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RENCONTRE EN LIGNE ABECHE TCHAD -------------------------------------------------------------------------------- Contents: Complément d'information Eviter la reprise des violences communautaires à l’Est du Tchad COMPLÉMENT D'INFORMATION A lo largo de mi carrera, siempre he tenido la idea de que un día me uniría al programa de Voluntarios de las Naciones Unidas VNU. Si bien la mayoría eran personas jóvenes y activas, también había gente mayor, como yo ahora; gente con una fuerte visión del voluntariado. Afortunadamente, tuve éxito en mi solicitud y me siento bendecido por trabajar en mi segunda asignación dentro del programa VNU. If you can be in your unit liquidation team, you will learn a lot. Aller au contenu principal. Formulaire de recherche. Les chiffres des pertes, qui sont fiables dans ce cas, sont les suivants : du côté sanûsi, 17 tués et 38 blessés du côté français Triaud, : Fin de la résistance des Sara Chapelle, : Les pertes globales ne sont pas connues Triaud, Il y a morts et blessés Hugot, : Acyl est intronisé sultan par les Français le 13 août — il est destitué en quand les Français le soupçonnent de soutenir une révolte dans le Ouaddaï. La répression est violente : il y a vingt-deux batailles, plusieurs dizaines de villages brûlés et officiellement plus de personnes tuées. Le soulèvement prend fin le 12 août Le Sultan Doudmourrah se rend le 27 octobre. Les Français prennent Drijélé, la capitale du Massalit, le 8 novembre G. Le lendemain, Moll, deux lieutenants, cinq sous-officiers et vingt-huit tirailleurs sont tués dans une attaque surprise. Le sultan du Massalit, Tâj al-Din, meurt également dans le combat, avec des siens. Ferrandi, : 27 ; Triaud, : Chapelle, : Ce combat marque la reprise des hostilités entre Français et Sanûsi. Une colonne française de hommes 33 Européens, tirailleurs et auxiliaires divers attaque la zâwiya fortifiée. La conquête de la ville, maison par maison, est lente et meurtrière Ferrandi, : 76, et Triaud, : Les pertes sont faibles du côté de la colonne française : 16 tués, dont 3 Français, et 25 blessés, dont 4 Français. Du côté sanûsi, les pertes sont plus difficiles à chiffrer. Jean-Louis Triaud estime que seul un tiers des environ deux cents combattants survit. Largeau, : Les corps des Sanûsi sont jetés dans une fosse commune avec les chevaux et le bétail. Azevedo, : 71 ; Chapelle, : ; Ferrandi, : ; Joubert, : Le sultan, qui a fui après la défaite, est arrêté et déporté à Laï octobre où il meurt deux mois plus tard Bret, ; Malval, : Le 23 octobre , le maréchal des logis Guyader est tué à coups de couteau à Abéché Ouaddaï. Suite à cet évènement, le chef de la circonscription, le commandant Gérard soupçonne les dignitaires du Ouaddaï de tramer un complot contre les Français — ce que les sources historiques infirment Lanne, : Le Cheikh des Mahamid est également arrêté et tué à Biltine avec une quarantaine de ses parents et alliés. Des villages se vident au profit du Soudan. La décision du FUC d'établir un camp militaire à 5 kilomètres au sud du camp de Kounougo, un camp de réfugiés supervisé par les Nations unies ONU qui abrite 13 réfugiés soudanais, a aggravé les tensions ethniques à l'intérieur de Kounougo. Environ familles tama tchadiennes se sont fait enregistrer comme réfugiées lorsque le camp a été initialement constitué et beaucoup ont des liens familiaux avec des soldats FUC recrutés localement. Il en résulte que les soldats FUC vont rendre visite à leurs proches dans les camps, souvent vêtus de leur uniforme et portant leurs armes [26]. Les réfugiés zaghawa dans le camp de Kounoungo se sont plaints à Human Rights Watch d'intimidation et de harcèlement, de la part du FUC pendant tout le premier trimestre de l'année Des tentatives de viols ont été mentionnées [27]. Les réfugiés zaghawa ont commencé à quitter le camp de Kounoungo pour des camps supervisés par l'ONU dans la région de Guéréda comme Mile et d'autres, plus éloignés comme Touloum et Irdimi [28]. Le 25 mars , peu de temps après la visite dans le camp du Président Déby et ses promesses d'une meilleure sécurité, des militants FUC ont attaqué des réfugiés zaghawa dans le camp, tabassant cinq d'entre eux si violemment qu'une évacuation vers l'hôpital de Guéréda a été nécessaire [29]. EVITER LA REPRISE DES VIOLENCES COMMUNAUTAIRES À L’EST DU TCHAD Nombre des abus commis contre les civils zaghawa à Dar Tama sont attribués à des factions dissidentes du FUC qui échappent au commandement et au contrôle des plus hauts responsables du FUC, mais également à l'ANT et au pouvoir civil à N'Djamena. Les responsables de la communauté zaghawa à Dar Tama ont affirmé à Human Rights Watch que des factions activistes du FUC étaient responsables du décès de 15 civils zaghawa hors des camps de réfugiés entre décembre et février Une femme figure parmi les victimes [31]. Gok, réputé pour son instabilité même parmi ses compagnons d'armes FUC, a été accusé d'avoir sommairement exécuté trois rebelles FUC le 6 mars , parce qu'ils avaient refusé de lui obéir et de désarmer [32]. De nombreux Tama à Guéréda approuvent les factions dissidentes du FUC et leur objectif de venger les abus préalablement commis contre les Tama par les milices zaghawa [33]. L'animosité ethnique semble tout aussi élevée chez les Zaghawa. Un habitant zaghawa du camp de Kounoungo a affirmé à Human Rights Watch que les rebelles zaghawa du Tchad comme du Soudan s'étaient rendus dans le camp depuis décembre, prêts à prendre les armes contre les Tama pour défendre leur groupe ethnique. On n'est pas en sécurité à Dar Tama [35]. Le FUC n'est pas le seul groupe paramilitaire allié au gouvernement tchadien connu de Human Rights Watch pour avoir recruté et utilisé des enfants soldats. Human Rights Watch a constaté que des enfants soldats étaient également utilisés dans les forces villageoises d'autodéfense et dans les groupes rebelles soudanais, tous les deux ayant reçu le soutien du gouvernement tchadien. A l'automne , le gouvernement tchadien a incorporé dans l'ANT des milices villageoises d'autodéfense dans les régions où la présence de l'ANT était particulièrement faible, comme le département très instable de Dar Sila dans le Sud-Est du Tchad [36]. Depuis janvier , les chercheurs de Human Rights Watch ont enregistré l'utilisation de soldats apparemment mineurs par les forces d'autodéfense à Goungour, Borota et Koloy. Nous avons également recueilli des informations sur l'utilisation d'enfants soldats par des forces d'autodéfense à Modoyna, Tiero et Dogdoré, dans le département de Dar Sila. Le recours à des enfants est généralisé dans les groupes paramilitaires qui constituent un pourcentage croissant des forces du gouvernement tchadien, selon les chiffres officiels [37]. Les rebelles soudanais du Mouvement Justice et Equalité et la faction G de l'Armée de Libération du Soudan sont également soutenus par le gouvernement tchadien et sont également connus pour avoir incorporé des enfants dans leurs rangs. En mars , une mission de recherche de Human Rights Watch a révélé que les rebelles soudanais du G, travaillant en coopération avec les responsables du gouvernement tchadien, ont recruté de force 4 réfugiés, notamment des centaines d'enfants, dans les camps supervisés par l'ONU, à 50 kilomètres à l'ouest d'Adré, dans l'Est du Tchad [38]. L'UNICEF se livre actuellement à un recensement de l'Armée Nationale Tchadienne ANT [40] mais tout effort systématique pour quantifier le nombre d'enfants sous les drapeaux est difficile car la majorité des enfants soldats vient des zones rurales où les certificats de naissance sont rarement disponibles. Dans certains cas, des soldats FUC apparemment mineurs semblent avoir été encouragés à mentir sur leur âge. Par exemple, interrogés sur leur âge par Human Rights Watch, quatre soldats FUC de la même unité, qui semblaient être mineurs ont affirmé qu'ils avaient 18 ans et ont ajouté qu'ils étaient nés en et qu'ils étaient restés avec le FUC pendant 9 mois [41]. Un général de brigade dans l'ANT a affirmé à Human Rights Watch que le recrutement d'enfants dans l'armée du gouvernement se fait principalement dans les régions de Salamat et Ouaddai, dans l'Est et dans la ville de Biltine et ses environs, dans la région de Wadi Fira, au Nord-Est, deux régions du pays où l'activité rebelle tchadienne a été agressive ces deux dernières années [42]. Selon un autre officier de l'ANT qui a participé à des activités de recrutement et qui est actuellement déployé avec ses troupes dans une zone de ligne de front de l'Est du Tchad, des civils ont été recrutés en masse, dans les villages zaghawa et goran de la région de Borkou-Ennedi-Tibesti, au Nord du Tchad à l'automne [43] , à une époque où les forces du gouvernement subissaient des pertes terribles sur le champ de bataille [44]. Des recrues ont été rassemblées et rapidement organisées en unités, dotées d'uniformes et d'armes et déployées en cercles concentriques pour assurer la défense autour de N'Djamena. Des enfants de 14 ans seulement ont été incorporés dans les forces armées, dans le cadre de ces campagnes hâtives pour grossir les effectifs humains [45]. Face aux critiques internationales, le gouvernement tchadien a nié que des enfants servaient dans les rangs de l'ANT et a renforcé ses dénégations en emprisonnant un journaliste local qui affirmait le contraire [46]. Les officiers de l'ANT contactés par Human Rights Watch se sont révélés plus francs quant à la présence d'enfants dans les forces armées tchadiennes. Selon un officier de haut rang de l'ANT déployé dans la région de la ligne de front, dans l'Est du Tchad, l'ANT compte sur un apport régulier d'enfants soldats. Etudiant d'Abéché Cédant à la pression internationale, en particulier, celle de la France, le gouvernement tchadien a signé un accord avec l'UNICEF le 9 mai pour commencer la démobilisation des enfants soldats présents dans l'ANT et dans les forces rebelles intégrées à l'ANT voir plus bas [49]. En dépit de la coopération gouvernementale reconnue aux efforts de démobilisation des enfants soldats, trois sources ANT ont affirmé à Human Rights Watch que de très nombreux enfants ne seraient très probablement pas démobilisés malgré les efforts de l'UNICEF [50]. L'une de ces sources — un officier ANT impliqué dans la formation des nouvelles recrues — a affirmé que le personnel militaire tchadien chercherait activement à maintenir des enfants hors des efforts de démobilisation. Human Rights Watch a également appris que le gouvernement tchadien avait maintenu en captivité des enfants soldats soupçonnés d'activité insurrectionnelle dans les mêmes établissements que des soldats d'âge adulte. Les combattants FUC détenus par le gouvernement tchadien libérés en février et interrogés par Human Rights Watch à Guéréda ont rapporté que des enfants de 13 ans seulement avaient été détenus dans les mêmes établissements que des prisonniers adultes [52]. Le 26 avril , les chercheurs de Human Rights Watch ont constaté que des enfants étaient présents parmi les quelque rebelles FUC détenus dans une seule concession murée, avec une cour de terre battue et deux cellules à la Gendarmerie nationale de N'Djamena [53]. En mars , Human Rights Watch s'est entretenu avec huit rebelles FUC qui ont affirmé avoir moins de 18 ans et avec 11 autres soldats qui semblaient avoir moins de 18 ans mais qui ont soit prétendu être plus âgés, soit refusé de donner leur âge ou soit n'ont pas été questionnés sur leur âge [54]. Les enfants dans les rangs FUC jouent un rôle direct dans les opérations de combat. Un soldat FUC de 15 ans a relaté la journée de février lorsque son convoi a été pris dans une embuscade tendue par des groupes paramilitaires zaghawa. Une balle est passée tout près de moi. Il y avait des coups de feu, tout le monde tirait mais je ne savais pas quoi faire. Mon frère a reçu une balle dans le mollet alors je l'ai aidé [55]. Si certains enfants soldats semblent rejoindre le FUC de leur plein gré, il est difficile d'affirmer qu'ils ont pris leur décision en toute liberté vu l'absence d'autres options. La plupart des enfants soldats sont pauvres et n'ont reçu aucune éducation. Beaucoup souhaitaient ardemment échapper à un environnement familial difficile. Par-dessus tout, le climat d'insécurité et de violence armée a conduit de nombreux enfants à conclure qu'ils étaient plus en sécurité avec le FUC que dans la campagne. Si je vais à la guerre et que je suis tué, c'est fini pour moi. Si je tue mon ennemi, c'est fini pour lui. Je ne vais pas attendre de mourir au village. Je suis un homme. Je veux participer [58]. Ce garçon comptait parmi plusieurs enfants soldats du FUC ayant déclaré à Human Rights Watch qu'ils avaient rejoint les forces rebelles pour se venger après la mort de plusieurs membres de leurs familles tués par des milices zaghawa. D'autres ont rejoint les rebelles après avoir été déplacés par la violence des milices. Un rebelle FUC, apparemment mineur [59] , a déclaré à Human Rights Watch qu'il avait rejoint les rebelles lorsqu'une attaque contre son village, près de Djimeze al-Hamra a contraint sa famille et beaucoup d'autres habitants de son village à s'installer dans un campement, aux abords de Guéréda. Si la sécurité revient, je quitterai le FUC et je retournerai à l'école [60]. Un homme de 62 ans de Barra, près de Maraone, a déclaré à Human Rights Watch que son fils de 15 ans et trois de ses neveux âgés de 12, 15 et 16 ans étaient tous partis rejoindre le FUC mais qu'il n'était pas inquiet pour eux. Ce n'est pas bien qu'il soit parti chez les rebelles. Mais on ne peut pas empêcher les enfants de les rejoindre. S'il est clair que l'insécurité a inspiré aux enfants la décision de chercher protection auprès du FUC, il est tout aussi clair que le FUC recrute activement des enfants. Un colonel FUC capturé lors de combats à N'Djamena, le 13 avril , a déclaré à une équipe d'observateurs de l'Union africaine que le FUC recrutait des enfants de 12 ans seulement et plusieurs autres prisonniers ont affirmé qu'ils avaient été recrutés de force dans des camps de réfugiés au Darfour [63]. L'ONU s'est fait l'écho d'un cas de recrutement forcé, en mai , d'un enfant tama à Geneina, dans l'Ouest du Darfour, qui n'impliquait pas spécifiquement le FUC [64]. Le risque de recrutement s'est apparemment accru depuis l'accord de paix de décembre entre le gouvernement tchadien et le FUC. Des sources chez le FUC et dans l'armée tchadienne rapportent que le FUC devait fournir entre 6 et 7 soldats à l'ANT, selon les termes d'une annexe confidentielle à l'accord de paix [65]. Cependant, des analystes militaires familiers de la situation au Tchad estiment que les effectifs du FUC ne dépassaient pas 1 à 1 hommes lorsque l'accord de décembre a été signé [66] , faisant pression sur le FUC pour grossir ses rangs et augmentant ainsi le risque pour les enfants d'être recrutés. Les registres scolaires examinés par Human Rights Watch au lycée de Guéréda, le seul établissement secondaire dans la région de Guéréda, ont révélé que 80 pour cent des garçons ayant terminé l'année scolaire ne se sont pas inscrits à l'école lorsque les cours ont repris au printemps [69]. En conséquence, des maladies surviennent de ces conditions. Koné et al. Plus de la moitié des décès des moins de 5 ans dans cette même partie du monde est due à la diarrhée, au paludisme et à la pneumonie UN, , p. Méthodologie 1. Cette croissance démographique rapide entraine une occupation du sol différenciée que les pouvoirs publics peinent à encadrer. Dombor et al. Un niveau de développement humain bas Les six quartiers étudiés constituent un ensemble géographique qui s'appréhende bien davantage en termes de diversité que d'unité. Le quartier Taradona se singularise par des problèmes de chômage, de retards sociaux ou encore de santé publique alcoolisme, Hépatite PND, , p. Les quartiers Hilé-Quinine et Djatinié quant à eux accusent des retards sur le plan économique et social. Le développement humain y est très faible. * Back to top * Twitter * Facebook Force internationale de protection dans l'Est du Tchad combattants, de gardes, de cuisiniers, de sentinelles sur les lignes de front du conflit. Organiser des rencontres entre les membres des missions locales du Conseil à kilomètres au nord-est d'Abéché. Terre traditionnelle des Tama, Dar Tama.