyskinésies ont été observés à l’arrêt brutal du
traitement.
effets secondaires et syndrome de sevrage aux baclofen
une liste de cas
 Le GHB, une substance naturellement présente dans l’organisme
GHB se fixe sur les récepteurs GABA(B) à la place du GABA .
 C’est donc ce phénomène physiologique qui explique l’effet d’euphorie lors de
la prise d’acide gamma-hydroxybutyrique, ainsi que l’augmentation de pulsions
sexuelles qui incite l’utilisation de cette drogue par les « violeurs » ou
« agresseurs » et son appellation de « drogue du viol ».
LE  GHB (gamma hydroxy butyrate)  Dépresseur  du système nerveux central
Dépresseur du système nerveux central avec des propriétés euphorisantes pouvant
s’apparenter à l’alcool. La consommation régulière de GHB peut entraîner une
dépendance physique.
L’arrêt brusque d’un usage excessif et prolongé peut provoquer un sevrage dont
les principaux symptômes sont des crises d’angoisse, des tremblements, de
l’insomnie, des crampes musculaires, et d’autres effets secondaires désagréables
et potentiellement dangereux comme de l’hypertension et une paranoïa accompagnée
d’hallucinations.
Le baclofène agoniste du récepteur GABA B
Il est dangereux d’interrompre subitement un traitement au baclofène. Les cas
les plus sévères consistent dans des états confuso-oniriques[7]. Les symptômes
de sevrage comportent : hallucinations auditives, tactiles ou visuelles,
confusion, agitation, désorientation, fluctuation du niveau de conscience,
insomnie, troubles mnésiques, anxiété, hypertonie, hyperthermie, troubles de
l’humeur, tachycardie, crise d’épilepsie, tremblements.
Le phénibut (acide phényl-gamma-aminobutyrique)
Structurellement, le phénibut est similaire au GABA, au baclofène (un
myorelaxant agissant sur la transmission nerveuse et entraînant la relaxation
des muscles squelettiques) et à la phényléthylamine (PEA).
Des études animales ont comparé le profil du phénibut à celui du diazépame qui a
des propriétés anxiolytiques prononcées ainsi qu’à celui du piracétame qui a de
faibles propriétés anxiolytiques. Une étude a montré que le phénibut a un effet
tranquillisant similaire, bien que plus faible, à celui du diazépame. Il a
également un effet calmant et relâche les muscles (ce que ne fait pas le
piracétame), mais là encore son action est plus faible que celle du diazépame.
Le GBL (gamma-butyrolactone) et le butanédiol 1,4 sont des produits précurseurs
du GHB, c’est à dire qu’ils peuvent être transformés par l’organisme en GHB.
Neurontin et Lyrica: des effets secondaires importants (Prescrire)
Étant donnés certains effets secondaires graves de la gabapentine (Neurontin) ou
de la prégabaline (Lyrica), « il est prudent de n’exposer les patients que dans
des situations où ces médicaments ont une efficacité démontrée et importante »,
souligne la revue Prescrire dans son numéro de juillet.
Neurontin
La gabapentine, produit chimique dérivé de l’acide γ-aminobutyrique, est un
médicament commercialisé sous le nom de Neurontin

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LES NEUROLEPTIQUES / ANTIPSYCHOTIQUES (ANTICHOLINERGIQUES)

Publié le 9 mars 2011 par drogue88
Ces drogues engendrent une très forte dépendance physique chez une très large
majorité de victimes : ne jamais stopper brusquement !

Neuroleptiques
« Nous croyons qu’une pratique plus rationnelle de la psychiatrie éliminerait
l’usage d’une médication si dangereuse. »
neuroleptiques cachés
Les médicaments psychiatriques ne valent rien, et la plupart sont dangereux.
les antihistaminiques : neuroleptiques cachés
les dangers de la toxicomanie aux antihistaminiques
antidépresseurs : « Des neuroleptiques déguisés »
« Reconnus pour être similaire à des neuroleptiques (anti-psychotiques) ils
induisent les mêmes effets secondaires. »
Neuroleptiques
A l’exception possible de la chimiothérapie utilisée dans le traitement du
cancer, il serait difficile d’identifier une classe de médicaments aussi
toxiques que les antipsychotiques. Si l’on considère les effets des antagonistes
de la dopamine sur le système nerveux central ou à l’extérieur, leur nocivité
prouvée est une tragédie iatrogène trop souvent minimisé ou refusé. (page 214)
Le syndrôme prolongé de sevrage
il ne touche qu’un faible pourcentage de victimes mais peut duré des mois voir
des années
 Une liste des symptômes de sevrage aux neuroleptiques
site de victimes
500 000 décès par an en occident à cause des antidépresseurs, somnifères et
neuroleptiques
Les effets bénéfiques des médicaments psychiatriques sont si minces, dit-il,
qu’il serait possible d’arrêter l’utilisation actuelle presque complètement sans
causer de dommages. Il recommande d’arrêter l’utilisation de tous les
médicaments antidépresseurs ainsi que ceux du TDAH et de la démence, et de
prescrire seulement une petite fraction des antipsychotiques et des
benzodiazépines utilisés actuellement.
extrait de psychiatrie mortelle et déni organisé d peter Gotzsche :
« Ce que ces médicaments infligent aux patients est un désastre, et presque tous
les signes qu’on croit causés par par la schizophrénie, sont en fait causés par
les médicaments »
Dans les années 1990, une nouvelle classe de médicaments a promis de
révolutionner le traitement de la schizophrénie et autres troubles mentaux.
Depuis lors, l’espérance de vie des personnes traitées dans la communauté des
centres de santé mentale a plongé à un effroyable 25 ans inférieure à la
moyenne. L’espérance de vie a chuté de pas moins de 15 ans depuis 1986. Les
indications sont que le taux de mortalité continue de s’accélérer dans ce qui
doit être classé comme l’un des pires désastres sanitaires dans l’histoire
américaine.
La toxicité des médicaments antipsychotiques, également connu sous le nom de
neuroleptiques, est bien documentée.Les antipsychotiques atypiques ont semblés
moins dangereux parce qu’ils produisent moins de dyskinésies. Nous savons
maintenant que les nouveaux médicaments entraînent plus de maladies
cardiovasculaires, qui est de loin la première cause de mortalité des personnes
dans le système public de santé mentale.
Les techniques d’imagerie montrent que les médicaments antipsychotiques
provoquent des lésions cérébrales. Les études animales et humaines ont relier la
drogue au rétrécissement du cortex cérébral qui abrite les fonctions
supérieures. Une étude sur les singes a qui l’ont a donné soit les plus anciens
ou les plus récents médicaments neuroleptiques en doses équivalentes à celles
des hêtres humains ont montré un rétrécissement de 11 à 15 pour cent du lobe
pariétal gauche. Les médicaments qui causent des dommages au cerveau, presque
invariablement, réduisent, l’espérance de vie.
Ces médicaments tuent les gens. Dawson ne sait pas cela ? J’ai estimé que Eli
Lilly a tué 200.000 personnes avec le Zyprexa et c’est seulement un des
médicaments antipsychotiques


« LES ANTIPSYCHOTIQUES NE SAUVENT PERSONNE, ILS TUENT LES GENS »







« Toutes les drogues psychiatriques, a long terme, provoquent des lésions
cérébrales visibles sur un IRM »

« IL FAUT INTERDIRE LES NEUROLEPTIQUES «



Robert Whitaker nous démontre que non seulement les neuroleptiques sont
inefficaces, mais ils provoquent les symptômes qu’ils sont censés combattre



ELI LILLY A TUÉ 200.000 PERSONNES AVEC ZYPREXA

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LES OPIACÉS

Publié le 9 mars 2011 par drogue88
Ce produit est tellement extraordinaire qu’on l’appellera « Héroïne ».
son action sur les voies respiratoires était telle que l’on a cru très vite
avoir définitivement vaincu la tuberculose. De plus, on l’a utilisé pour soigner
de nombreuses affections dyspénéisantes, tel l’asthme, et pour traiter les
insomnies
héroïne : commercialisée en 1897 par la firme Bayer
L’héroïne fut synthétisée en 1874 comme un médicament aux vertus héroïques
(courage, insensibilité à la douleur, à la fatigue…). Elle fut utilisée comme
produit de substitution à la morphine, comme antidouleur et comme traitement de
la toux.
L’héroïne est un opiacé semi-synthétique produit à partir de la morphine,
principal alcaloïde du pavot.
substance dont l’action analgésique était trois fois supérieure à celle de la
morphine car elle traverse plus facilement la barrière hématoencéphalique qui
sépare le cerveau du sang
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L’ÉPHÉDRINE, LE SPEED, LES ANTIDÉPRESSEURS, LES AMPHÉTAMINES, LA COCAÏNE, LA
RITALINE, CONCERTA, LE CRACK, NORÉPHÉDRINE, ADDERAL, MÉTAMPHÉTAMINE, PERVITINE,
CRYSTAL METH, …

Publié le 9 mars 2011 par drogue88
amphétamines, antidepresseurs…
amphétamines, médiator, effexor, Ixel, ritaline, déroxat, cymbalta, zyban…
Des nazis à Daesh, 5 drogues de combat / Ritaline : Pour les pilotes de drones
américains
Histoire : Le méthylphénidate a été synthétisé pour la première fois par le
chimiste suisse Leandro Panizzon en 1944. C’est en hommage à sa femme Rita qu’il
donne le nom de Ritaline au médicament qu’il crée par la suite. Adepte du
dopage, Rita adorait s’en envoyer une pincée avant ses matchs de tennis (coucou
Petr Korda). D’abord prescrite pour lutter contre la dépression et la
narcolepsie, la Ritaline devient à partir des années 1960 le principal
traitement pour soigner l’hyperactivité. Elle est utilisée depuis la Seconde
Guerre mondiale pour l’armée américaine. En 2002, en Afghanistan, des pilotes de
chasse US ont tué plusieurs soldats canadiens qu’ils avaient pris pour des
talibans. L’enquête a révélé qu’ils avaient pris de la Ritaline, prescrite pour
les maintenir éveillés plus de 12 heures.
L’étrange histoire des méthamphétamines
L’histoire des méthamphétamines semble trop folle pour être vraie. Les chimistes
locaux les distribuaient pour traiter la dépression, l’obésité et «créer la
bonne attitude». « 
les dangers de la toxicomanie à la ritaline (concerta)
Un très grand danger pour vos enfants
Similitudes entre le méthylphénidate, la cocaïne et les amphétamines
Récemment, dans un avis sur les toxicomanies, le Comité Consultatif National
d’Éthique (CCNE) français pour les sciences de la vie et de la santé soulignait
que « la distinction entre les drogues licites  et les drogues illicites ne
repose sur aucune base scientifique cohérente » (Rapports sur les toxicomanies,
1995, p. 3). Par exemple, sur le plan neuropharmacologique, le mode d’action
d’une drogue illicite, comme la cocaïne, et celui d’une drogue licite (sous
usage médical), comme le méthylphénidate (Ritalin), est presque identique
(Volkow et al., 1995).
cocaïne : un inhibiteur de recapture de sérotonine, dopamine et noradrénaline
La cocaïne agit en bloquant la recapture de certains neurotransmetteurs comme la
dopamine, la noradrénaline et la sérotonine.
Les amphétamines cachées : Zyban® (bupropion alias amfébutamone), Ritaline®, Les
dérivés de l’éphédrine, Mediator® (benfluorex)
ritaline : Ce produit entraîne une accoutumance masquée et une dépendance
physique. Zyban: Le rapport de l’OFDT n°232 (septembre 2003) signale ce produit
parmi les nouveaux identifiés sur la période 1998-2002 du fait de sa dangerosité
potentielle.
docteur marie anne Block
la ritaline a le même profil de dépendance que la cocaïne!
Modiodal : Arrêté du 25 octobre 1999
Les pathologies retenues par l’AMM sont : narcolepsie avec ou sans cataplexie et
hypersomnie idiopathique. Des examens sont nécessaires dans les formes de
narcolepsie sans cataplexie et dans les hypersomnies idiopathiques
L’amphétamine-bupropion (ZYBAN®) LP
Il s’agit d’un antidépresseur proche des amphétamines, inhibiteur du recaptage
de la dopamine et de la noradrénaline
Arrêté du 22 février 1990 fixant la liste des substances classées comme
stupéfiants
ritaline..
cocaïne
La cocaïne sera également utilisée médicalement comme anesthésique local (endort
l’endroit de contact). Freud sera le premier médecin à décrire son usage par
voie nasale. Il le prescrira comme remède contre la dépression.
Le crack est de la cocaïne base pratiquement pure.
Les pathologies relatives à ces récepteurs entraînent des maladies comme :
maladie de Parkinson, schizophrénie, modification de l’affectivité, psychoses.
Actifed jour et nuit, Humex Fournier gélule, Rinurel, Rinutan, Denoral,
Rupton..: les Etats Unis l’ont immédiatement interdite
La phénylpropanolamine, dite également noréphédrine, est une substance voisine
de l’amphétamine, ayant un effet vasoconstricteur et donc une action
décongestionnante
l’éphédrine
L’ancêtre des amphétamines est l’alcaloïde du ma-huang, une plante utilisée
depuis des millénaires en Chine. En 1895, on en extrait l’éphédrine qui sert de
support pour la synthèse de la benzédrine, la première d’une longue série
d’amphétamines.
Tolérance à la cocaïne
il existe une tolérance croisée entre cocaïne et amphétamines ! En d’autres mots
usager utilisant des amphétamines développera une tolérance rapide à la cocaïne.
Alcool et amphétamines (« speed »)
Les stimulants, les amphétamines par exemple, ont pour effet de vous faire
sentir moins rapidement saoul. Il se peut donc que vous buviez beaucoup plus que
vous n’en aviez l’intention.
La combinaison vous rend souvent téméraire. Vous avez l’impression de continuer
à tout contrôler (par exemple au volant), alors que ce n’est plus le cas.
Chez les utilisateurs «inexpérimentés» surtout, la perte de contrôle peut se
produire plus rapidement. Le risque de comportement agressif et d’actions
impulsives augmente.
Il existe d’autres risques encore : augmentation de la température du corps,
phénomènes de déshydratation, troubles du rythme cardiaque, infarctus,
hémorragie cérébrale, confusion mentale, attaques de panique, paranoïa et idées
délirantes.
L’abus simultané d’alcool et de cocaïne est le plus fréquent.
Un diagnostic d’alcoolodépendance peut être porté dans 50 à 90 % des cas de
cocaïnomanie.
 







La ritaline,, c’est de la drogue, qui conditionne les enfants à devenir de
futurs drogués

La pervitine, un dérivé de la métamphétamine
Métamphétamine : La forme HCl a été synthétisée, brevetée en 1937 et
commercialisée dès 1938 par la société pharmaceutique allemande « Temmler Werke
GmbH » sous la marque « Pervitin ».







Les junkies d’Hitler







Drogue : le fléau du crystal meth / pervitine (agit pendant 48h) (arrêt de
commercialisation dans les pharmacies, en 1980), remplacé par les
antidépresseurs

Témoignage : l’adderall provoque de la dépendance qui engendre le suicide

Témoignages sur les ravages de la métamphétamine / crystal-meth







« la ritaline et le concerta sont similaire a la cocaîne dans leurs effets »

Il témoigne avant de mourir

Quelle différence entre l’adderall et la drogue crystal meth ?

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LA CORTISONE / CORTICOÏDES

Publié le 9 mars 2011 par drogue88
Les effets indésirables psychiatriques ne sont pas rares chez les patients
prenant des corticostéroïdes
Une réduction lente est necessaire.
Il existe une vraie addiction physique et psychologique aux corticoïdes
Dépression, anorexie, malaise, amaigrissement, nausées, desquamation, céphalées,
fièvre, arthralgies, myalgies (elles apparaissent au-dessous de 20mg de
prednisone ou équivalent par jour, sont plus prononcées sur les muscles
proximaux et disparaissent en quelques jours ???).
Les troubles psychiatriques iatrogènes aux corticoïdes
La présentation clinique des troubles psychiatriques cortico-induits est très
variable : on peut trouver les troubles du sommeil (25 %), la dépression (32 %),
la manie (22 %) et les épisodes psychotiques (11%)
Effets secondaires de la corticothérapie chez la personne âgée
Des manifestations neuropsychiques bénignes comme des insomnies ou une
excitation anormale sont fréquentes. Plus rarement, une corticothérapie peut
être à l’origine d’épisodes psychotiques. Une étude française rétrospective a
ainsi permis de noter la survenue de complications psychiatriques chez 16% des
patients recevant une corticothérapie au long cours pour une maladie de Horton,
essentiellement sous la forme de troubles de l’humeur, d’épisodes dépressifs ou
maniaques. La survenue de ces événements est plus fréquente dans le premier mois
de traitement et en cas d’administration de doses élevées de corticoïdes.
Les corticostéroïdes glucocorticoïdes
Les effets psychotropes des corticoïdes ont été signalés depuis 1950.
changements cognitifs comme la démence précoce chez les patients qui suivent un
traitement avec des doses élevées de corticoïdes ont été identifiés en 1984. La
présentation clinique de ces patients atteints de démence « stéroïde » imitaient
celles qui sont typiques de la maladie d’Alzheimer précoce. Comme dans le cas
des effets secondaires psychiatriques croticosteroid d’utilisation, la
« démence » est réversible. Le cas présenté décrit un patient qui a développé
les changements cognitifs et la démence comme un EEG anormal à la suite d’un
traitement aux stéroïdes. L’affaire est d’un intérêt non seulement comme un
exemple de la démence de stéroïdes, mais aussi parce qu’il est le premier avec
séquelles documentée électroencéphalographie et EEG prémorbide, la
tomodensitométrie et des tests neuropsychologiques.
témoignage
Une de mes filles, qui allait très bien et n’avait aucun antécédant, a déclanché
à 16 ans une dépression a-typique, puis quelques mois plus tard un comportement
hypomaniaque, puis un an après, une bouffée délirante qui a nécessité 2 mois
d’hospitalisation et qui l’a laissée fragile. Or, ce n’est qu’à ce dernier
épisode qu’on a fait le lien avec la cortisone : chaque crise avait été précédée
quelques jours auparavant de piqures de solu-médrol, sans doute même pas
indispensables, après traitement chirurgicaux de la mâchoire dans le cas d’un
traitement orthodontique un peu lourd
équivalence
20mg d’hydrocortisone = 5mg de perdnisone ou prednisolone
corticostéroide
Un corticostéroïde (en anglais corticosteroid) est une hormone sécrétée par les
glandes surrénales à partir du cholestérol, et essentiellement utilisée en
thérapeutique comme anti-inflammatoire, ou comme immunosuppresseur.
symptômes de sevrage cotisone / prednisone
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effets secondaires


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SYNDROME PROLONGÉ DE SEVRAGE POUVANT DURER PLUS DE 10 ANS (BENZODIAZÉPINES,
NEUROLEPTIQUES, ANTIDÉPRESSEURS…)

Publié le 9 mars 2011 par drogue88

Les médicaments utilisés en psychiatrie nous font plus de mal que de bien

Les symptômes de sevrage sont souvent diagnostiquée à tort comme un retour de la
maladie ou le début d’une nouvelle, pour lesquelles les médicaments sont alors
prescrits. Au fil du temps, cela conduit à une augmentation du nombre de
toxicomanes, à long terme.

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« TOUS LES ESSAIS CLINIQUES SUR LES NEUROLEPTIQUES / ANTIPSYCHOTIQUES ET LES
ANTIDÉPRESSEURS, SONT BIAISÉS »

Publié le 9 mars 2011 par drogue88

Les essais cliniques de BIG PHARMA sont bidon !

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DROGUE T’ON NOS ENFANTS : MISE SOUS CAMISOLE DE FORCE CHIMIQUE

Publié le 9 mars 2011 par drogue88

Droguer nos enfants: Comment les profiteurs poussent les antipsychotiques /
neuroleptiques, sur nos plus jeunes

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L’ALCOOL

Publié le 9 mars 2011 par drogue88

l’alcoolisme sur ordonnances : Les dépendances croisées aux autres drogues et
alcool se produisent dans 73% des cas d’anciens utilisateurs de benzodiazépine

L’abus d’alcool augmente considérablement le risque de la plupart des formes de
cancer, y compris le cancer de la bouche, oesophage, sein, estomac, foie, la
prostate et du côlon………La forme la plus courante d’atteinte hépatique est une
élévation des enzymes hépatiques.

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LE SEVRAGE

Publié le 9 mars 2011 par drogue88
sevrage des benzodiazépines
Les meilleurs conseils pour un sevrage des benzos
le sevrage des drogues psychiatriques
quelques conseils pour le sevrage des drogues psychiatriques
benzodiazépines et sevrage
Les meilleurs conseils internet en français
sevrage antidépresseurs
conseils de sevrage
Les médicaments utilisés en psychiatrie nous font plus de mal que de bien
Les symptômes de sevrage sont souvent diagnostiquée à tort comme un retour de la
maladie ou le début d’une nouvelle, pour lesquelles les médicaments sont alors
prescrits. Au fil du temps, cela conduit à une augmentation du nombre
d’utilisateurs, de toxicomanes, à long terme
Les vues et opinions sur ce blog sont les opinions personnelles de l’auteur.
Aucun élément contenu dans ce blog n’est conçu comme un avis médical. Ce blog a
été créé pour fournir des informations générales, les opinions de l’auteur et
des réflexions générales. L’information contenue ici ne doivent pas être
considérés comme un appui pour que quiconque abandonne les drogues
psychiatriques. Si vous arrêtez de prendre des médicaments, il est conseillé de
réduire graduellement la dose avec une extrême prudence, car il est difficile de
prédire qui aura des difficultés à se sevrer. Il est important d’obtenir autant
d’informations et de soutien que vous le pouvez, et en associant à votre médecin
si possible
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DÉPENDANCE AU CANNABIS ET TÉMOIGNAGE SEVRAGE (NE TOUCHEZ PAS AUX NEUROLEPTIQUES
!) : DES VICTIMES EN GRAND NOMBRES

Publié le 9 mars 2011 par drogue88

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« ILS VEULENT QUE VOUS SOYEZ ACCROCS À LEURS MÉDICAMENTS, ILS VEULENT QUE VOUS
SOYEZ LEURS CLIENTS À VIE »

Publié le 9 mars 2011 par drogue88

« Ils veulent que vous soyez accrocs à leurs médicaments, ils veulent que vous
soyez leurs clients à vie »

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MÉDICAMENTS, DROGUES ET JUSTICE

Publié le 9 mars 2011 par drogue88
Les nombreuses victimes des drogues médicales, de dépendances, de syndrôme de
sevrage…sont invitées à attaquer en justice leurs médecins, leurs pharmaciens,
le laboratoire pharmaceutique et les médecins de la sécu qui dirigent tout cela
(uniquement avec un expert médical qualifié (biologiste) en matière
d’empoisonnement et honnête). Gardez vos ordonnances ! Je vous conseille d’autre
part d’éviter l’association AAAVAM.

justice, drogues médicales et médecins
Avocats, class action, condamnations…
justice pour les victimes des benzodiazépines, somnifères et psychotropes
textes, réglementations…
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PÉTITIONS

Publié le 9 mars 2011 par drogue88
pétition internationale benzodiazépines
Nous sommes fermement convaincus cependant que les risques associés à la prise
de benzodiazépines est beaucoup plus grande que la communauté médicale et de nos
gouvernements réalisent
Justice pour les victimes GKS
accusations criminelles contre GlaxoSmith Kline
pétition internationale déroxat / paxil
Plus de 10 000 signatures et témoignages
pétition internationale cymbalta
graves effets secondaires de ce médicament
pétition internationale effexor
plus de 21500 signatures et témoignages
PETITION POUR L’INTERDICTION DES OXYCONTIN
OxyContin est presque identique au niveau moléculaire et agit dans le corps de
la même manière que l’héroïne
pétition internationale rivotril / klonopin
pétition internationale prozac
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QUELQUES LIENS

Publié le 9 mars 2011 par drogue88
Les pilules qui tuent
Les benzodiazépines et les antidépresseurs tuent des milliers de victimes.
médecin critique
 » La personne qui a le plus de probabilité de vous tuer n’est pas un parent ou
un ami ou un agresseur ou un cambrioleur ou un conducteur ivre. La personne qui
risque le plus probablement de vous tuer est votre docteur. »
medicaments : nos médecins nous tuent
La parole aux victimes survivantes
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QUELQUES LIVRES

Publié le 9 mars 2011 par drogue88
Guide critique des médicaments de l’âme du professeur David Cohen
ANTIDEPRESSEUR ; LITHIUM ; MALADE ; MEDICAMENT ; MENTAL ; NEUROLEPTIQUE ;
PSYCHOPHARMACOLOGIE ; PSYCHOTROPE ; SEVRAGE ; SOMNIFERE ; STIMULANT ;
TRANQUILLISANT ; USAGE
Le coté noir des comprimés somnifères (gratuitement en ligne en traduction
google) du Docteur Daniel F. Kripke, MD
Ce petit ouvrage explique les risques de somnifères dont vous pourriez ne pas
avoir entendu parler. Il décrit aussi de meilleures alternatives.
MÉDICAMENTS PSYCHOTROPES : Confessions d’une visiteuse médicale (sortie en
français mars 2014)
Le 2 décembre 2004, Mégane, la nièce de Gwen Olsen, se suicide à l’âge de vingt
ans en s’immolant par le feu, mettant fin au supplice qu’était devenu son
existence, soumise aux effets indésirables de médicaments qui lui avaient été
prescrits. Ayant passé près de quinze années à travailler pour l’industrie
pharmaceutique en tant que visiteuse médicale, c’est en tant qu’initiée à ce que
sont, entre autres, les psychotropes, que Gwen Olsen nous livre ici un
témoignage aussi alarmiste qu’éclairant sur les conséquences que peuvent avoir
ces médicaments. Mais c’est également en tant que victime de ces derniers,
qu’elle a appris à ses dépends ce qu’il pouvait en coûter de se faire prescrire
des substances agissant sur la chimie du cerveau. Forte de ce double éclairage
de l’intérieur et profondément choquée par le sort de sa nièce Mégane, elle n’a
de cesse aujourd’hui, à travers son site Internet (www.gwenolsen.com) et des
tournées de conférences à travers les États-Unis, de diffuser une information
qui permet à un vaste public de mieux connaître les résultats tragiques de
prescriptions abusives concernant, par exemple, les antidépresseurs,
anxiolytiques et autres hypnotiques. On pourra arguer que tout cela se passe
loin de nous, de l’autre côté de l’Atlantique, dans un pays dont le système de
santé a été relégué à la dernière place parmi ceux de dix-neuf nations
occidentales. Mais ce que la plupart des gens ignorent, c’est que ce qu’on
appelle aujourd’hui le DSM-5, le Manuel diagnostique et statistique des troubles
mentaux, 5e édition (DSM, de l’anglais Diagnostic and Statistical Manual of
Mental Disorders) est conçu en Amérique et traduit en français à l’intention de
notre pays, tous les médicaments psychiatriques qu’il induit étant pareillement
prescrits et disponibles chez nous.
Mort sur ordonnance
De nos jours, le principal problème lié aux drogues, aux États-Unis par exemple,
ce n’est pas la consommation de drogues illégales, mais celle de drogues
parfaitement légales, les médicaments. Plus de deux millions de personnes sont
hospitalisées chaque année uniquement en raison d’effets indésirables des
médicaments et que 180 000 en meurent. Quand une agence de réglementation des
aliments et des médicaments autorise la vente d’un médicament grand public, plus
de la moitié des effets graves qu’il entraîne restent inconnus.
WORSE THAN HEROIN (pire que l’héroine)  de E. Robert Mercer Robert Mercer
Le problème le plus généralisé de drogues dans le monde n’est pas l’héroïne, le
crack, le crystal meth, aucune des drogues illicites. Benzodiazépines : Ces
médicaments sont pires que l’héroïne.
 dépendance par prescription anglais uniquement de  Joan E Gadsby
Dr. Malcolm Lader, professeur de la psychopharmacologie clinique, institut de la
psychiatrie, Londres, Angleterre« … L’histoire bien-recherchée de Joan Gadsby
devrait aider une attention publique de foyer sur ce problème effroyable et sa
solution.(anglais)
Médicaments qui tuent : la vérité sur l’épidémie cachée
Les récents décès de célébrités comme Michael Jackson, Anna Nicole Smith, Heath
Ledger, et Whitney Houston ont montré un projecteur sur la surutilisation et
l’abus de médicaments d’ordonnance. La plupart des gens croient que les
médicaments d’ordonnance sont plus sûrs que les substances illicites. Mais,
lorsqu’il est combiné avec d’autres over-the-counter sédatifs, médicaments
d’ordonnance peuvent être tout aussi puissante, addictive, et dangereux. En
2006, les surdoses sur une classe d’analgésiques d’ordonnance appelés
analgésiques opioïdes a tué plus de gens que ceux tués par surdoses sur la
cocaïne et l’héroïne combinée. À l’heure actuelle, entre 35 à 54 ans,
l’empoisonnement par médicaments d’ordonnance est la cause la plus fréquente de
décès liés à l’auto-accidentelles mort plus encore que. Dans les médicaments qui
tuent, Dr Marcum brille une lumière sur le pouvoir addictif de médicaments
d’ordonnance et comment vous pouvez vous protéger votre famille et en pratiquant
des habitudes saines.
benzoland
Les benzodiazépines, une classe de tranquillisants et de somnifères (y compris
le Valium, le Xanax, et Ambien) qui sont souvent stupidement et irresponsable
prescrits par les médecins qui ont été vendus sur leurs mérites par les
entreprises corrompues de drogue, faire plus que d’asservir votre corps: en fin
de compte, ils peuvent écraser votre âme. Ce mémoire de la survie pourrait être
utile à quelqu’un face à des défis similaires.
Analgésique : Le « super » sentier de la dépendance à la drogue et de la mort
Pain Killer OxyContin, un puissant analgésique contenant de l’oxycodone opium
dérivés comme ingrédient actif clé, a été tout d’abord vendu en 1996 comme un
traitement pour les patients atteints de cancer et d’autres personnes souffrant
de douleur chronique. Dès le début, fabricant du médicament commercialisé
agressivement sa formule brevetée diffuses comme une percée dans les efforts de
réduction de consommation de médicaments d’ordonnance. Il n’a pas tardé,
cependant, les adolescents sensations brisé cette illusion de sécurité ; en
écrasant tout simplement un « Oxy, » ils ont pu puiser dans un sommet si
séduisant, il viendrait à dominer leurs vies. Certains patients, à la recherche
de soulagement de la douleur, à la face sombre de la drogue se trouvaient
également.
Killing Me Softly: Drugs, Medical Ethics, and Terror in Benzo Land
Ceci est l’histoire personnelle de l’auteur de accidentelle addiction aux
benzodiazépines, qui a tourné au cauchemar continue: ce livre est un cri du
coeur, ou d’un appel passionné, au nom de lui-même, ainsi tous ceux qui
souffrent, le plus souvent en silence, de cette répandue mais grandement
sous-estimé l’affliction. Le poison lent en question, pour l’auteur, est Valium
ou le diazépam. Ceci est aussi une histoire personnelle et une histoire à propos
de l’éthique médicale et la terreur. Les benzodiazépines, une classe de
tranquillisants et de somnifères (y compris le Valium, le Xanax, et Ambien),
sont dangereusement addictif; l’auteur, exposés à une gamme de benzodiazépines,
d’antidépresseurs et les psychiatres, raconte l’histoire de son voyage insolite:
pour lui-même, pour ses amis, et pour les autres qui pourraient vouloir comparer
leurs propres voyages avec son
 Le médecin et le toxicomane: guide pratique de Vincent Fontaa
Médicaments, réglementations et prescriptions
 La défonce médicamenteuse. de MAXENCE (Jean-Luc)
Aux ravages causés par les antidépresseurs, s’ajoutent ceux du cannabis, de
l’ecstasy et du crack. Chercher le bien-être, le bonheur, le sommeil, l’amour,
l’indépendance, l’éternité, bref, « la lune en gélules » dans ces drogues est
dangereux.
Au nom de la science de Andrew Goliszek
les crimes et aberrations commis par certains industriels et nos gouvernements…
au nom de notre santé à tous ! Une enquête stupéfiants : les scandales d’un
siècle d’expérimentation secrète sur l’être humain
Cerveau, drogues et dépendances de Lucas Salomon
Savez-vous que les drogues agissent toutes dans le cerveau sur une cible
commune, qu’il s’agisse de drogues illicites (héroïne, cocaïne, etc.), d’alcool,
de tabac ou de médicaments psychoactifs ?
Effets secondaires – LA MORT, Sans corruption pas de médicaments le livre ecrit
par John Virapen devoile la corruption pour mise sur marché de médicaments qui
vous tuent « Ils (l’ industrie pharmaceutique) vous vendent des médicaments
dangereux pour gagner de l’argent. Rien d’autre. Si vous pensez que l’ industrie
harmaceutique met des médicaments sur le marché pour vous aider – vous vous
trompez lourdement! »
Drug-Induced démentia : a perfect crime (les médicaments qui induisent la
démence : un crime parfait)
Repenser les drogues psychiatriques: Un guide pour le consentement éclairé, a
souligné le besoin urgent pour les sociétés et les systèmes de soins de santé à
reconnaître la nocivité inutile de médicaments psychiatriques, et pour protéger
les droits de ceux qui veulent des oins sans drogue .  En misant sur ce même
thème, d’origine médicamenteuse démence: un crime parfait présente une analyse
méthodique des données scientifiques et épidémiologiques qui confirme les
 médicaments psychotropes comme une cause de lésions cérébrales et de décès
prématurés. Espérons que ces publications seront utilisées par les profanes, les
cliniciens, les avocats et les décideurs politiques à améliorer la qualité et
l’intégrité des soins de santé, et de sauvegarder le droit fondamental de tous
les patients pour éviter des lésions corporelles injustifiée – en particulier,
lorsque ce dommage survient dans le forme de désinformation, frauduleux, et / ou
coercitives (involontaire) de soins médicaux.
Pharmageddon : l’histoire d’une tragédie
…les champs de la mort pharmaceutique n’est pas un incident isolé.  L’espérance
de vie aux Etats-Unis, le pays qui consomme le plus de médicaments vitaux est en
baisse rapide par rapport au reste du monde.. Pour les maladies comme la
schizophrénie, nous faisons maintenant 10 fois pire en termes d’espérance de vie
que nous l’étions il ya 100 ans
Votre médicament peut être votre problème (anglais uniquement)  des professeurs
Peter Breggin M.D. et David Cohen Ph.D.
Comment et pourquoi cesser de prendre les médicaments psychiatriques
Seul livre qui fournit une description non censurée à jour des dangers
qui’mplique la prise de chaque genre de drogue psychiatrique. C’est le premier
et le seul livre pour expliquer comment cesser sans risque de prendre les
médicaments psychiatriques.
« En dépit du succès  d’une campagne de promotion énorme  par les compagnies
pharmaceutiques et la psychiatrie biologique, l’efficacité de la plupart ou tous
les médicaments psychiatriques reste difficile à démontrer Les médicaments
s’avèrent souvent pas plus efficaces que les pilules de sucre, ou des placebos –
et pour accomplir même ces résultats positifs limités, les essais cliniques et
des données qu’ils génèrent généralement doivent être statistiquement manipulé
« (p. 37).
Mad in America de  Robert Whitaker
L’histoire racontée dans Mad in America va surprendre beaucoup de lecteurs. Dans
sa revue de la littérature scientifique, le livre révèle que les études des
résultats à long terme des antipsychotiques ont régulièrement montré que les
médicaments ont augmenté la probabilité que les personnes diagnostiquées avec la
schizophrénie deviennent des malades chroniques. Le livre examine aussi la
commercialisation des nouveaux médicaments antipsychotiques atypiques dans les
années 1990, et découvre la fraude scientifique au cœur de cette entreprise
Medication Madness de professeur peter Breggin : Le rôle des médicaments
psychiatriques dans les affaires de Violence, Suicide et assassinats
Anatomy of an Epidemic (Anatomie d’une épidémie)
Anatomie d’une épidémie enquête sur un mystère médical: Pourquoi le nombre
d’adultes et d’enfants handicapés par la maladie mentale explosé au cours des
cinquante dernières années? Il ya maintenant plus de quatre millions de
personnes aux Etats-Unis qui reçoivent un chèque du gouvernement d’invalidité en
raison d’une maladie mentale, et le nombre continue à monter en flèche. Chaque
jour, 850 adultes et 250 enfants atteints d’une maladie mentale sont ajoutés aux
rouleaux d’invalidité du gouvernement. Qu’est-ce qui se passe?
big pharma
« Or les médicaments sont aussi des substances dangereuses, à manier avec
précaution. Il y a bien sûr les scandales récents qui ont secoué la France.
L’affaire du Mediator n’est nullement une exception, elle est plutôt la règle :
on assiste depuis une vingtaine d’années à une avalanche de scandales
pharmaceutiques à travers le monde, pour la plupart bien plus graves que celui
du Mediator et impliquant quasiment tous les grands laboratoires mondiaux.
Étrangement, ces affaires retentissantes n’ont pratiquement pas eu d’écho en
France. Sans doute a-t-on considéré qu’il s’agissait de problèmes qui ne nous
concernaient pas, un peu comme le fameux nuage de Tchernobyl. Pourtant, les
entreprises impliquées sont des multinationales implantées sur notre territoire
comme sur le reste de la planète et leurs médicaments étaient (ou sont encore)
commercialisés également en France. À l’ère de la mondialisation, les molécules
circulent aussi librement que le pétrole ou les courriels. »… On ne peut plus
dire qu’il s’agit de cas isolés de corruption , de quelques « méchants » qu’il
suffirait de mettre en prison. Les experts, les scientifiques, les médecins, les
politiciens, tous ces gens font simplement leur travail – ils sont même, dans
leur grande majorité, bienveillants et de bonne foi. Ce que révèlent les
scandales, par leur répétition même, c’est justement cela : la banalité du mal
pharmaceutique, son caractère systémique, industriel. Il y a quelque chose de
pourri au royaume de Médecine , comme il est dit dans Hamlet. Nous le sentons
tous obscurément, mais nous hésitons à nous l’avouer. Nous voulons continuer à
croire que la médecine est « basée sur des preuves », comme on nous le répète
tout le temps, que nos médecins sont vigilants et bien informés, que les agences
sanitaires ne permettront plus qu’on nous vende des médicaments inutiles et
dangereux. Nous voulons continuer à croire en la médecine, car elle a été
porteuse depuis la révolution thérapeutique de la fin du XIXe de tous nos
espoirs en une vie longue et sans douleur. Mais cette médecine que nous avons
connue n’existe plus. Comme on va le lire dans ce livre, les « preuves » sur
lesquelles on se fonde pour nous prescrire des médicaments sont couramment
biaisées. Les risques sont cachés par les laboratoires . Les médecins reçoivent
leur formation et leurs informations de l’industrie pharmaceutique. Les agences
sanitaires approuvent de façon désinvolte des médicaments totalement
inefficaces, tout en protégeant le « secret commercial » des données négatives
fournies par les firmes. À tous les niveaux, le profit des industries passe
AVANT l’intérêt des patients
Remèdes mortels et crime organisé
Dans ce récent ouvrage révolutionnaire, Peter C. Gotzsche lève le voile sur les
comportements frauduleux de l’industrie pharmaceutique dans les domaines de la
recherche et de la commercialisation et sur son mépris moralement répugnant pour
la vie humaine. L’auteur établit des rapprochements convaincants entre
l’industrie pharmaceutique et l’industrie du tabac et révèle l’extraordinaire
vérité derrière les efforts déployés pour semer la confusion et détourner
l’attention du public et des politiciens. Il s’appuie sur des données probantes
et traite de manière détaillée de l’extraordinaire défaillance du système causée
par le crime généralisé, la corruption et l’inefficacité de la réglementation
pharmaceutique – une réglementation qui, selon lui, doit être radicalement
transformée. « Si nous prenons autant de médicaments, c’est principalement parce
que les compagnies pharmaceutiques ne vendent pas des médicaments, mais des
mensonges à leur sujet. C’est ce qui fait que les médicaments sont si différents
du reste… Tout ce que nous savons sur leur compte, c’est ce que les compagnies
ont choisi de nous dire et de dire à nos médecins… Les patients ont confiance
dans leurs médicaments parce qu’ils extrapolent la confiance qu’ils ont envers
leurs médecins et la reportent sur les remèdes que ces derniers leur
prescrivent. Ils ne sont pas conscients que les médecins, s’ils en savent long
sur les maladies et la physiologie et la psychologie humaines, en connaissent
très, très peu sur les médicaments si ce n’est les informations fabriquées de
toutes pièces par l’industrie pharmaceutique… Si vous ne croyez pas que le
système est hors de contrôle, je vous invite à m’écrire pour m’expliquer
pourquoi les médicaments sont la troisième cause de mortalité… Si une épidémie
provoquée par une nouvelle bactérie ou un nouveau virus avait fait autant de
victimes – ou si elle avait même causé un centième seulement des décès associés
aux effets secondaires des médicaments –, nous aurions tout fait pour la
contenir.»
Prescription for Injury
Déni de routine et de la minimisation des dommages ne devraient avoir aucune
place dans la médecine, mais il est une attitude politique et institutionnel au
Royaume-Uni. Le ministère de la Santé et de la MHRA jouent la politique avec la
vie des gens. Il ne fait aucun doute que la défense et la sous-estimation de
préjudice passé, permet la poursuite d’un système qui va produire des blessures
plus évitable dans l’avenir. Les campagnes d’auteur pour l’innocuité des
médicaments et un changement dans le système où personne est tenue responsable
et les victimes sont laissés à eux-mêmes.
Médicaments Meurtriers et Crime Organisé : comment Big Pharma a corrompu la
Santé
Corruption systématique: L’essentiel de l’ouvrage de Peter est consacré à la
mise en valeur du fait que l’industrie pharmaceutique a systématiquement
corrompu la science en amplifiant les bénéfices et en minimisant les méfaits de
ses médicaments. En tant qu’épidémiologiste, ses énormes connaissances et sa
passion du détail qui en ont fait un leader mondial dans la critique des études
cliniques, Peter est ici sur un terrain très solide. Son nom s’ajoute à celui de
nombreux autres, y compris d’anciens éditeurs du New England Journal of Medicine
qui ont dénoncé cette corruption. Il montre aussi comment l’industrie a acheté
des médecins, des universitaires, des revues, des organismes professionnels, des
associations de patients, des départements universitaires, des journalistes, des
organismes de régulation, et des politiciens. Ce sont les méthodes mêmes de la
mafia. Le livre ne permet pas aux médecins ni aux universitaires d’éviter le
blâme. En effet, on pourrait faire valoir que les compagnies pharmaceutiques
font ce qu’on attend d’elles pour maximaliser les rendements financiers des
actionnaires, mais les médecins et les universitaires sont censés avoir une
vocation plus élevée. Les lois qui obligent les entreprises à déclarer les
sommes qu’elles payent aux médecins montrent que de très nombreux médecins sont
redevables à l’industrie du médicament, et que beaucoup reçoivent des sommes
d’argent pour conseiller les entreprises ou pour donner des conférences en leur
nom. Il est difficile d’échapper à la conclusion que ces « leaders d’opinion »
sont achetés. Ce sont les « mercenaires » de l’industrie. Et comme avec la
mafia, malheur à quiconque dénonce ou apporte des preuves qui ne sont pas
favorables à l’industrie. ….Il n’est donc pas tout à fait fantaisiste de
comparer l’industrie du médicament à la mafia…
L’intox : Quelques vérités sur vos médicaments
L’auteur prend le risque de dénoncer les pratiques frauduleuses de l’industrie
pharmaceutique qui nous cache les effets indésirables de nombreux médicaments.
En France, des effets secondaires tels qu’hépatite, infarctus, cancer,
méningite, impuissance, avortement sont volontairement occultés !
Bad pharma
Les médicaments sont testés par les gens qui les fabriquent, dans des essai
cliniques mal conçus menés sur un petit nombre de patients non-représentatifs,
et analysés en utilisant des techniques qui sont biaisées, de manière à exagérer
les bienfaits des traitements. C’est sans surprise que ces études produisent des
résultats qui favorisent le produit testé. Quand les essais cliniques ne donnent
pas les résultats escomptés, les données sont cachées des médecins et des
patients ce qui laisse une image distordue de la réalité. Ces faits distordus
sont communiqués de manière biaisée par des régulateurs et des éditeurs de
journaux scientifiques qui sont en conflit d’intérêts, tout comme les
associations de patients et les universités. Le résultat est que dans la plupart
des cas, nous n’avons aucune idée du traitement qui est le plus efficace. Des
études cliniques biaisées Les pharmas font souvent plusieurs séries de tests,
mais excluent les séries dont les résultats ne sont pas positifs. Donc, si dix
séries de tests ont été effectuées, il se peut que l’étude publiée et soumise
aux régulateurs ne présente les résultats que de trois ou quatre d’entre elles.
Par exemple, pour le reboxetine, sept séries de tests ont été faites, mais
seulement une a été rendue publique et publiée dans un journal académique. Les
six autres sont demeurées dans l’ombre, inaccessible, même si leurs résultats ne
montraient aucune amélioration face au placebo. Les conséquences négatives des «
données manquantes » ne s’arrêtent pas à l’évaluation de l’efficacité ; elles
concernent aussi la sécurité des patients. Dans les années 1980, un médicament
contre l’arythmie cardiaque, le lorcainide, fut testé auprès d’une centaine
d’hommes ayant subi une attaque cardiaque. Le taux de décès fut 9 fois supérieur
chez les candidat ayant pris lorcainide que ceux qui ont pris le placebo.
L’étude ne fut jamais publiée et les résultats sombrèrent dans l’oubli.
Pourtant, à la même époque, les médecins ont commencé à systématiquement
prescrire des médicaments anti-arythmie aux gens ayant subi une attaque
cardiaque, par mesure de prévention, sans savoir qu’une étude avait démontré que
c’était dangereux. Résultat : environ 100.000 personnes sont mortes avant que
l’on ne se rende compte que c’était une mauvaise idée. Ces morts auraient pu
être évitées si l’étude sur lorcainide avait été publiée. Il y a seulement la
moitié des résultats d’essais cliniques qui sont publiés, et celles dont les
résultats sont négatifs ont deux fois plus de chances de ne pas être publiées.
Conséquemment, les informations disponibles aux médecins font en sorte de
constamment surestimer les bienfaits des médicaments. Ainsi, comme les médecins
sont maintenu dans l’ignorance, les patients sont exposés à des traitements
inférieurs, inefficaces, non-nécessaires, plus dispendieux et/ou plus risqués,
voire dangereux.
Amérique dupé : La vérité sur les antidépresseurs, antipsychotiques et comment
nous avons été trompés
L’Amérique dupé l’histoire non-sensationnelle, fait-remplie de la façon dont les
Américains sont venus à croire que la dépression et d’autres problèmes mentaux
sont causés par des déséquilibres chimiques qui peuvent être fixés avec des
pilules. Il révèle comment les études sur les médicaments utilisés pour obtenir
l’approbation de la FDA sont conçus, payés et écrits par les compagnies
pharmaceutiques elles-mêmes et sont délibérément trompeur. Partie 1 de
l’Amérique Dupé est axée sur les antidépresseurs, leur efficacité et leurs
effets secondaires, y compris les dommages permanents au cerveau qui résulte de
l’utilisation à long terme dont si peu d’Américains ont aucune connaissance (y
compris ceux qui prescrivent et ceux qui prennent des antidépresseurs). La
partie 2 traite des différentes approches utilisées à travers l’histoire pour
traiter les problèmes mentaux plus graves, y compris l’utilisation des
antipsychotiques. Les effets secondaires des antipsychotiques sont également
discutés. Partie 3 concerne la façon d’éviter et surmonter les problèmes de
santé mentale qui ont augmenté de façon spectaculaire dans notre pays et le
faire sans médicaments. Plus de 1800 références au meilleur de la recherche
médicale et psychologique sont donnés si chaque page est écrit pour être compris
par l’Américain moyen
La Main dans le sac – Médecine + affaires = danger pour la santé
Le Dr Jerome Kassirer propose un regard inquiétant sur les pots-de-vin que des
médecins acceptent des géants de l’industrie pharmaceutique et d’autres
fournisseurs. II fait valoir que les milliards déversés par l’industrie ont
détraqué la boussole morale de plusieurs médecins, et que ces combines ont miné
la qualité des soins que nous prodiguent au jour le jour les médecins et les
institutions qui avaient toute notre confiance. Bourré de véritables histoires
d’horreurs, ce livre met en lumière les manigances financières entre les grosses
compagnies qui fabriquent les médicaments et les médecins qui les prescrivent.
Stupéfiants et psychotropes, un sépulcre pour l’humanité : politique de
l’autruche et complaisance intellectuelle autour des dro de Daniel Desurvire
L’enjeu de ce réquisitoire contre les drogues vise à inventorier l’infinité du
désastre sous le prisme pluridisciplinaire de sciences humaines dont l’ampleur
est à la hauteur des intérêts d’un establishment corrompu ; depuis la cueillette
au laboratoire
mourir sur ordonnance
C’est l’histoire d’un père sur le tueur de sa fille, la multimilliardaire
industrie pharmaceutique. Lisez le prochain paragraphe à haute voix, cela vous
donnera le ton de l’ouvrage : « Vanessa s’élance en direction des escaliers
avant de retomber brusquement en arrière. Sa tête percute le plancher avec un
bruit sourd, comme si une main géante invisible l’y avait poussée. Elle était
toute molle, muette, inerte et pâle. Un terrible pressentiment m’a envahi. J’ai
placé mon index sur sa carotide. Je ne sentais aucun pouls, aucun battement.
Rien. Les secours arrivent : – Prenait-elle des médicaments? – Elle prend du
Prepulsid™ (cisapride) pour apaiser ses ballonnements – Autre chose? – Non »[1]
Ce père a vécu le pire cauchemar de tout parent : voir sa fille de 16 ans mourir
subitement dans le salon de la maison familiale. L’ouvrage relate son enquête
menée dans les arcanes de Santé Canada (Agence canadienne du médicament), d’une
mondiale du médicament et de l’establishment médical.
Les charlatants de la médecine
Le dictionnaire définit le mot charlatan : « vendeur de drogues sur la place
publique. Médecin ignorant et impudent. Imposteur qui exploite la crédultié
humaine ». Or la vente des drogues sur la place publique fut licite et légale
jusqu’en l’an XI de la république, c’est à dire jusqu’en1803. Mais si Tabarin,
roi des charlatans, vendait ses drogues, ses baumes et ses onguents sur les
trétaux de la place Dauphine avec l’appui des lois, et mourut riche et honoré
dans sa seigneurie du Coudray, les marchands de drogues du XXe siècle, vendent
aussi légalement leurs produits illusoires avec des procédés de publicité
perfectionnés mais peu différents, au fond, de ceux de Tarbarin. Et ils meurent
eux aussi, riches et honorés avec la bénédiction de médecins très officiels qui
ne dédaignent pas, quelquefois et même assez souvent de prêter leur nom et leurs
titres aux marchands d’orviétant. C’est beaucoup plus lucratif, croyez le, que
de manier le pendule, et c’est moins dangereux.
Votre santé n’intéresse que vous
Si vous êtes malade un jour, tout le monde s’intéressera à votre maladie, mais
votre santé n’intéresse que vous. Ce livre fait le bilan de notre système de
santé actuel, où le médecin ne connaît plus le malade car il est devenu un
simple vendeur de médicaments. Il dénonce le lavage de cerveaux organisé par les
instances de santé et les médias sous la pression des laboratoires, le dépistage
systématique qui ne rapporte, la plupart du temps, qu’à ceux qui «dépistent» et
l’abus de médicaments qui suppriment les symptômes et non les maladies. Il
aborde la notion de «terrain» et propose de réconcilier la médecine avec le vécu
sensible des personnes, de refuser de céder à la peur qui contribue à la
défaillance de notre système immunitaire et de savoir qu’il existe des méthodes
naturelles qui ont fait leurs preuves depuis des lustres, mais qui restent
interdites car elles menacent la santé financière des laboratoires et la
pérennité de leur dictature.
Les faussaires de la science, de Hans Ruesch
Hans Ruesch explique pourquoi autant de nouvelles maladies apparaissent de par
le monde à l’heure où la recherche médicale prétend s’investir à fond. Pourquoi
le public est-il soumis continuellement à de la désinformation sur la santé ? Il
révèle le massacre qui est orchestré sous couvert de l’absorption de produits
chimiques qui portent le nom de « médicaments » ! Il expose l’opinion de
médecins et de chercheurs réellement conscients des problèmes causés par la
vivisection, des exemples d’homicides impunis, mais également un point de vue
sur le cancer et sur la fraude des mass médias…
L’envers de la pilule J.-Claude St-Onge
on apprend que tout médicament comporte des risques, qu’une étude effectuée au
Québec a révélé que 52 % des prescriptions par ordonnance sont risquées ou
dangereuses, qu’aucune étude prouve l’efficacité des médicaments expectorants et
antitussifs, que les médicaments occuperaient entre la quatrième et la sixième
place dans les causes de mortalité, tout ça pendant que les PDG des industries
pharmaceutiques gagnent en moyenne un revenu annuel de 21 millions de dollars
chacun. Instructif, critique et bien documenté.
Le surdiagnostic. Rendre les gens malades par la poursuite de la santé
Après qu’on eut modifié les critères utilisés pour définir l’ostéoporose, sept
millions d’Américaines ont été transformées en patientes, du jour au lendemain.
La prolifération du monitorage foetal dans les années 1970 a été associée à une
augmentation de 66 pourcent du nombre des femmes à qui l’on a dit qu’elles
devaient avoir une césarienne, mais cela n’eut aucun effet sur le nombre de
nouveau-nés requérant des soins intensifs ni sur la fréquence de la mortalité
des nourrissons. L’introduction du dépistage du cancer de la prostate a résulté
en ce que plus d’un million d’Américains se soient fait dire qu’ils avaient un
cancer de la prostate, alors que les études cherchant à vérifier s’il s’en
trouve quelques-uns qu’on aurait aidés se contredisent, il y a consensus que la
plus grande partie ont été traités pour une maladie qui ne les aurait jamais
affectés. En tant que société fascinée par les progrès techniques et les percées
de la connaissance scientifique, nous avons rétréci la définition de ce qui est
normal et nous transformons en patients de plus en plus de bien portants. Les
diagnostics d’un grand nombre de conditions, dont l’hypertension artérielle,
l’ostéoporose, le diabète et même le cancer, ont explosé au cours des dernières
décennies tandis que les décès provoqués par ces maladies sont restés constants
Le livre noir du médicament
Les antidépresseurs de la famille du Prozac peuvent-ils provoquer les mêmes
effets secondaires que le Mediator sur le coeur et les poumons? […] Un
pharmacologue de l’Inserm nous avoue ne pas avoir de données de
pharmacovigilance pouvant indiquer des effets secondaires similaires, mais il
nous confie que les deux médicaments ont les mêmes mécanismes. Il était donc,
selon lui, absurde de prescrire du Mediator à quelqu’un qui prenait du Prozac
car les doses ne pouvaient que se cumuler. Le site de la pharmacovigilance
européenne révèle que des nouveau-nés dont les mères ont pris du Prozac
développent la même maladie que les patients ayant absorbé du Mediator ou de
l’Isoméride: l’hypertension artérielle pulmonaire. L’Agence européenne du
médicament se contente toutefois de conseiller aux mères de signaler à leur
sage-femme qu’elles prennent un ISRS [inhibiteurs sélectifs de la recapture de
sérotonine: classe d’antidépresseurs de type Prozac]. L’Agence estime que le
Prozac multiplie par deux le risque de malformation cardiaque chez le
nouveau-né. Au lieu de déconseiller formellement la molécule aux femmes
enceintes, elle leur suggère simplement d’en parler à leur médecin qui décidera
de la suite du traitement. L’Agence ajoute: « Le mécanisme est inconnu. »
La vérité sur les compagnies pharmaceutiques – Comment elles nous trompent et
comment les contrecarrer de dr Marcia Angell
En épilogue, les récentes affaires du Vioxx et des autres Coxibs, avec leur
grand nombre de morts, illustrent tous les aspects les plus désolants de ces
dérives de l’industrie et de l’inefficacité d’un certaine agence de
réglementation.
La mafia pharmaceutique et agroalimentairede Louis de Brouwer
La médecine moderne est gérée par une oligarchie restreinte mais puissante issue
des grands groupes chimico-pharmaceutiques qui parvient à conditionner les choix
des gouvernements, des politiques et des institutions de la santé grâce à de
prodigieux moyens
Les dérives de l’industrie de la santé
En écrivant L’envers de la pilule, J.-Claude St-Onge a ouvert une véritable
boîte de Pandore. Tant de choses ne tournent pas rond dans notre système de
santé, l’industrie pharmaceutique et nos rapports à la médecine! L’auteur
dévoile dans ce nouvel ouvrage le fruit de ses recherches, une mine
d’informations fouillées, claires et souvent choquantes. Par exemple :les
raisons pour lesquelles tant d’essais cliniques ne sont pas fiables;la
démonstration que le fabricant du Vioxx devait savoir que son médicament était
dangereux pour le cœur;la portion exagérée du coût des médicaments qui est due
au marketing;de nouvelles preuves que les antidépresseurs poussent certains
utilisateurs au suicide et qu’ils n’ont pas l’efficacité qu’on leur prête;la
démonstration qu’une autre politique du médicament est possible et peut sauver
des vies et des milliards de dollars;la façon dont on invente de nouvelles
maladies pour nous abonner aux pilules;comment les agences de contrôle jouent à
la roulette russe avec nos vies;la constatation que le virus de la grippe
aviaire est connu depuis au moins un demi-siècle et qu’il n’a pourtant jamais
provoqué la pandémie si redoutée;et une foule d’autres renseignements qui
pourraient vous protéger contre les dérives
COMMENT EMPECHER VOTRE DOCTEUR DE VOUS TUER docteur Vernon Coleman (anglais
uniquement)
« La personne qui a le plus de probabilité dvous tuer n’est pas un parent ou un
ami ou un agresseur ou un cambrioleur ou un conducteur ivre. La personne qui
risque le plus probablement de vous tuer est votre docteur. Ce livre te montrera
comment se protége
Némésis médicale de Ivan Illich
DEPUIS une dizaine d’années, la médecine rend malades plus de gens qu’elle n’en
guérit. Elle est devenue, de toutes les industries, la plus gaspilleuse,
polluante et pathogène.
L’Impératrice nue Ou la grande fraude médicale de Hans Ruesch
Il expose comment, avec l’aide des agences de presse et par la vénalité des mass
médias, le public a subi un lavage de cerveau le poussant à mettre « soins
médicaux » et « santé » sur un même pied d’égalité, alors qu’en réalité il
s’agit précisément du contraire : la médecine moderne est devenue à présent la
source primordiale des maladies. C’est ainsi qu’en un an, 1,5 million
d’Américains ont dû être hospitalisés par suite de l’administration de drogues
qui auraient dû les « guérir » d’une chose ou d’une autre. L’expérimentation
animale, immanquablement trompeuse, est évidemment l’alibi forgé par la
Puissance Médicale pour extorquer de fabuleuses subventions pour une fausse
recherche et pour protéger les fabricants de médicaments contre les poursuites
en justice chaque fois que les suites néfastes de l’un de leurs produits ne
peuvent plus être cachées. Le présent livre fournit les preuves de ce qui est
avancé et expose au grand jour des faits que nombre d’individus puissants
voudraient voir enterrés à tout jamais.
La mafia blanche : comment les médecins et l’industrie pharmaceutique de mettre
notre santé en danger
Des millions de personnes sont apparemment dus à un parce qu’arbitrairement
défini, haut cholestérol traités avec affectent l’athérosclérose pouvait être
pas prouvé jusqu’à aujourd’hui et la réduction peut même blesser les gens.
L’horrible vérité sur les médicaments anticholestérol
En réalité, les statines n’empêchent ni les infarctus ni les AVC.
Tous les médicaments anticholestérol, les anciens comme les nouveaux, sont
toxiques du fait de leur mode d’action et aussi parce qu’ils privent le corps
d’un facteur protecteur : le cholestérol !
The Bitterest Pills: The Troubling Story of Antipsychotic Drugs (Les pilules les
plus amères: L’histoire troublante de médicaments antipsychotiques)
Antipsychotiques (neuroleptiques) les médicaments sont devenus certains des plus
gros blockbusters de ce début de 21e siècle, de plus en plus prescrit non
seulement pour les citoyens de «schizophrénie» ou d’autres formes graves de
troubles mentaux, mais pour une série de plaintes psychologiques les plus
courants. Ce livre remet en question le compte admis que dépeint
antipsychotiques comme des traitements spécifiques qui ciblent une maladie
cérébrale sous-jacente et explore les premières vues qui a suggéré, en revanche,
que les antipsychotiques atteindre leurs effets en induisant un état de
suppression neurologique. Enthousiasme professionnel pour les antipsychotiques
éclipsé cette compréhension, exagéré les bienfaits des antipsychotiques et
minimisé ou ignoré les preuves de leurs effets toxiques. L’industrie
pharmaceutique a été impliqué dans le développement de l’utilisation des
antipsychotiques dans le territoire où il est probable que leurs dangers
l’emportent largement sur les avantages.
Dear Luise : « sur sa pierre tombale devrait se tenir « le médicament m’a tué »
Luise essayé presque chaque antipsychotiques sur le marché, souvent en même
temps. Le régime et les doses ont été constamment changés et elle ne peut pas
faire mieux. En fait, elle devient de plus en plus pire. Pourquoi son psychiatre
ne jamais revoir son approche thérapeutique ? Luise est dégradée physiquement et
a obtenu plus et plus psychotique comme du temps passé. Ses médicaments a été
augmentée à hauteurs correspondant à trois ou quatre fois les doses recommandées
plus hauts. Elle avait des hallucinations comme jamais auparavant. Elle était
maintenant parfois courir partout pour essayer d’éviter les serpents et fictives
créatures sanglant qui sortent des murs. Pourquoi les spécialistes n’a jamais
réalisé que quelque chose clochait complètement ? POURQUOI ? Il devrait, à mon
avis, ont eu lieu à eux que le diagnostic de Luise peut ont eu tort. Et dans
l’affirmative, le médicament serait trop mauvais. Il s’est avéré que le
diagnostic de Luise n’allait pas. Quand un psychiatre a finalement commencé à
m’écouter, et plus important encore commencé à lire les différents
enregistrements qui pointait dans cette direction, il déclara que Luise
souffrait du syndrome d’Asperger et elle doit arrêter les substances
psychotropes. Malheureusement, à ce moment-là, il était trop tard. Luise est
décédé à l’hôpital en 2005, heures après que elle a eu sa première injection de
dépôt malgré les objections de pénibles de Luise et moi. Nous étions convaincus
qu’il conduise à sa mort et nous avons eu de bonnes raisons de craindre
d’injection de dépôt. Nous avons argumenté que personne ne savait jamais combien
médicament Luise pouvait tolérer qu’elle avait été vomissements toutes les
années. Cependant, Luise prédit que la médication la tuerait. Elle m’a dit
plusieurs fois que sur sa pierre tombale devrait se tenir « le médicament m’a
tué ».
tous fou ? de jean claude Saint-Onge
Une personne en deuil souffrirait de « dépression majeure » si elle n’arrive pas
à surmonter son chagrin après deux semaines. Une personne très timide serait
atteinte de « phobie sociale » et un enfant qui conteste les adultes et les
règles, serait taxé de « trouble oppositionnel avec provocation». Sommes-nous
tous devenus fous ? En 60 ans, le nombre de troubles mentaux répertoriés dans le
DSM, la « bible » des psychiatres, est passé de 60 à plus de 400 alors que la
consommation de psychotropes a augmenté de 4 800 % aux États-Unis au cours des
26 dernières années. Or, cette épidémie de « maladies mentales » est très
largement fabriquée, nous explique J.-Claude St-Onge dans cet essai sur
l’influence démesurée de l’industrie pharmaceutique sur la psychiatrie.
Dying for a cure( mourir pour un traitement)
Peu de temps après la naissance de sa fille Rebecca Beddoe a été diagnostiqué
avec la dépression post-natale. Deux ans plus tard, elle prenait six médicaments
différents, y compris le lithium, un tranquillisant, un antipsychotique, et les
antidépresseurs. Elle avait été diagnostiqué avec un trouble bipolaire; donné la
thérapie de chocs électriques; fait de nombreuses tentatives sur sa vie; et a
été tour à tour maniaque et consommée par le désespoir paralysant au cours de
laquelle elle pouvait à peine bouger. Elle avait une fille de deux ans qu’elle
connaissait à peine et d’une mère et partenaire qui étaient à la fin de leurs
esprits, incapables de reconnaître la femme autrefois ambitieux, dynamique et
très réussi qu’ils aimaient.
Blâmer le cerveau : la vérité sur les drogues et la santé mentale
il expose les nombreuses faiblesses inhérentes dans les arguments scientifiques
soutenant la théorie largement acceptée que les déséquilibres biochimiques sont
la principale cause des maladies mentales. Valenstein révèle comment, à partir
des années 1950, la découverte accidentelle de quelques psychotrope drogues
stimulée par un énorme intérêt en psychopharmacologie, résultant en croissance
stupéfiante et bénéfices pour l’industrie pharmaceutique. Qu’il met à nu les
motivations commerciales des compagnies pharmaceutiques et leur enjeu énorme
dans l’expansion de leurs marchés. Prozac, Zoloft et Thorazine sont
quelques-unes des drogues psychoactives qui ont changé radicalement la pratique
dans la profession de la santé mentale. Des médecins leur prescrivent
aujourd’hui en grand nombre même si, comme plusieurs grandes études révèlent,
leur efficacité et l’innocuité ont été grandement exagérées.
psychiatrie sous Influence
Psychiatrie sous l’Influence : la Corruption institutionnelle, blessures
sociales et ordonnances pour la réformePsychiatrie sous l’Influence étudie
comment l’influence des pharmaceutiques d’argent et les intérêts de la Guilde a
corrompu le comportement de l’American Psychiatric Association et de la
psychiatrie universitaire au cours des 35 dernières années. Le livre documente
comment l’établissement psychiatrique régulièrement induit en erreur le public
américain sur ce que l’on savait sur la biologie des troubles mentaux, la
validité des diagnostics psychiatriques et de l’innocuité et l’efficacité de ses
médicaments. Il examine également comment ces deux influences corruptrices
encourager l’élargissement des limites diagnostiques et la création de guides de
pratique clinique biaisée. Ce type de corruption a entraîné d’importantes
blessures sociales et en particulier, un société manque de consentement
concernant l’utilisation de drogues psychiatriques et les pathologiser des
comportements normaux chez les enfants et les adultes.
psychiatrie mortelle et négationnisme organisé
Malheureusement, la psychiatrie tue…
Il n’y a aucun doute que la façon dont nous utilisons actuellement des
médicaments utilisés en psychiatrie fait beaucoup plus de mal que de bien. Les
médicaments utilisés en psychiatrie sont tellement nocifs qu’elles tuent plus
d’un demi-million de personnes chaque année parmi les 65 ans et plus aux
États-Unis et en Europe. Ce qui rend les drogues psychiatriques la troisième
cause de mortalité, après les maladies cardiaques et le cancer. Nous pourrions
réduire notre consommation actuelle de médicaments psychotropes de 98 % et en
même temps améliorer la survie et la santé mentale de la population. Il n’y a
rien de patients psychiatriques craignent plus de traitement forcé, et il s’agit
de des principales raisons pourquoi avoir un contact étroit avec le système de
traitement psychiatrique nettement augmente des suicides. Selon une convention
des Nations Unies, traitement forcé constitue une violation des droits de
l’homme et doit être interdit, et les données empiriques ont montré qu’une
psychiatrie sans traitement forcé est possible.

Publié dans BIG PHARMA et la mafia du crime médical organisé, Drogues médicales
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LE CANNABIS PEUT ÊTRE TRÈS DANGEREUX

Publié le 9 mars 2011 par drogue88
Psychose et cannabis
Les études indiquent que le THC, un produit chimique psychoactif présent dans le
cannabis, peut induire une psychose chez les personnes dont le cerveau est sain
Comment le cannabis peut favoriser les troubles psychotiques (12 à 24 heures, ou
plus, dans certains cas)
Jusqu’à 15 % des consommateurs indemnes de pathologie psychotique présentent des
symptômes psychotiques lors de la consommation, notamment des idées délirantes
de devinement de la pensée, des idées délirantes de référence dans laquelle le
sujet pense que certains éléments de l’environnement possèderaient une
signification particulière pour lui, des états de
déréalisation/dépersonnalisation et de désorganisation de la pensée [2]. Ces
symptômes apparaissent une heure à 1 heure 30 environ après le début de la
consommation, peuvent durer 12 à 24 heures et disparaissent en quelques jours,
une semaine maximum (pour revue, [3]). Ces effets sont liés aux effets agonistes
du delta-9-tetrahydrocannabinol (Δ-9-THC) sur les récepteurs cannabinoïdes
cérébraux CB1
Cannabis : les études révèlent un risque élevé de psychose et de schizophrénie
Une nouvelle étude révèle que les consommateurs et consommatrices réguliers de
cannabis seraient plus enclins à développer des pathologies mentales comme la
schizophrénie.
Cannabis et médecine
En 1937, Harry Junior Anslinger, personnage hypocrite, arriviste, corrompu par
l’industrie pétrochimique, directeur du Narcotics Bureau, déclara la guerre au
chanvre pour des raisons racistes, économiques, mais nullement sanitaires
cannabis : l’histoire
vidéo
conspiration cannabis
vidéo
Le chanvre
L’huile de chanvre si elle était produite est correctement la panacée que
l’industrie pharmaceutique ne peut faire breveter
Cannabis : un an après, le Sativex® ne devrait plus trop tarder à être mis sur
le marché
Le SATIVEX®, commercialisé dans plusieurs pays européens, notamment en Allemagne
et au Royaume-Uni, est un médicament utilisé chez certains patients atteints de
sclérose en plaques, pour soulager les contractures sévères (spasticité),
résistantes aux autres traitements.
Le cannabis tue: un médecin le prouve
Fumer de l’herbe peut entraîner de sérieuses insuffisances cardiaques, selon un
médecin légiste allemand. Même les consommateurs occasionnels pourraient être
touchés par ce problème.
Les consommateurs de marijuana sont 4 fois plus susceptibles de développer une
dépression.
Une étude a porté sur 1.920 personnes, et les a suivis pendant 16 ans. Il a
découvert que les personnes qui fumé de la marijuana étaient 4 fois plus
susceptibles de développer une dépression.
La marijuana a presque tripler le risque de développer des symptômes
psychotiques. Une étude de 3 ans suivi 4.045 personnes sans psychose. Il est
venu à la conclusion que les fumeurs de marijuana sont trois fois plus
susceptibles de développer des symptômes psychotiques (y compris de
maniaco-dépression) que les non-fumeurs.
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SEVRAGE À L’HÔPITAL OU EN CLINIQUE : DANGER !!

Publié le 9 mars 2011 par drogue88

Mise en garde : En France aussi, hélas, on torture jusqu’au suicide les victimes
des benzodiazépines / somnifères / anxiolytiques, dans les cliniques et
hôpitaux. Et pas que….. : les généralistes font la même chose…(reportage RTS 11
/ 2022)

https://youtube.com/watch?v=9fpfkVDws8M
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ACCROS AUX MÉDICAMENTS

Publié le 9 mars 2011 par drogue88

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DÉFONCE, BENZODIAZÉPINES, SOMNIFÈRES, ANXIOLYTIQUES, DÉPENDANCES, STUPÉFIANTS
(ANTICHOLINERGIQUES)

Publié le 12 novembre 2010 par drogue88






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OVERDOSE DE PILULE : COMMENT BIG PHARMA EXPLOITE LA SANTÉ MENTALE / OVERPILL.
WHEN BIG PHARMA EXPLOITS MENTAL HEALTH

Publié le 12 novembre 2010 par drogue88



Publié dans BIG PHARMA et la mafia du crime médical organisé, Drogues légales,
Drogues médicales | Laisser un commentaire


LES MÉDICAMENTS PSYCHIATRIQUES : BEAUCOUP PLUS DANGEREUX QUE VOUS NE L’AVEZ
JAMAIS IMAGINÉ ! / PSYCHIATRIC DRUGS: MORE DANGEROUS THAN YOU EVER IMAGINED’ BY
DR PETER BREGGIN

Publié le 30 septembre 2010 par drogue88

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BENZODIAZÉPINES : « PIRE QUE L’HÉROÏNE » TÉMOIGNAGES

Publié le 21 août 2010 par drogue88
« je me suis sorti des opioïdes et comparé à ces merdes de benzos, c’était du
pipi dans l’eau »

Le xanax est plus addictif que l’héroïne !
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faut aller dans l’autre commande (a coté de sous titre), Puis, cliquer sur sous
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LE TERME SCIENTIFIQUE POUR UNE DROGUE EST « UN PSYCHOTROPE ».

Publié le 25 juin 2010 par drogue88
La drogueLe présent texte est partiellement remplacé par un nouveau :
http://www.4p8.com/eric.brasseur/toxicomane.html



Le terme scientifique pour une drogue est « un psychotrope ». L’effet d’un
psychotrope est d’agir sur le fonctionnement du cerveau.  

Le cerveau est capable de faire un grand nombre de choses : dormir, être excité,
avoir du plaisir, avoir des angoisses, ressentir les choses que les cinq sens
lui transmettent, avoir des souvenirs, penser à des choses, revoir des
souvenirs, rêver, reconnaître des formes et des structures…

Le rôle d’un psychotrope est de déclencher ces choses artificiellement. Ou de
les empêcher.

Le cerveau est capable de dormir. Et bien il existe une famille de psychotropes,
que l’on appelle les somnifères, dont l’effet est de mettre le cerveau en état
de sommeil. En général, on ne peut pas dormir « sur commande ». Il faut attendre
le soir… Mais si on prend un somnifère, une demi-heure après on est en train de
dormir. L’effet du somnifère peut être tellement fort qu’on est impossible à
réveiller. S’il est administré en piqûre intraveineuse ou en inhalation, le
somnifère peut agir en quelques secondes.

Les anxiolytiques sont des psychotropes qui empêchent le mécanisme de l’angoisse
dans le cerveau. Les psychiatres les prescrivent à des personnes qui ont de
fortes angoisses.

Les antidouleurs sont des psychotropes qui empêchent le cerveau de ressentir de
la douleur. Ils bloquent le mécanisme de la douleur. Les antidouleurs les plus
utilisés, en vente libre, sont l’acide acétylsalicylique (aspirine) et le
paracétamol (molécule proche de l’acide acétylsalicylique). Ils sont utilisés
pour des maux de tête, des douleurs musculaires… (A faible dose l’aspirine peut
avoir un effet curatif, parce qu’elle a également la propriété de favoriser la
circulation du sang.) (Attention : même s’ils sont en vente libre et donc
supposés sans danger, une surconsommation de ces deux produits peut entraîner
des lésions internes graves voir la mort.) Les opiacés quant à eux sont toute
une gamme d’antidouleurs : par exemple la codéine (antidouleur en vente libre
dans certains pays), la morphine (antidouleur puissant couramment utilisé en
milieu hospitalier) et l’héroïne (en principe interdit mais qui a été utilisé en
milieu hospitalier pour des cas extrêmes). L’usage de l’héroïne s’est avéré
problématique. Il semble que la meilleure solution pour les situations graves
est la morphine, diffusée en continu dans le sang du patient, au débit le plus
faible possible. Les opiacés peuvent réduire des douleurs physiques même graves
(par exemple les douleurs causées par un cancer ou des brûlures), qu’aucun autre
antidouleur n’arrive à calmer. Ils réduisent aussi les douleurs mentales :
remords, tracas, angoisses, culpabilité… Ce second effet contribue à les rendre
dangereux. De nouveaux antidouleurs seraient en développement, plus puissants
que la morphine et qui n’ont pas d’effet sur le mental. Il existe également des
antidouleurs artificiels dont les molécules sont chimiquement apparentées aux
opiacés.

Les hallucinogènes sont des psychotropes très intéressants. Ils modifient ce que
le cerveau voit, entend, sent, sa perception de la taille des choses, du temps…
Par exemple : notre cerveau dispose d’un ensemble de neurones dont la fonction
est de se rendre compte et de gérer le fait qu’un objet s’allonge. Si, en temps
normal, on regarde un objet inanimé comme une brique, ces neurones ne seront pas
stimulés. La conscience percevra que cette brique ne s’allonge pas. Par contre
si on regarde un élastique sur lequel quelqu’un tire, ces neurones seront
stimulés. Ils transmettront le message « L’objet est en train de s’allonger ! »
La conscience percevra donc que l’élastique est en train de s’allonger. Mais si
on prend du LSD, ces neurones vont être mis en fonctionnement intempestivement.
Ils fonctionneront, même si on est en train de regarder la brique. On aura donc
l’impression que la brique est en train de s’allonger ! Tout le système de
perception va être « détraqué », que ce soit pour la perception visuelle,
auditive, le temps, le fait de se rendre compte qu’il y a des choses derrière ce
que nous observons, la remontée de souvenirs… Un bon hallucinogène fait même
voir et vivre des choses « sur base de rien », simplement parce que le cerveau
est techniquement capable de se rendre compte que ces choses arrivent. On peut
avoir l’impression de voler, de tomber, de nager… Si tous les centres de
perception sont détraqués en même temps, on peut par exemple avoir l’impression
de nager dans de l’air qui est en train de s’étirer. Il peut aussi y avoir une
confusion entre les sens : on peut entendre des couleurs et voir des sons. Comme
les hallucinogènes peuvent faire découvrir des choses à une personne, sur la
façon dont son cerveau travaille et sur la façon dont elle peut percevoir le
Monde, ils sont un outil initiatique intéressant. Beaucoup de tribus et de
groupes les utilisent à cette fin. Ils font prendre une dose d’hallucinogène aux
jeunes, lors des rites d’initiation. Certains artistes considèrent que
l’expérience qu’ils ont vécue en prenant une fois un hallucinogène leur a appris
beaucoup de choses. Ils peuvent permettre à des personnes qui ont un niveau
spirituel encore faible de vivre certaines expériences avec plus de profondeur
et d’intensité. Les hallucinogènes peuvent aussi être très dangereux : un
automobiliste qui a l’impression que la voiture devant lui freine brusquement,
une personne en haut d’une falaise qui a l’impression qu’elle peut voler, une
personne terrorisée par les monstres qu’elle voit sortir du sol… tous risquent
des accidents graves. Ils ne faut prendre un hallucinogène que sous la
protection rapprochée de personnes fiables et initiées (même si on est fiable et
initié soi-même) (les personnes qui ne suivent pas cette règle ne sont donc ni
fiables ni initiées).

Un champignon de la famille des amanites contient un psychotrope qui met le
cerveau en situation de combat. En cas de menace grave le cerveau peut se mettre
dans un mode accéléré : les réflexes seront beaucoup plus rapides, la conscience
se focalisera sur toutes les menaces qui entourent la personne. On voit le monde
autour de soi bouger très lentement, on devient beaucoup plus rapide. Les
soldats de métier connaissent bien cet état. Ils savent s’y préparer avant
chaque bataille. Ce psychotrope extrait du champignon semble à priori très
intéressant. Les gaulois l’ont utilisé. L’armée américaine a fait des recherches
pour essayer de l’utiliser pour déclencher le mode de combat chez les soldats.
Mais ils ont abandonné l’idée. Ils ont fait quelques essais, dont la conclusion
a été la suivante : ce n’est pas une bonne idée d’en donner aux soldats
inexpérimentés, parce qu’ils risquent de se mettre à faire n’importe quoi. Ils
ne sont pas à la hauteur. Quant aux professionnels, ils n’en ont pas besoin. Ils
trouvent même que ce produit les dérange, que cela diminue leurs performances.

La caféine, les amphétamines, la cocaïne… sont des psychotropes qui stimulent
l’activité du cerveau. Ils rendent actif, font en sorte que l’on perçoit mieux
ce qui se passe.

(L’héroïne et la cocaïne sont des psychotropes qui de prime abord ont une action
opposée : l’héroïne calme alors que la cocaïne excite. Mais ils ont en commun
une caractéristique essentielle : ils agissent sur les centres de l’approbation.
Ils engendrent des sensations de plaisir et un sentiment de bien-être. Du fait
de leur importance de cette caractéristique, un chapitre entier leur est
consacré plus loin dans ce texte.)

Les neuroleptiques font tout simplement cesser l’activité du cerveau. Une
personne qui a pris une forte dose de neuroleptique ne peut plus poser aucun
acte, ne peut plus réfléchir, ne sait plus qui elle est.

La kétamine fait cesser l’activité des neurones qui amènent aux cerveau les
informations de l’extérieur. On ne voit plus rien, on n’entend plus rien, on ne
sent plus rien, mais on reste éveillé. Alors le cerveau se met à générer
lui-même des images, des sons, des sensations. On peut « voir » n’importe quoi :
des personnes qu’on a connues, des paysages, Dieu…

En général, l’effet d’un psychotrope finit toujours par cesser, ou diminuer.
Cela peut prendre quelques minutes ou quelques heures. Il y a à cela plusieurs
raisons, très différentes :
Certains produits sont détruits au moment où ils produisent leur effet. Donc
quand toutes les molécules du produit ont fait leur travail, il n’en reste plus
dans l’organisme. Il n’y a plus d’effet.
Certains produits sont évacués par l’urine, la respiration ou la transpiration.
C’est le travail des reins, des poumons ou de la peau. Quand tout le produit a
été évacué… il n’y a plus d’effet.
Le foie et d’autres organes vont travailler à éliminer le produit. Les molécules
du produit vont être cassées en morceaux. Ces morceaux ne produisent pas d’effet
et sont éliminés, ou utilisés pour les fonctions normales de l’organisme.
Le cerveau va compenser l’effet du produit. Le produit est toujours là, mais le
cerveau réussit à contrebalancer ses effets. On ne ressent donc plus rien.
Certains produits mettent très longtemps à être éliminés. Leur effet peut durer
des années ! En restant bloquées dans le cerveau, les molécules d’opiacés
causent l’effet inverse de leur effet initial : le consommateur ressentira des
douleurs physiques et morales. Un traitement médical peut permettre de forcer le
cerveau à éliminer les molécules d’opiacé « bloquées » dans le cerveau.

Parfois l’effet ne cessera jamais, tout simplement parce que le produit a
détruit des choses dans le cerveau. C’est par exemple le cas des molécules
d’héroïne artificielle produite par des étudiants en chimie : les destructions
qu’elles ont occasionnées dans le cerveau leur ont donné une maladie de
parkinson dont ils ne pourront pas guérir.

Beaucoup de psychotropes déforment la personnalité si on les prend régulièrement
pendant de longues périodes. Probablement surtout si les effets continuent
pendant qu’on est en train de dormir. Le cerveau a sa perception du monde
faussée par les effets du produit. Il va donc « s’adapter », se changer au fil
du temps, dans un sens qui répond aux perceptions que lui donnent les effets du
psychotropes. A cause de cela certaines personnes deviennent asociales,
paranoïaques, prostrées… S’ils arrêtent de prendre du produit il leur faudra
plusieurs années pour que le cerveau se « recâble » d’une façon plus naturelle.
Un cas très intéressant est celui de beaucoup d’héroïnomanes. Ce sont des
mythomanes achevés. Au fil du temps ils se persuadent de ce qu’ils veulent
croire à un point extrême. Ils sont réellement convaincus de ce qu’ils vous
disent. L’héroïne a permis une modification à la racine de leurs souvenirs.
L’héroïne n’attaque pas directement les neurones qui gardent les souvenirs. Mais
l’héroïnomane vit dans les rêves délirants que lui procure l’héroïne et son
cerveau finit par enregistrer ces rêves comme étant la réalité. Le jugement des
centres du souvenir est faussé par l’héroïne.

Un cas pernicieux est par exemple celui du LSD, qui peut se stocker dans les
graisses de l’organisme. Un jour, sans qu’on s’y attende, les cellules de
graisse libèrent le LSD qu’elles avaient stocké… C’est une loterie : cela peut
arriver ou ne pas arriver. C’est pour cette raison que l’administration
américaine part du principe qu’un homme qui a consommé plusieurs fois du LSD
doit être considérée comme fou. A tout moment du LSD peut se libérer dans son
organisme et lui faire faire n’importe quoi. Toute personne se destinant à une
carrière importante doit éviter le LSD, parce qu’il est parfois possible de
détecter la prise de LSD plusieurs années après. (Ceci est également vrai pour
l’héroïne.)

Un détail technique, qui a son importance : des psychotropes qui ont les mêmes
effets peuvent en réalité agir sur des parties totalement différentes du
cerveau.

Certains antidouleurs vont bloquer les signaux de douleurs avant qu’ils
n’atteignent le cerveau. D’autres ne vont pas bloquer la douleur, mais vont
empêcher le cerveau de s’en rendre compte…

Les benzodiazépines sont des somnifères qui agissent d’une façon tout à fait
différente des opiacés. Ils ont été largement adoptés parce qu’ils n’avaient pas
les effets secondaires des opiacés.

La plupart des produits cumulent plusieurs effets psychotropes différents :

La morphine est un antidouleur, un anxiolytique, un somnifère et un stimulant
des centres du plaisir.

Les THC, contenus dans le cannabis, sont hallucinogènes et anxiolytiques.

La cocaïne est un puissant insensibilisant et un vasoconstricteur quand elle
touche une partie du corps. Mais elle est un stimulant, un anxiolytique et un
stimulant des centres du bien-être quand elle touche le cerveau.

La raison pour laquelle un produit semble avoir plusieurs effets n’est pas
toujours directement liée à ses effets directs sur le cerveau. Par exemple une
personne qui a pris un peu d’alcool ou de morphine peut devenir très active. Ces
deux produits ne sont pourtant pas des stimulants. L’explication est sans doute
que cette personne a des blocages, elle est angoissée. Quand elle est libérée de
ses blocages par le produit, désinhibée, elle se découvre la possibilité de
faire des tas de choses. Elle est libérée de ses contraintes

Certains psychotropes ont des effets secondaires comme le manque. Après l’effet
du produit, le cerveau va ressentir l’effet contraire. C’est le contrecoup. Par
exemple, un peu après que l’effet de certains anxiolytiques se soit estompé, la
personne va ressentir de fortes angoisses. C’est pour cette raison que l’on
donne instruction aux personnes qui prennent ces produits de les prendre en
continu et d’arrêter graduellement. L’héroïne procure un plaisir et un bien-être
intense. Quand l’effet cesse, l’héroïnomane ressent de très fortes douleurs et
vit des angoisses abominables. Cet enfer peut être tellement horrible que
certains en meurent. Pour éviter de vivre cela l’héroïnomane est obligé d’en
reprendre dès que les effets de la prise précédente commencent à s’estomper.
S’il ne prend pas de nouvelle dose, il lui faudra plusieurs jours pour revenir à
un état normal. Pendant tout ce temps il souffrira énormément. C’est ce qu’on
appelle « le manque physique ». Beaucoup de toxicomanes endurcis ne ressentent
plus aucun plaisir quand ils prennent de la drogue, ils la consomment uniquement
pour éviter le manque, pour ne pas crever de douleur et d’angoisse.

(Le manque physique de l’héroïne apparaît dès la première dose et s’estompe en
quelques jours. Avec l’alcool, c’est exactement l’inverse : il faut plusieurs
mois de consommation d’alcool pour que le manque physique apparaisse, mais alors
on le garde à vie.)

Le café et la cocaïne stimulent l’activité du cerveau. Ils le poussent à fond,
lui font utiliser toutes ses réserves de molécules neurotransmetteurs. Après un
certain temps, ou quand l’effet du produit cesse, le cerveau ne dispose plus de
neurotransmetteurs. Alors l’activité cérébrale de la personne s’effondre, comme
si elle avait pris un neuroleptique. Beaucoup d’étudiants en ont fait les
frais : ils boivent un paquet de café sur la nuit afin de finir d’étudier un
gros examen. Ils connaissent bien leur matière. Mais ils arrivent devant le
professeur au moment où l’effet du café cesse. Ils sont comme hébétés, ne savent
pas quoi répondre aux questions du professeur. Ce n’est que quelques heures plus
tard, quand le cerveau a reconstitué ses réserves de neurotransmetteur et
reprend son activité normale, que l’étudiant se met à pouvoir répondre de façon
limpide et précise aux questions qui lui avaient été posées… mais c’est trop
tard. Ce phénomène explique aussi pourquoi les consommateurs de cocaïne passent
pour être de grands paranos : quand l’effet s’estompe, le bien-être fait place à
son contraire : des angoisses, des peurs, un sentiment d’insécurité, un délire
de persécution. En même temps, le cerveau est dans un état de
non-fonctionnement, incapable de mettre une idée devant l’autre, de se
raisonner. La réaction normale d’un humain quand il se sent menacé et qu’il
n’arrive pas à gérer la situation, c’est la colère. Il se fâche, il explose, il
attaque.

L’accoutumance est le fait que le cerveau devient moins sensible au produit. Il
s’habitue. Il faut lui administrer des doses plus fortes pour obtenir le même
effet. Il y a à cela plusieurs raisons possibles :
Le cerveau ou d’autres organes mettent en place des défenses pour atténuer ou
même empêcher complètement les effets du produit. Ou pour l’éliminer plus
rapidement de l’organisme.
Le produit détruit ou insensibilise les zones du cerveau sur lesquelles il agit.
Il s’empêche ainsi lui-même d’avoir de l’effet.
Le produit agit sur certains récepteurs chimiques des neurones. Le produit
sature ces récepteurs, il les occupe. Les neurones ont donc l’impression de
manquer de récepteurs. Ils se mettent à en fabriquer de nouveaux. Ainsi la
surface des neurones se couvre d’un plus grand nombre de récepteurs. Donc, pour
stimuler tous ces récepteurs, il faudra une plus grande quantité de produit.
(Réciproquement cela a un effet sur l’intensité du manque : quand ces nombreux
récepteurs se trouvent privés de leur stimulant, l’effet du manque sera d’autant
plus fort qu’il y avait un grand nombre de récepteurs. Ce développement
anarchique de récepteurs est un grave problème pour le drogué. S’il arrête la
consommation de son psychotrope pendant un temps suffisant, une partie de ces
récepteurs se mettront en sommeil. Le drogué pourra donc reprendre une vie plus
normale. Mais ces récepteurs sont toujours là. Si le drogué reprend du produit,
la première prise peut avoir un effet assez fort. Mais les récepteurs vont se
réveiller bien vite. Le drogué reviendra donc très rapidement dans sa situation
de toxicomanie, avec une forte accoutumance et un manque important. Tous ses
récepteurs, rapidement rouverts, crient famine. Cette trop grande quantité de
récepteurs est un handicap définitif pour le drogué, acquis. Quoiqu’il
semblerait qu’après plusieurs années ils puissent se résorber et disparaître.)

Les conséquences de la prise inconsidérée de psychotropes sont nombreuses et
très variées :
Des personnes en bonne santé font une crise cardiaque parce qu’elles font des
efforts en ayant pris de la cocaïne. Ce pour plusieurs raisons, qui se
cumulent :
Comme elles se sentent très bien, elles ne ressentent pas la fatigue qui leur
signale qu’il est temps d’arrêter.
La cocaïne est un excitant. Elle pousse à se dépenser, à courir plus vite et
plus loin. Donc à faire travailler le coeur plus fort.
La cocaïne est un vasoconstricteur. Elle fait se resserrer les vaisseaux
sanguins. Le coeur doit donc pomper plus fort pour faire circuler le sang.
La cocaïne masque la soif. La personne peut donc travailler ou faire du sport
longtemps sans se rendre compte qu’elle devrait boire. La déshydratation rend le
sang plus épais, plus difficile à faire circuler. Le coeur doit pour cela aussi
pomper plus fort pour compenser.
L’alcool est à l’origine d’un très grand nombre d’accidents de la route.
Beaucoup de psychotropes peuvent entraîner des accidents ménagers. Même la
cigarette, mais pas à cause de ses effets : si on n’est pas très prudent elle
peut causer des incendies.
Les consommateurs d’extasy se retrouvent au bout de quelques temps avec des
reins détruits et une colonne vertébrale fragilisée.
Des personnes sont brûlées au troisième degré parce qu’elles ont pris de la
morphine ou de l’héroïne. Ce sont de puissants antidouleurs qui peuvent même
empêcher de sentir qu’un flamme vous lèche le corps.
Quelqu’un qui se nourrit bien et qui consomme des quantités raisonnable
d’héroïne de bonne qualité n’aura aucun dégât physique, même après quelques
années. Les graves problèmes liés à la consommation d’héroïne sont des effets
pervers. A cause du produit certaines personnes se négligent : elles mangent
mal, ne vont pas chez le dentiste… au bout d’un an ou deux elles sont maigres,
leur peau est comme du parchemin, elles ont déjà perdu quelques dents. Certains
dealers coupent leur héroïne avec des produits comme de la strychnine ou de la
mort-au-rat. Les effets de l’héroïne sur le mental de gros consommateurs est
dévastateur : ils deviennent des prédateurs à la recherche de leur dose,
totalement coupés des autres êtres humains.
L’héroïne, la cocaïne et le LSD peuvent être pris par piqûre. En se prêtant
leurs seringues entre eux, beaucoup de toxicomanes ont attrapé des maladies
graves comme le SIDA et l’hépatite B. Certains groupes de toxicomanes
considèrent carrément que se passer la même seringue de l’un à l’autre fait
partie du rite. Cela augmente leur plaisir en créant un sentiment d’identité de
groupe. Dans le cas de l’héroïne, comme l’accro est virulent, un toxicomane peut
utiliser une seringue même s’il sait qu’elle a été utilisée par une personne
contaminée.
Le LSD, la cocaïne et l’alcool, surtout à fortes doses, causent la destruction
de cellules du cerveau. Quand on découpe le cerveau d’une personne morte d’une
cirrhose du foie due à l’alcool, on découvre que de grandes parties de son
cerveau sont devenues des plaques de matière inerte. Dans le cas de fortes doses
de LSD les lésions sont moins évidentes à observer physiquement. Mais les
personnes qui ont fait cela disent « avoir perdu quelque chose ».
Le crack est une drogue très destructrice. Comme elle se prend par inhalation on
a cru un moment qu’au moins elle n’augmenterait pas la propagation du SIDA. On a
déchanté : les personnes sous l’effet du crack ont un comportement sexuel
démentiel. Ils « sautent sur tout ce qui bouge », sans prendre la moindre
précaution.
Le tabac est la source de psychotrope qui a les conséquences les plus nombreuses
sur la population. 5% des personnes ont une insuffisance respiratoire pénible à
cause du tabac. Les maladies graves liées à la consommation de tabac sont
nombreuses : cancer, gangrène des jambes, emphysème… Les conséquences sont
importantes aussi pour les personnes qui ne fument pas mais vivent avec des
fumeurs. Ils auront les même problèmes que les fumeurs.

La dopamine

Pour appréhender le mécanisme des drogues dures il est essentiel de comprendre
le mécanisme de la dopamine. C’est une des nombreuses molécules produites et
utilisées par le cerveau.

Dans la vie normale d’un animal, la dopamine est sécrétée lorsqu’il fait quelque
chose de « bien ».

A quoi cela sert-il ? Prenons un exemple : l’animal mange une plante qu’il n’a
encore jamais rencontrée.

Cette plante est riche en vitamines. Il serait donc bon que l’animal mange
d’avantage de cette plante.

Le cerveau, sensible aux effets bénéfiques de la richesse en vitamines, va faire
se déclencher une petite production de dopamine. Cette production de dopamine se
caractérise par une sensation de plaisir. Elle aura pour effet technique que
l’animal va enregistrer dans sa mémoire que cette plante est une bonne chose.

A l’avenir, la seule vue ou l’odeur de cette plante déclenchera déjà une petite
production de dopamine dans le cerveau. Cela pousse l’animal à en manger.

Le réflexe de production de dopamine s’entretient et se renforce à chaque fois
que l’animal mange et remange de cette plante.

Quand l’animal manque de vitamines, son cerveau fera en sorte que le souvenir de
la plante lui vienne à l’esprit, avec une forte envie d’en manger.

L’endroit où se trouve la plante, le contexte, est très important. Si l’animal
passe par hasard à cet endroit, son cerveau se rendra compte que c’est le
périmètre où pousse la plante. Il libérera automatiquement une petite dose de
dopamine, associée au souvenir de la plante. L’animal se mettra aussitôt à la
recherche de la plante. C’est logique : comme elle est dans les parages, autant
en profiter…

Si la plante est vraiment bonne, mais difficile à trouver, la production de
dopamine peut devenir très forte : pour encourager l’animal à fournir les
efforts nécessaire pour trouver cette plante.

La dopamine est « la molécule de l’approbation ». Quand il y a production de
dopamine, c’est comme si le cerveau mettait un cachet « Testé et Approuvé ».

L’héroïne, la cocaïne, l’alcool, la nicotine et le cannabis ont la particularité
de causer de façon directe la production de dopamine. La prise de ces produits
engendre donc des sensations de plaisir, de bien-être ou d’assurance.

Ces produits court-circuitent tout le mécanisme d’apprentissage et de gestion de
la vie. Plus besoin de faire des choses qui sont bonnes pour ressentir du
plaisir : il suffit d’absorber un de ces produits. Ils « attaquent » les centres
du plaisir et déclenchent directement la production de dopamine. Le cerveau
recevra des doses de dopamines, sans qu’il n’y ait aucune bonne raison à cela.

Comme ils touchent au mécanisme de l’apprentissage ils engendrent le phénomène
de l’accro psychologique. La personne « apprend » qu’il faut à tout prix qu’elle
prenne de ce produit. Pour bien comprendre le phénomène de l’accro psychologique
voici une longue analogie :

Supposons que votre corps est une entreprise. A la tête de cette entreprise, il
y a le service de direction : votre cerveau. La personne à la tête du service de
direction, c’est le directeur. Le directeur n’est pas très malin. Il se prend
très au sérieux. Il donne des ordres que les employés suivent à la lettre. Mais
il ne comprend pas très bien comment fonctionne l’entreprise. Pour prendre ses
décisions, le directeur se base sur une seule chose : les bénéfices. Toute la
journée le comptable lui envoie des notes avec l’état des bénéfices. Le
directeur regarde attentivement ces chiffres et essaye de les coréler avec ce
qui s’est passé pendant la journée. Supposons par exemple qu’un jour il y ait eu
beaucoup de bénéfices. Le directeur est très content. Il se demande « Mmmmm, à
quoi pourrait bien être dû le fait que nous avons fait tant de bénéfices
aujourd’hui ? Oui oui : l’élément inhabituel, c’est que nous avons engagé
l’intérimaire Jean Dupont. Aha ! Il y cinq jours nous avions aussi fait de très
bons bénéfices, et justement ce jour là aussi Jean Dupont est venu travailler
chez nous. Et bien c’est clair : dorénavant je ferai venir Jean Dupont le plus
souvent possible. » Le directeur passe son temps à essayer de deviner ce qui a
fait augmenter ou baisser le chiffre d’affaire et il agit en fonction. Si à
chaque visite de l’intérimaire Alfred Ducroc le chiffre d’affaire baisse, le
directeur donnera l’ordre d’essayer de l’éviter. Si le directeur remarque que si
on fait venir l’intérimaire Jean Dupont sans arrêt cela fait baisser le chiffre,
alors il donnera l’ordre de ne tout de même pas le faire venir trop souvent
(c’est le phénomène de l’écoeurement). Un jour arrive un intérimaire très
spécial : l’intérimaire héroïne. Il ne fait rien du tout pour l’entreprise, il
ne fournit aucun travail. Mais il fait une chose bien précise : lorsque le
comptable envoie la note des bénéfices au directeur, il l’intercepte et il la
transforme : il augmente le chiffre des bénéfices. Il ajoute carrément un zéro !
Quand le directeur reçoit cette note, il est transporté de joie. Il comprend
tout de suite que cet intérimaire est quelqu’un d’excessivement précieux. Mais
comme l’intérimaire héroïne n’a en réalité fait aucun travail, les bénéfices de
l’entreprise ne sont pas très bons. Donc la note suivante du comptable sera
mauvaise. Alors le directeur, très inquiet, donne l’ordre qu’il faut absolument
trouver l’intérimaire héroïne et lui demander de travailler. Aussitôt qu’il
vient, bingo, le directeur reçoit une note du comptable avec un chiffre
mirobolant ! Le directeur ne peut bientôt plus se passer de l’intérimaire
héroïne. Sans lui, le chiffre des bénéfices s’écroule… Pire : le comptable, sans
le faire exprès, va essayer de compenser les notes mirobolantes. Il va envoyer
des notes au directeur avec des chiffres négatifs. Des chiffres aussi énormes
que les chiffres de l’intérimaire héroïne, mais en négatif. L’horreur ! Cela
plonge le directeur dans le plus profond désespoir. Il est envahi d’une immense
douleur, il se torture à essayer de comprendre s’il a fait de mauvais choix. Il
donne l’ordre à tout le personnel de l’entreprise de cesser toute activité et de
se consacrer à la recherche de l’intérimaire héroïne. Lui seul peut sauver la
situation ! La simple annonce du fait qu’on l’a trouvé et qu’il est en train de
s’installer à son poste de travail remplira le directeur d’excitation.
L’intérimaire héroïne est très vicieux : au bout de quelques temps il ne se
fatigue même plus à remplir des chiffres mirobolants sur les notes de bénéfice.
Il se contente de gommer les gros chiffres négatifs que le comptable met et de
mettre un zéro ou de petits chiffres positifs à la place.

En quelques mois l’entreprise fera faillite.

Qu’est-ce qu’il faut faire pour éviter que pareille chose n’arrive ?

La première solution qui vient à l’esprit est bien sûr d’éviter que
l’intérimaire héroïne ne puisse entrer dans l’entreprise. Mais ce n’est pas
toujours réalisable. De plus, cela peut engendrer un phénomène pernicieux : si
le directeur a déjà eu recours aux « services » de l’intérimaire héroïne, il est
prêt à beaucoup d’efforts pour l’engager à nouveau. S’il est difficile à
trouver, le directeur deviendra très inquiet. Lorsqu’enfin on l’aura trouvé et
qu’il aura fait parvenir une note de bénéfice bien grassouillette, Le directeur
se sentira tout particulièrement heureux, très soulagé. Plus l’intérimaire
héroïne est difficile à trouver, plus le directeur aura besoin de lui et mettra
toutes les ressources de l’entreprise à profit pour partir à sa recherche.
Rendre l’intérimaire héroïne difficile à obtenir est une mauvaise stratégie.

Certains diront qu’il faut punir le directeur quand il recourt à l’intérimaire
héroïne : le critiquer ou le mettre en prison. C’est également une très mauvaise
méthode : elle augmente d’autant le besoin du directeur de recourir à ses
services.

La bonne solution est sans doute plutôt de mieux éduquer le directeur, faire en
sorte qu’il soit plus intelligent et plus sûr de lui :
Il faut réussir à lui faire comprendre ce que fait réellement l’intérimaire
héroïne.
Il faut lui apprendre à voir sur le long terme. Il faut qu’il réalise qu’une
note de bénéfice énorme, suivie d’une note catastrophique, ce n’est pas
intéressant.
Il faut lui dire et lui prouver qu’il ne doit pas craindre les moments où les
affaires vont moins bien. Il faut lui montrer qu’il fait partie d’un grand
groupe industriel et qu’il sera toujours aidé en cas de problème.
Il faut lui donner un conseil d’administration constitué de personnes sages et
cultivées.
Il faut lui montrer que les activités normales de son entreprise, sans
l’intérimaire maudit, sont nécessaires aux autres entreprises.
Il faut qu’il se rende compte que tout le personnel de son entreprise est
important, ainsi que les nombreux fournisseurs, les talentueux intérimaires…
tous travaillent à ce que son entreprise fasse de beaux bénéfices, sans tricher.
L’accro est un mécanisme pervers :
Parfois, dans un premier temps, le fait que le directeur croie qu’il fait des
bénéfices mirobolants peut vraiment avoir des effets positifs pour lui. Cela
peut lui donner l’envie d’investir dans de nouveaux secteurs d’activité. Cela
fait aussi que s’il rencontre des clients, ou son banquier, il se montrera très
sûr de lui. Il inspirera confiance. Ses clients n’hésiteront pas à acheter ses
produits. Son banquier lui accordera des prêts sans hésiter. Par la suite ils
devront déchanter…
Les personnes qui ne connaissent pas l’enfer de la drogue se croient permis de
dire « Huh, se sortir de la drogue, c’est une affaire de volonté ! ». C’est
totalement faux : Ce sont précisément les « directeurs » qui ont beaucoup de
volonté qui ordonneront la recherche de l’intérimaire héroïne avec le plus de
fermeté. Pour preuve : le fait qu’un certain nombre de sportifs de haut niveau
deviennent accro à l’héroïne. Ce ne sont certainement pas des personnes que l’on
peut accuser de manquer de volonté. De plus, deux personnes différentes n’auront
pas le même risque de devenir accro. Leurs cerveaux n’ont pas la même
sensibilité. Certaines personnes n’ont aucun mérite à ne pas être accro, tout
simplement parce que leur cerveau y est réfractaire.
Il suffit que le directeur voie l’intérimaire héroïne pour qu’il soit très
excité. Il courra vers lui pour lui demander de venir travailler. Un toxicomane
« craque » à la seule vue d’un sachet de poudre ou d’une seringue : avant même
l’absorption du produit il est submergé d’une dose de dopamine qui le pousse à
en prendre envers et contre tout. Il devient chaud et fébrile, épris d’envie de
la dose. Certains dealers savent jouer là-dessus pour relancer des clients qui
essayent d’arrêter. Rien que le décors dans lequel un héroïnomane vit lui
rappelle la drogue et peut lui donner des envies très vives. C’est pour cela que
quand un héroïnomane veut arrêter il est important qu’il quitte complètement son
mode de vie. Il faut qu’il aille vivre ailleurs, d’une façon différente. Les GI
de retour de Vietnam n’ont pas continué à consommer de l’héroïne simplement
parce qu’en rentrant chez eux ils ont changé de pays et de mode de vie. Un de
mes amis, héroïnomane lourd, ne consomme pas un milligramme quand il part en
voyage, sans la moindre crise de manque. Un autre exemple du fait que les
circonstances de la prise comptent est que les personnes qui ont pris de la
morphine dans un hôpital pour lutter contre la douleur n’ont pas d’accro. Elles
ne deviennent pas dépendantes, alors qu’elles ont pris des doses parfois très
importantes et pendant des périodes prolongées.
La peur de manquer du psychotrope est la cause de vives angoisses. Elle pousse
le toxicomane à consommer d’avantage. Un de mes amis recevait sa dose
quotidienne sans faire le moindre effort. Elle lui était offerte et préparée par
sa petite amie prostituée. Un jour il s’est rendu compte qu’essentiellement
l’héroïne l’ennuyait. Il a arrêté du jour au lendemain, comme un vêtement puant
que l’on jette à la poubelle. La consommation de cocaïne d’une amie a baissée de
moitié le jour où elle a eu l’adresse d’un grossiste sûr, qui l’avait à la bonne
et qui lui faisait moitié prix. (Ces deux cas sont des personnes qui ont déjà un
peu d’éducation et qui ont un certain parcours toxicomane derrière eux. Je ne
suis pas sûr que la disponibilité facile de psychotropes pour tout le monde
serait une solution. Beaucoup de personnes paumées, irresponsables et en trop
bonne santé risqueraient fort d’en consommer des quantités démentes et sombrer
en un temps très court vers un stade avancé de destruction de leur organisme et
de leur système nerveux.) La disponibilité est une méthode intéressante, mais
qui doit être pratiquée sous contrôle médical. Réciproquement, la politique de
torture par sevrage des toxicomanes, que pratiquent certains pays, doit a tout
prix être arrêtée. Tout au moins, un toxicomane ne doit pouvoir être « torturé »
que pour les délits normaux : vol, violence, arnaque… mais pas pour le fait de
consommer. Enfermer un toxicomane pour l’empêcher de se procurer son produit,
c’est s’assurer de sa rechute et de sa criminalisation. Et quand on sait avec
quelle facilité la drogue circule en prison… Le sevrage forcé ne peut avoir des
conséquences positives que quand il est librement consentit par le toxicomane,
dans le cadre d’une thérapie structurée.
La drogue a pour effet de simplifier la vie de quelqu’un. Elle la rend peut-être
plus dure, la vie d’un toxicomane peut être un enfer ; la chute d’un rat dans
une fosse septique. Mais elle est plus simple. Beaucoup de personnes qui ont la
chance d’avoir les bons réflexes ou les bonnes habitudes, ne se rendent pas
compte de la difficulté que peuvent avoir d’autres personnes pour poser les
actes de la vie de tous les jours. Il peut être bien plus supportable de se
trouver dans une fosse sceptique aux murs bien définis, où les étrons sont
comestibles, que dans une campagne paradisiaque où il faut chercher la
nourriture, planifier les choses, où chaque zone d’ombre, chaque bosquet, cache
l’inconnu. Un élément important d’une cure de désintoxication consiste donc à
placer la personne dans un environnement facile : une jolie campagne sans zones
d’ombre, sans difficultés d’approvisionnement. Ce n’est que quand la personne
est désintoxiquée que l’on peut lui apprendre pas à pas à affronter une campagne
plus riche. Elle ne sera véritablement désintoxiquée que quand elle aimera
passionnément la vraie campagne.
Quoi qu’on fasse, si on le fait sous cocaïne ou sous héroïne, on le perçoit
comme étant très bien, parce qu’on est inondé de dopamine. On peut faire des
choses très moches le sourire aux lèvres.
L’accro causé par le mécanisme de la dopamine dure très longtemps. On l’appelle
« le manque psychologique ». Il faut plusieurs années pour qu’il s’estompe.

Ce qui compte pour sortir d’une toxicomanie, c’est le fait d’avoir de la
culture, « de la religion », savoir qui on est. Beaucoup de toxicomanes qui
n’avaient jamais arrêté, malgré de nombreuses cures de désintoxication, arrêtent
tout d’un coup à l’âge de trente ou quarante ans, brutalement, sans aucune aide.
Pourquoi ? Parce qu’ils sont devenus plus matures, plus sages plus adultes. Tout
d’un coup, la consommation du produit leur semble être quelque chose d’idiot. Il
faudrait toujours attendre d’être arrivé à cet âge là avant de toucher aux
drogues dures…

Il est important pour un toxicomane de comprendre ce qui se passe dans son
cerveau. Il faut qu’il comprenne pourquoi il est accro, par quel mécanisme il
est poussé à consommer. Mais cela ne suffit pas en soi pour qu’il arrête. Notre
volonté émane du subconscient. Elle nous dépasse. Quand le « directeur » ordonne
qu’il faut aller chercher de la drogue, nous lui obéissons même si nous savons
qu’il a tort. Il est un petit roquet complexé qui crie très très fort en
silence. Parfois nous croyions le dominer, alors il nous manipule par la bande :
il nous susurre des justifications, il tronque notre perception de la réalité.
Il nous dit « Juste une dernière fois ! » ou « C’est des vitamines… ». Il le dit
même au directeurs d’autres personnes, pour se justifier. Pour réussir à éduquer
le « directeur », il faut du temps et du travail. Il faut méditer, se reposer,
communiquer, comprendre, se comprendre, accepter…

Pour sortir de la toxicomanie, les religieux proposent la prière : s’adresser à
Dieu. Cette approche est tout à fait fondée : Dieu est le symbole du savoir et
de la volonté. Il est la représentation idéalisée, complète et « parfaite », de
ce petit « directeur » qui se démène à l’intérieur de notre cerveau.

Faut-il aider un toxicomane ? Si on peut le faire, bien sûr. Mais à mon sens il
ne faut pas se croire obligé. Si on n’a pas les compétences et les ressources
nécessaires, il vaut mieux s’abstenir. Il est parfois très dur de vivre au
contact d’un toxicomane. On peut y perdre beaucoup, inutilement. L’espoir de
guérison est souvent très faible. Il n’y a aucune honte à prendre ses distances,
c’est souvent même une obligation. L’important, c’est de ne pas le démolir. Un
toxicomane a une personnalité fragilisée. Il ne pourra sortir de sa toxicomanie
qu’en ayant retrouvé une certaine personnalité. Pour cela, il a besoin du
soutient des autres, au moins moral.

Pendant la Première Guerre Mondiale, des soldats se sont jetés sur des obus
explosifs qui tombaient dans leur tranchée, pour protéger leurs camarades. Notre
volonté peut commander notre mort. C’est cette même volonté qui commande le
sacrifice ultime qui commande une toxicomanie. Sauver ses camarades, c’est bien,
prendre de la drogue, c’est mal. Mais en souvenir du premier, j’évite de trop
ouvrir ma grande gueule quand je suis en présence du deuxième.

La volonté est essentielle pour sortir d’une toxicomanie, mais elle n’est pas
suffisante. Voire elle peut jouer contre la victime. Une forte volonté peut
devenir une forte volonté de prendre de la drogue. Une personne qui arrête
abruptement et qui souffre le martyr peut développer une peur panique du manque
qui au final la rend plus dépendante encore. C’est un peu comme les régimes
d’amaigrissement draconiens : au final on prend du poids. Pour réussir, il faut
aussi de l’amour : du coeur, de la sensibilité, de l’intelligence, de la
compréhension et de l’altruisme…

Un toxicomane a une perception complètement déstructurée du monde. Il ne sait
pas, ou ne sait plus, ce que sont les choses, ce qui sert à quoi. Il ne sait pas
comment il doit faire les choses qu’il a à faire.

La déstructuration est encore beaucoup plus grave au niveau de sa perception de
lui-même. Il n’a plus d’identité. Il ne sait plus qui il est ni ce qu’il sait
faire, ni quels sont ses liens avec les autres. C’est la raison de sa
souffrance.

On tombe dans la toxicomanie parce qu’on a un problème d’identité. L’effet du
produit, la production de dopamine, donne au toxicomane l’impression qu’il sait
qui il est. Elle lui en donne la certitude absolue. Ensuite, parce que cette
certitude était fausse, c’était un mensonge, la toxicomanie aggrave le problème
d’identité. C’est un cercle vicieux très puissant. En voici quelques indices :
Certains toxicomanes arrêtent quand ils tombent amoureux ou quand ils deviennent
parent. Parce que cela leur donne une identité : « Je suis le conjoint de… » ou
« Je suis le papa de… ». (Inversement, beaucoup de toxicomanes ont été
« initiés » par la personne qu’ils ont rencontrée. Rien n’est parfait.)
Un moyen très efficace pour aider un toxicomane à décrocher sont les massages.
En touchant un toxicomane, on lui redonne une perception de son corps, de ce
qu’il est, de l’espace qu’il occupe dans l’Univers.
Certains toxicomanes considèrent la drogue comme quelque chose qui vient vivre
en eux. Ils ressentent les effets comme la manifestation de quelque chose qui
leur est étranger. Ils ne se rendent pas compte du fait que le produit ne fait
que stimuler des phénomènes qui son propre à leur cerveau, qui sont en eux
depuis toujours. (Ils ne peuvent donc pas comprendre que ces choses pourraient
être stimulées sans recourir à la drogue.) On peut par exemple entendre un
cultivateur de cannabis qualifier ses plantes de « petits martiens » qui
viennent lui rendre visite.
Beaucoup de toxicomanes ont commencé à consommer parce qu’ils voulaient entrer
dans un certain cercle de personnes. Ils avaient besoin de ces personnes pour
acquérir une identité.
Le fait de s’ennuyer pousse à consommer des psychotropes. S’ennuyer, c’est le
fait de ne pas savoir ce qu’on a à faire, ne pas savoir pourquoi on est là, qui
on est.
Un toxicomane a besoin de prendre des vitamines et des acides aminés pour
reconstituer les réserves de produits dont son cerveau a besoin. On utilise ces
vitamines et ces acides aminés à forte doses pendant les cures de
désintoxication pour diminuer le phénomène du manque. Quand le cerveau
fonctionne bien, grâce aux vitamines, il trouve beaucoup plus vite ses marques,
il comprend mieux les choses. La personne arrive mieux à savoir qui elle est,
elle a moins besoin du produit.

Une amie d’un ami rechute régulièrement dans l’héroïne. Cela se passe chaque
fois de la même façon : elle va dîner chez ses parents (elle aime beaucoup son
père), sa mère la démolit verbalement pendant tout le repas, elle rentre chez
elle cassée, son « petit ami » vient la voir et lui propose de l’héroïne. Un
jour elle téléphone à mon ami. Elle vient de commencer sa cure de méthadone.
Elle pleure au téléphone, elle est très mal. Mon ami lui demande si elle a des
vitamines chez elle. Elle lui répond qu’elle a un tube de comprimés
multivitamines effervescents. Mon ami lui dit d’en prendre quatre d’un coup.
Elle lui répond « Si ça ne marche pas, je te tue ». Le lendemain mon ami lui
téléphone. Elle est parfaitement détendue, heureuse de vivre, elle a même arrêté
la méthadone.

Un médecin peut prescrire des compléments de vitamines et d’acides aminés
fortement dosés. Dans les cas pas trop graves, le repas suivant peut contribuer
à rétablir la chimie du cerveau : deux oeufs crus (pour les acides aminés et
toutes les vitamines sauf la C), une cuillerée d’huile d’olive vierge ou d’huile
de noix (pour les huiles essentielles, nécessaires au cerveau), une pomme (pour
les fibres et les minéraux), un kiwi (pour la vitamine C), un yaourt (pour la
qualité de la digestion, les vitamines et les protéines). Le calcium et le
magnésium sont importants. On peut les trouver dans certains aliments, dans des
eaux minérales ou en comprimés.

Tout aussi importante : l’élimination des toxines. Elles empoisonnent le
cerveau, l’empêchent de fonctionner. Pour éliminer ou éviter les toxines, il
existe beaucoup de méthodes : le sauna, le sport, un gros repas uniquement de
pommes de terre cuites à l’eau, ne manger que des fruits pendant un jour, boire
beaucoup d’eau (pas trop…), prendre des extraits de plantes qui favorisent
l’élimination des toxines, éviter les sources de protéines ou de graisses…
Certaines personnes essayent des drogues uniquement pour aller à la découverte
d’elles-mêmes, pour mieux se connaître. C’est la seule raison acceptable, à mon
sens, de prendre des psychotropes. Ces personnes là font rarement plus de
quelques expériences. Une fois qu’elles ont appris ce qu’elles voulaient savoir,
elles passent à autre chose. Le devoir d’un être humain est d’apprendre à faire
fonctionner son cerveau d’une façon adaptée à toutes les circonstances de la
vie, sans utiliser de drogues ni d’endoctrinement. Une personne qui aime son
métier n’a pas besoin d’un stimulant pour être hyper-active. Un véritable
artiste imagine des choses bien plus riches sans hallucinogène qu’avec. Salvador
Dali se basait sur ses rêves. (Pour mieux se souvenir de ses rêves il buvait du
café avant d’aller dormir.)
Pour ceux qui en consomment tous les jours, les psychotropes sont un palliatif,
une béquille. Parfois cette consommation en continu est justifiée par des
raisons médicales. Mais la majorité des consommateurs sont des personnes qui
n’ont pas appris à gérer la vie. Leur développement spirituel présente des
carences importantes. Ils ne sont pas capable d’avoir une vie sentimentale
harmonieuse et ne comprennent pas grand-chose à la sexualité. Ils souffrent de
la vie et ont besoin de prendre régulièrement un peu de drogue pour colmater
leurs blessures. (Il est évident qu’il faut absolument fournir le travail
nécessaire pour qu’ils arrivent à un niveau d’éducation suffisant pour ne plus
avoir besoin de consommer des psychotropes. Mais tant que ce travail n’a pas été
fait, il vaut souvent mieux les laisser continuer à en utiliser. L’important est
de veiller à ce qu’ils aient accès à des produits de bonne qualité.)
Beaucoup de toxicomanes nient totalement leur état. Ils refusent d’admettre
qu’ils sont des consommateurs assidus de drogue. Ils ne veulent pas « se voir
ainsi ».
Deux toxicomanes utilisant le même produit peuvent avoir des modes de vie
totalement différents et un rapport totalement différent au produit. Il n’est
pas possible de classifier les toxicomanes uniquement sur base du produit qu’ils
utilisent. Leur personnalité a un impact plus important sur leur mode de vie que
le produit. Par exemple il y a des drogués lourds à l’héroïne, qui au terme d’un
cauchemar horrible de plusieurs années finissent cul-de-jatte dans un fauteuil
roulant, déchus de leurs droits civiques et rejetés par la société. Mais il y a
aussi des héroïnomanes « light » qui sniffent leur petite ligne tous les jours,
d’un geste vaguement distingué, et sont des personnes très fréquentables. Je
connais des consommateurs de cannabis qui fument un gros joint de résine bien
lourde après le travail pour s’assommer un bon coup. Ils appellent cela « se
scotcher ». J’en connais d’autres qui fument un petit joint léger de fleurs pour
se mettre le coeur à l’ouvrage avant de commencer le travail. L’effet
désinhibant de la cocaïne implique que la personne est libérée des contraintes
que la société lui a imposées. Cela ne veut pas dire que la personne se mettra à
faire n’importe quoi : si sa personnalité propre est une jeune fille fragile,
avec une bonne dose de cocaïne dans le nez cette personne deviendra très prude
et réservée, renfermée sur elle-même. Elle ne se sent plus obligée de
communiquer et de se montrer disponible. Une autre personne, avec la même dose,
deviendra joviale et enjouée, socialement surexcitée.
En général, un drogué « choisit » la drogue qui correspond à son mode de vie, à
son mental. Les cadres consomment essentiellement de la cocaïne. Les jeunes
paumés consomment plutôt de l’héroïne. Les artistes consomment du cannabis et
des hallucinogènes. Ceci dit, les frontières entre les types de consommateurs
sont devenues relativement floues. Beaucoup de gens se considèrent comme des
cadres paumés un peu artistes…
Tout le monde trouve normal que l’on donne de la morphine ou de l’opium à une
personne qui est en train de mourir. Mais on ne comprend pas qu’une personne
jeune et en bonne santé consomme de l’héroïne. Cette personne jeune est pourtant
très proche d’une personne qui va mourir. La mort, c’est ne plus rien être. Le
problème du jeune qui tombe dans la toxicomanie est précisément qu’il ne sait
pas qui il est. Il vit des souffrances, des angoisses, qui peuvent être aussi
terribles que les douleurs d’une personne qui meurt d’un cancer.
On croit parfois qu’un toxicomane est une personne qui se suicide lentement, qui
n’a pas le courage de se donner la mort une bonne fois. S’il est certain que le
parcours d’un toxicomane ressemble à un suicide, ce n’est pas forcément son
intention. Beaucoup de toxicomanes disent que la drogue est plutôt une façon
pour eux de défier la mort. En bravant la mort, en remportant des victoires sur
elle, ils se prouvent qu’ils existent. Quant on sait qu’on est quelqu’un, on n’a
plus peur de ne rien être, on n’a plus peur de la mort. Ce rapport avec la mort
est aussi présent dans certains rites initiatiques : on met la vie des novices
en danger dans le but qu’ils sortent renforcés de l’épreuve. Ces procédés sont
archaïques et peu rentables, certes, mais ils font partie de la nature humaine.
Les angoisses, les phobies et la dépression résultent d’une mauvaise
compréhension de ce qui se passe autour de soi et en soi-même. Un personne qui
fait une phobie des couloirs ressent qu’au bout d’un long couloir se trouvent
des choses très dangereuses. Elle éprouve une virulente angoisse quand elle
entre dans un tel couloir, au point de reculer, de ne plus pouvoir avancer. Même
si consciemment elle sait qu’il n’y a pas de danger, son subconscient, lui, est
convaincu du contraire et déclenche des angoisses atroces qui dominent le
conscient. Beaucoup de phobies concernent le corps lui-même ; par exemple la
peur de perdre tout son sang. Un cas pernicieux est celui de la tachycardie,
quand le coeur se met à battre trop vite : plus le coeur bat vite, plus la
personne a peur de mourir, plus cette peur fait battre son coeur. De tels
cercles vicieux existent dans la plupart des phobies et dépressions, par exemple
parce que la personne culpabilise d’avoir une phobie. Le remède aux phobies est
généralement de permettre à la personne de prendre connaissance de son corps et
de son esprit, en lui apprenant à se toucher elle-même et en lui apprenant à
dialoguer avec son subconscient. Les anxiolytiques, antidépresseurs et calmants
sont très efficaces contre les phobies. Il suffit d’avaler une petite pilule
pour pouvoir arpenter tous les couloirs de la planète l’âme en paix. Dans la
tenaille d’une crise d’angoisse pire que les flammes de l’enfer, au point de ne
plus pouvoir bouger de terreur, il suffit qu’un médecin vous injecte une dose
minime d’anxiolytique pour qu’endéans quelques minutes tout aille bien. Ces
psychotropes ne sont que des palliatifs : ils font cesser les angoisses mais ils
ne guérissent pas la personne de sa phobie ou de sa dépression. Il faut les
utiliser quand c’est nécessaire ou dans le cadre d’une psychothérapie ciblée.
Mais il faut s’en méfier au plus haut point.
Une vie amoureuse réussie est un des meilleur remparts contre la toxicomanie.
Techniquement, de bons amants savent qu’il faut souvent commencer un rapport
sexuel par un long flirt. Au cours de ce flirt, on se dit tout, on se pardonne
tout. Les caresses et la tendresse mettent les deux partenaires dans un état de
bien être le plus parfait. Ils n’ont plus peur de rien, ils n’ont plus besoin de
jouer aucune comédie, ils savent qui ils sont, totalement. Ce n’est qu’alors
qu’éventuellement ils passent au « sport ».
Dans certains cas, une conversation avec une personne qui a pris un peu
d’héroïne peut être quelque chose de très agréable. Elle ne ressent plus le
besoin de se protéger ou de faire le malin. Elle ne s’offusque jamais et prend
le temps de réfléchir. La conversation est ouverte, objective, spontanée,
intelligente, chaleureuse et sympathique. En général ce n’est malheureusement
pas l’effet que l’héroïne produit ; on a plutôt affaire à une personne
insensible ou narquoise.
Pour se sentir bien, un être humain a besoin d’une production régulière de
dopamine dans le cerveau. Mais la dopamine n’est produite que quand il a des
choses à faire, des enjeux, des travaux à réalise, des obstacles à franchir.
Dans les prisons modernes, où les prisonniers sont logés comme des princes et
n’ont rien d’autre à faire qu’attendre leur libération, les cas de dépression
sont nombreux et sévères. Beaucoup de prisonniers passent tout leur temps de
prison sous antidépresseurs, calmants et somnifères. Dans les prisons du passé,
où les prisonniers mourraient à cause des mauvais traitements et devaient se
battre pour survivre, il n’y avait pas de dépressions. On dirait qu’il faut
choisir entre santé mentale et santé physique. La solution n’est évidemment pas
de rendre à nouveau la vie des prisonniers dure. Les conditions de vie
acceptables qu’ils ont actuellement sont une nécessité. Mais il faut développer
dans les prisons un sens du travail intellectuel et physique. (C’est aussi pour
cette raison que la Conquête de l’Espace est une nécessité absolue et qu’il faut
lui allouer des sommes considérables : parce qu’elle est pour l’humanité un
challenge surhumain, une lutte contre l’inconnu.)
Un schéma type de toxicomane est le jeune adulte dont le mode de vie et les
préoccupations ne correspondent pas aux attentes de ses parents. Par exemple un
jeune homme qui a un tempérament d’artiste et dont le père rêvait qu’il devienne
médecin. La désapprobation et le retrait d’affection que vont lui témoigner ses
parents peuvent parfois contribuer grandement à disloquer son identité, son
image de soi. Il ne sera plus rien, vidé de sa substance. Il ne lui restera plus
qu’à se mettre des emplâtres et des sparadraps : consommer des psychotropes.
Une amie qui aime bien sortir m’expliquait : « Le problème avec les jeunes,
c’est qu’ils ne connaissent pas le mode d’emploi des produits qu’ils consomment.
Ils avalent trop de pilules à la fois, où ils les prennent avec de l’alcool. On
les retrouve écroulés dans un sofa, les yeux révulsés, tétanisés d’angoisse. Ils
ont l’impression de sombrer dans un trou sans fond. La bonne attitude est de
leur parler. Il faut nouer un dialogue avec eux, pour les sortir de l’abîme. ».
La preuve que les drogués ont une mauvaise approche de leur problème d’identité
est qu’ils doivent sans cesse recommencer à prendre de la drogue. Ils ne
progressent pas, ils n’apprennent rien.

Chez les gens civilisés, on donne une identité aux enfants en les aimant, en
leur disant et en leur montrant qu’on tient à eux, en les comprenant, en les
prenant dans ses bras, en leur permettant d’apprendre et de comprendre beaucoup
de choses et en leur donnant l’occasion de faire des sports intenses. Chez les
gens un peu moins civilisés, ont utilise la religion ou un nationalisme
quelconque pour donner des certitudes aux enfants. On leur affirme qui ils sont.
(Si on contrarie un intégriste sur une définition de lui-même qu’on lui a donné,
c’est comme si on menaçait de le tuer.) Chez les gens non-civilisés, on ne
s’occupe pas des enfants et on les laisse se procurer des psychotropes comme
palliatifs.

Il y a des différences secondaires entre la cocaïne et l’héroïne :
La cocaïne intensifie le fonctionnement de tous les neurones (en empêchant la
désexcitation des synapses). Elle est dynamisante. Les suites d’une prise de
cocaïne sont un grand vide : le cerveau ne fonctionne plus, la personne est
comme assommée, absente, elle ne perçoit plus rien, ne réfléchit plus. La
cocaïne a fait s’épuiser toutes les réserves de molécules dont le cerveau a
besoin pour fonctionner.
L’héroïne peut être dynamisante parce qu’elle désinhibe, mais comme elle isole
le cerveau du monde extérieur (en bloquant le passage de l’influx nerveux), à
forte dose elle calme et endort. Isolé, le cerveau rêve, il crée son propre
petit monde. Le manque physique immédiatement après une prise d’héroïne est du
au contrecoup : pendant l’action de l’héroïne le cerveau était coupé du monde,
ensuite, il sera connecté au monde beaucoup trop fort : un simple effleurement
de la peau sera perçu comme un coup de fouet douloureux. La personne sentira que
tout son corps et son esprit son malades, elle crèvera de nausée.
Certains comparent le « plaisir » de l’héroïne aux plaisirs du sexe. Avez-vous
déjà mangé des artichauts ? Quand ils sont préparés amoureusement par un bon
cuisinier, nappés d’une fine vinaigrette, c’est un des mets les plus doux, les
plus chauds, les plus exquis qui soient. On en porte le bien-être encore
quelques jours après. Mais avez-vous déjà mangé de la pâte d’artichaut en boîte
de conserve ? Ces boîtes sont faites avec de l’amidon, du parfum artificiel
d’artichaut et de l’exhausteur de goût. Vous prenez la boîte de conserve, vous
l’ouvrez, vous versez son contenu dans une casserole, vous versez de l’eau, vous
portez à ébullition, vous versez dans une assiette, vous prenez la pâte avec une
cuillère et vous la portez à votre bouche… Et bien ce n’est pas mauvais. Il y a
à peu près la même différence entre du bon sexe et l’héroïne qu’entre des
artichauts fermiers bien préparés et de la pâte d’artichaut en boîte de
conserve. Si une personne vous dit que l’héroïne est meilleure que le sexe, vous
pouvez donc en déduire qu’elle n’a pas la longue éducation nécessaire pour être
un bon cuisinier. Un jour, elle a essayé de préparer des artichauts. Elles les a
brûlés dans la casserole et les a servis à table en versant dessus un demi-litre
de vinaigre. On peut comprendre qu’elle préfère ouvrir des boîtes de conserve.
Elle pense qu’il vaut mieux manger un succédané d’artichaut que ne pas en manger
du tout. Disons que l’héroïne procure un succédané du plaisir d’un câlin. La
cocaïne procure un succédané du bien-être et de l’assurance que l’on ressent
après un câlin. Personnellement, je préfère franchement apprendre à cuisiner. En
attendant, il est hors de question que je me remplisse l’estomac de cet
exhausteur de goût qui me donne mal à la tête et qui est une cause de débilité
chez les enfants de familles pauvres en Asie.
(Cet exhausteur de goût est le glutamate de sodium : une molécule que notre
cerveau utilise pour fonctionner, en très petite quantité. Quand de grosses
quantités rencontrent les papilles gustatives de notre langue, les papilles sont
affolées, désorientées, et disent au cerveau qu’il y a beaucoup de goût. Comme
ce goût était indéfinissable, le cerveau va même commander de reprendre de cette
nourriture, pour contrôler ! Des marchands de tabac ont ajouté du glutamate aux
cigarettes pour augmenter l’accro. Le glutamate de sodium ingéré en grandes
quantités s’accumule dans les neurones du cerveau de façon désordonnée et cause
leur mort par empoisonnement. Lisez attentivement les petits caractères sur les
boîtes de conserve que vous achetez, les soupes en sachet, les plats préparés,
les sauces… Les petits caractères sont aussi intéressants sur les contrats
d’assurance que sur les boîtes de conserve et les soupes en sachet.)

La réserve de dopamine du cerveau est limitée. Il n’y a qu’un petit réservoir de
dopamine. Quand il est vide, il est vide. Il faut attendre des heures et des
jours pour qu’il se remplisse à nouveau. Donc, pour obtenir la décharge de
dopamine la plus intense possible, c’est à dire le flash de plaisir le plus
puissant, il faut vider le réservoir de dopamine d’un coup. Comme un gros coup
de pied sur une poire à eau. Il faut noyer le cerveau en quelques secondes de la
concentration maximale de cocaïne ou d’héroïne. Donc il faut se piquer en
intraveineuse ou fumer (le produit passe des poumons au sang en quelques
secondes). Si on prend le produit par voie orale, en poudre par le nez ou par
piqûre dans le gras de la peau, la concentration en produit n’augmente que
lentement dans le sang. Il y aura libération de dopamine et sensation de
plaisir, mais la dopamine est en train de s’écouler. Quand la concentration en
produit devient enfin maximale… le réservoir de dopamine est presque vide, ainsi
que les réservoirs des autres molécules utilisées par le cerveau. Il n’y aura
donc pas de flash. Il faut choisir : ou un flash brutal et court, ou un
bien-être plus calme et prolongé. Tout dépend de la méthode d’administration du
produit.
ect…

http://forum.doctissimo.fr/medicaments/dependance-medicaments/texte-aidera-beaucoup-sujet_138132_1.htm
Publié dans Drogues illégales, Drogues légales, Drogues médicales | Un
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TOXICOMANIE SUR ORDONNANCES

Publié le 14 juin 2010 par drogue88
 « Les médecins portent la responsabilité du crime qui consiste à avoir produit
des milliers de toxicomanes », dr. H. M. Shelton
 
 
http://informationshumanistes.blogspot.com/2009/09/vaccins-poisons-de-londres-pour.html
Publié dans BIG PHARMA et la mafia du crime médical organisé, Drogues légales,
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L’ABUS DE MÉDICAMENTS SUR ORDONNANCE PEUT ÊTRE PLUS DANGEREUX QUE L’ABUS DE
DROGUES FABRIQUÉES ILLICITEMENT

Publié le 8 Mai 2010 par drogue88

L’Organe met en garde contre l’augmentation des décès par surdose de médicaments
délivrés sur ordonnance


« La plupart des pays n’ont aucun mécanisme pour recueillir systématiquement des
données sur cet abus et n’ont pas conscience de l’ampleur du détournement et de
l’abus de drogues » a affirmé le Président de l’OICS, M. Emafo. « En outre, ce
que les usagers ne savent pas, c’est que l’abus de médicaments sur ordonnance
peut être plus dangereux que l’abus de drogues fabriquées illicitement. Du fait
de leur très grande puissance, certains stupéfiants de synthèse, disponibles
sous forme de médicaments délivrés sur ordonnance, présentent même un risque de
surdose plus élevé que l’abus de drogues illicites » a-t-il ajouté.

http://www.incb.org/pdf/f/press/2007/annual-report-press-kit-2006-fr-4.pdf
Publié dans BIG PHARMA et la mafia du crime médical organisé, Drogues légales,
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DROGUES ET CERVEAU : OPIACÉS ET TRANQUILLISANTS

Publié le 7 Mai 2010 par drogue88

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DROGUES ET CERVEAUX « TABAC ET ALCOOL : POISONS LÉGALES »

Publié le 7 Mai 2010 par drogue88



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CANNABIS SUR ORDONNANCE

Publié le 7 Mai 2010 par drogue88

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TOUT SUR LE CANNABIS : THC LIPOSOLUBLE, STOCKÉ DANS LE SERVEAU

Publié le 6 Mai 2010 par drogue88
https://youtube.com/watch?v=mbY1aG8v3w4
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HÉROÏNE

Publié le 6 Mai 2010 par drogue88

Quelle en est l’origine ?

L’héroïne fut synthétisée en 1874 et commercialisée en 1897 par la firme Bayer
comme un médicament aux vertus héroïques (courage, insensibilité à la douleur, à
la fatigue…). Elle fut utilisée comme produit de substitution à la morphine,
comme antidouleur et comme traitement de la toux. Dès la fin de la première
guerre mondiale et suite à de nombreux problèmes de dépendance, son usage
thérapeutique fut contesté. Dès lors, comme la morphine, elle fut uniquement
prescrite dans le traitement de douleurs extrêmes (brûlures sévères, douleurs
post-opératoires, soins palliatifs, cancer, etc.) avant de disparaître récemment
de la pharmacopée belge (liste de substances pouvant êtres dispensés par les
médecins).



> Héroïne (suite)





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LES EFFETS DES DROGUES PSYCHOSTIMULANTES : AMPHETAMINES, ANTIDEPRESSEURS,
COCAINE, CRACK, RITALINE ET LA DEPENDANCE

Publié le 5 Mai 2010 par drogue88

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FRAUDE SCIENTIFIQUE : GWEN OLSEN / LA VÉRITÉ SUR BIG PHARMA

Publié le 4 Mai 2010 par drogue88
 
Le site de gwen Olsen
https://gwenolsen-com.translate.goog/home/?_x_tr_sl=en&_x_tr_tl=fr&_x_tr_hl=fr
Publié dans BIG PHARMA et la mafia du crime médical organisé, Drogues légales,
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 * « SI VOUS PENSEZ QUE L’ INDUSTRIE PHARMACEUTIQUE MET DES MÉDICAMENTS SUR LE
   MARCHÉ POUR VOUS AIDER – VOUS VOUS TROMPEZ LOURDEMENT! »


 * PSYCHIATRIE MORTELLE ET DÉNI ORGANISÉ : « LES MÉDICAMENTS PSYCHIATRIQUES
   TUENT CHAQUE ANNÉE PLUS D’UN DEMI-MILLION DE GENS DE 65 ANS ET PLUS AUX
   ÉTATS-UNIS ET EN EUROPE. CES MÉDICAMENTS SONT LA TROISIÈME CAUSE DE DÉCÈS
   APRÈS LES MALADIES CARDIAQUES ET LE CANCER. OR, LA CONSOMMATION ACTUELLE DE
   PSYCHOTROPES POURRAIT ÊTRE RÉDUITE DE 90 %, TOUT EN AMÉLIORANT LA SANTÉ
   MENTALE ET PHYSIQUE AINSI QUE LA SURVIE DES PATIENTS.»

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 * LE COTÉ NOIR DES SOMNIFÈRES

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 * BENZODIAZÉPINES : PIRE QUE L’HÉROÏNE


 * LES MÉDICAMENTS QUI INDUISENT LA DÉMENCE : UN CRIME PARFAIT (POURQUOI ET
   COMMENT LES TRAITEMENTS MÉDICAUX EUX-MÊMES, EN PARTICULIER LES PSYCHOTROPES,
   SONT UNE CAUSE IMPORTANTE DE LA DÉGÉNÉRESCENCE DU CERVEAU ET DE MORT
   PRÉMATURÉE.)


 * « LES DANGERS DE CES MÉDICAMENTS S’ARRÊTENT À LA FRONTIÈRE »


 * « UN MÉDECIN COMPÉTENT ATTRIBUÉ 50 000 SUICIDES INUTILES AU PROZAC SEUL–LE
   PREMIER ISRS COMMERCIALISÉS. »


 * » LES MÉDICAMENTS DE TYPE PROZAC N’ONT GUÈRE PLUS D’EFFICACITÉ QUE DES
   VULGAIRES PLACEBOS, LES EFFETS SECONDAIRES EN PLUS »


 * « AUX RAVAGES CAUSÉS PAR LES ANTIDÉPRESSEURS, S’AJOUTENT CEUX DU CANNABIS, DE
   L’ECSTASY ET DU CRACK. »


 * VOTRE MÉDICAMENT EST PEUT ÊTRE VOTRE PROBLÈME : POURQUOI ET COMMENT ARRÊTER
   DE PRENDRE DES MÉDICAMENTS PSYCHIATRIQUES


 * « IL A ÉTÉ DÉMONTRÉ À MAINTES REPRISES QUE LES MÉDICAMENTS PSYCHIATRIQUES
   AGGRAVENT LA MALADIE MENTALE, SANS PARLER DES RISQUES DE DOMMAGES AU FOIE, DE
   GAIN DE POIDS, DE TAUX ÉLEVÉ DE CHOLESTÉROL ET DE LA GLYCÉMIE, ET DE
   DIMINUTION DE LA FONCTION COGNITIVE QU’ILS COMPORTENT. »

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 * « LES CHAMPS DE LA MORT PHARMACEUTIQUE »


 * « COMMENT LES COMPAGNIES PHARMACEUTIQUES TROMPENT LES MÉDECINS ET NUISENT AUX
   PATIENTS »


 * MÉDICAMENTS QUI TUENT : LA VÉRITÉ SUR L’ÉPIDÉMIE CACHÉE


 * AUTORISÉ À TUER : LES ÉPIDÉMIES CROISSANTES DE MALADIES IATROGÈNIQUES ET DE
   FOLIES BUROCRATIQUES


 * « LES PRATIQUES FRAUDULEUSES DE L’INDUSTRIE PHARMACEUTIQUE QUI NOUS CACHE LES
   EFFETS INDÉSIRABLES DE NOMBREUX MÉDICAMENTS »


 * ANALGÉSIQUE : LE « SUPER » SENTIER DE LA DÉPENDANCE À LA DROGUE ET DE LA MORT

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 * MOURIR POUR DES SOINS : UN MÉMOIRE DES ANTIDÉPRESSEURS, ERREUR DE DIAGNOSTIC
   ET DE FOLIE

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 * SUR SA PIERRE TOMBALE DEVRAIT SE TENIR « LE MÉDICAMENT M’A TUÉ ».


 * AMÉRIQUE DUPÉ : LA VÉRITÉ SUR LES ANTIDÉPRESSEURS, ANTIPSYCHOTIQUES ET
   COMMENT NOUS AVONS ÉTÉ TROMPÉS


 * « LA VASTE ARMÉE DES MÉDECINS ENTHOUSIASTES QUI ONT PRESCRIT CES MÉDICAMENTS
   PAR TONNE ONT CRÉÉ LE PLUS GRAND PROBLÈME DE DÉPENDANCE AUX DROGUES DU MONDE
   »


 * OVERDOSES : CERTAINS DES PIRES TRAFIQUANTS DE DROGUE DU PAYS NE SONT PAS DANS
   LES COINS DE RUE


 * « LES MÉDECINS PRESCRIVENT CES MÉDICAMENTS RÉGULIÈREMENT SANS JAMAIS AVERTIR
   LES PATIENTS QU’UNE UTILISATION RÉGULIÈRE PEUT PROVOQUER UNE DÉPENDANCE
   DANGEREUSE. POUR BEAUCOUP DE GENS, LES BENZOS SONT BEAUCOUP PLUS DIFFICILES A
   ARRÊTER QUE DE FUMER, QUE L’HÉROÏNE, LA COCAÏNE, LE CRACK ET D’AUTRES
   SUBSTANCES ILLÉGALES »


 * LE RÔLE DES MÉDICAMENTS PSYCHIATRIQUES DANS LES CAS DE VIOLENCE, DE SUICIDE
   ET CRIME


 * « CE SONT DES MÉDICAMENTS EXTRÊMEMENT DANGEREUX QUI DOIVENT ÊTRE INTERDITS,
   TOUT COMME DES MÉDICAMENTS SIMILAIRES ONT ÉTÉ INTERDITS DANS LE PASSÉ. «


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 * « N’OUBLIEZ JAMAIS QUE TOUT CE QU’A FAIT HITLER EN ALLEMAGNE ÉTAIT LÉGAL »
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 * « DES MÉDICAMENTS, DES VACCINS, DES BIENS DE CONSOMMATION DANGEREUX SONT MIS
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   PROVOQUÉS. «


 * « LES LIENS INCESTUEUX ENTRE LES LABORATOIRES, CERTAINS MÉDECINS ET LES
   POUVOIRS PUBLICS NE SONT PAS PRÈS DE CHANGER EN DÉPIT DES DERNIÈRES RÉFORMES.
   »


 * « IL N’EST PLUS POSSIBLE DE CROIRE LES RECHERCHES PUBLIÉES, NI DE SE FIER AU
   JUGEMENT DE SON MÉDECIN DE FAMILLE »

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 * « LA MÉDECINE MODERNE EST DEVENUE À PRÉSENT LA SOURCE PRIMORDIALE DES
   MALADIES. »


 * « LES RÉACTIONS INDÉSIRABLES AUX MÉDICAMENTS SE CLASSENT COMME L’UN DES PLUS
   GRANDS DANGERS POUR L’HOMME DANS LA SOCIÉTÉ MODERNE. »


 * COMMENT NE PAS SE FAIRE TUER PAR SON DOCTEUR : « LA PERSONNE QUI A LE PLUS DE
   PROBABILITÉ DE VOUS TUER N’EST PAS UN PARENT OU UN AMI OU UN AGRESSEUR OU UN
   CAMBRIOLEUR OU UN CONDUCTEUR IVRE. LA PERSONNE QUI RISQUE LE PLUS
   PROBABLEMENT DE VOUS TUER EST VOTRE DOCTEUR. »


 * » LES MÉDECINS SONT MALHONNÊTES, CORROMPUS, IMMORAUX, MALADES, PEU ÉDUQUÉS ET
   CARRÉMENT PLUS STUPIDES QUE LE RESTE DE LA SOCIÉTÉ. LORSQUE JE M’APPRÊTE À
   RENCONTRER UN MÉDECIN, JE ME VOIS DEVANT UNE PERSONNE BORNÉE… »


 * » LE MASSACRE QUI EST ORCHESTRÉ SOUS COUVERT DE L’ABSORPTION DE PRODUITS
   CHIMIQUES QUI PORTENT LE NOM DE « MÉDICAMENTS » «


 * « UN IMMENSE ICEBERG DONT LE MEDIATOR NE SERAIT QUE LA PARTIE ÉMERGÉE… DES
   ÉTUDES SCIENTIFIQUES SONT VOLONTAIREMENT BIAISÉES POUR MIEUX MINIMISER LA
   DANGEROSITÉ D’UN MÉDICAMENT. DES MÉDECINS EXPERTS SONT CORROMPUS POUR FERMER
   LES YEUX SUR LES RISQUES ENCOURUS PAR LES PATIENTS. »


 * » LE RÉSULTAT EST QUE LES MÉDECINS ET LES INFIRMIÈRES TUENT PRESQUE
   CERTAINEMENT, MAINTENANT, PLUS DE PERSONNES QUE LE CANCER. »


 * COMMENT LA COMPLICITÉ DES MÉDECINS AVEC LES GRANDES ENTREPRISES PEUT METTRE
   EN DANGER VOTRE SANTÉ


 * « DEPUIS TOUJOURS, DE NOMBREUX MÉDECINS ET DE NOMBREUSES INSTITUTIONS
   MÉDICALES ONT ÉTÉ IMPLIQUÉS DANS DES AFFAIRES CRIMINELLES, MASSACRES,
   GÉNOCIDES, CRIMES DE GUERRE ET CRIMES CONTRE L’HUMANITÉ. »


 * L’HISOIRE DES MÉDICAMENTS : HISTOIRE DES ORIGINES DE LA MAFIA MÉDICALE , LES
   VOYOUS DONT VOUS PENSIEZ QU’ILS VOUS AIDAIENT AU MIEUX POUR VOS MALADIES

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 * COMMENT LES AGENCES DE CONTRÔLE JOUENT À LA ROULETTE RUSSE AVEC NOS VIES

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 * « COMBATTRE LES CRIMES ET ABERRATIONS COMMIS PAR CERTAINS INDUSTRIELS ET NOS
   GOUVERNEMENTS… AU NOM DE NOTRE SANTÉ À TOUS ! »


 * LES PRATIQUES MAFIEUSES DE LA MÉDECINE CONVENTIONNELLE


 * LA MAFIA BLANCHE : COMMENT LES MÉDECINS ET L’INDUSTRIE PHARMACEUTIQUE METTENT
   NOTRE SANTÉ EN DANGER


 * NE LAISSEZ PAS VOTRE DOCTEUR VOUS TUER


 * LES MACHINATIONS CRIMINELLES DE LA MAFIA PHARMACEUTIQUE


 * LA MÉDECINE SERAIT-ELLE DEVENUE FOLLE ? : » LA VÉNÉRABLE INSTITUTION MÉDICALE
   EST À L’ORIGINE DE 1,300.000 HOSPITALISATIONS PAR AN DUES À DES EFFETS
   SECONDAIRES MÉDICAMENTEUX, DONT 450.000 DANS UN ÉTAT GRAVE. LA FRANCE COMPTE
   ENVIRON 18000 DÉCÈS PAR AN PAR L’ABSORPTION D’UN SEUL MÉDICAMENT.
   L’ANGLETERRE VOIT LE NOMBRE DE PATIENTS TUÉS SUR ORDONNANCE AUGMENTER DE 500%
   EN DIX ANS »


 * « LE MOYEN LE PLUS EFFICACE POUR DIMINUER LE RISQUE DES FEMMES DE DEVENIR UNE
   PATIENTE ATTEINTE DE CANCER DU SEIN EST D’ÉVITER LE DÉPISTAGE. »


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